Note de la fic :
La Boite
Par : MonsieurF
Genre : Science-Fiction, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Questions
Publié le 04/05/2013 à 22:48:01 par MonsieurF
La voiture, qui roulait seule sur l'autoroute, fonçait à toute vitesse sous la pluie.
David, qui était assis sur le siège passager, observait les gouttes d'eau se frayer un chemin sur le pare-prise.
La femme qui conduisait à ses cotés semblait être sa mère.
Le visage triste et inquiet, elle fixait l'horizon.
Les deux mains fermement posés sur le volant, elle avait une cigarette éteinte entre deux de ses doigts de la main droite. Un silence de mort régnait atrocement dans la voiture. Mais David en avait l'habitude, il savait bien pourquoi sa mère n'osait pas même lui adresser un regard. La voiture quitta l'autoroute et continua son chemin effréné sur une route nouvellement goudronnée qui traversait la foret. Le trajet semblait durer une éternité, la pluie battante frappait le véhicule si fort que l'ont pouvait entendre les gouttes de pluies éclater contre la carrosserie.
David jetât un regard sur l'horloge de l'auto-radio, puis enfonçât une main dans la poche de son pantalon.
Après quelques secondes à chercher quelque chose dans sa poche, son visage pris une expression grave.
Il extirpât rapidement sa main, et se tournât vers sa mère.
-"Maman, tu es en colère?" demandât-il
Toujours impassible, la femme qui conduisait, ne répondit pas, elle ne semblait même ne pas avoir entendu la question. Une secousse bousculât le véhicule, et fît trembler le porté-clé en forme de dés en peluche, accroché au rétroviseur.
David fût pris d'un vertige, et un frisson parcourra son dos. Il se reprit et reposa sa question différemment.
-"Maman, es-tu fâchée?"
Aucune réponse ne vint rompre son silence, et une seconde secousse, plus forte, frappa la voiture. La pluie redoubla de puissance, et le ciel devint encore plus sombre.
Visiblement embêté, David pris un temps de réflexion après avoir regardé une fois de plus l'horloge du tableau de bord.
-"Maman, tu es vexée?" demandât-il une fois de plus
La voiture fît secouée d'une telle puissance que David en eu la respiration coupée.
Le ciel était si noir que plus aucun rayon de lumière ne filtrait. Sa mère ne donna pas plus d’intérêt à David.
Ce dernier regarda une dernière fois l'horloge de l'auto-radio et avait perdu tout espoir de voir une quelconque réaction de la part de sa mère.
-"C'est trop tard, c'est fini" dit-il résigné.
Tout d'un coup, la femme qui conduisait laissa tomber sa cigarette sur le sol, et la voiture stoppa net sa course sur la route. Les gouttes de pluies qui tombaient se figea dans le ciel, et le dés en peluche accroché au rétroviseur resta comme "bloqué" dans sa position. C'est alors qu'une puissante lumière provenant du ciel, recouvra le monde, dans un bruit sourd rappelant le crissement d'une craie ou le sifflement d'un train à vapeur.
Bientôt on ne pouvait plus distinguer ni la route, ni les arbres, ni la voiture, et David ferma les paupières, tant la lumière blanchâtre lui faisait mal aux yeux.
D'un claquement de doigt, il avait quitté la voiture, et se retrouva comme projeté dans une sorte de fauteuil de dentiste sur lequel il était allongé.
Il ouvra les yeux lentement.
La fauteuil se redressa et David se retrouvait assis. Il était dans une salle immaculée de blanc, et une grande porte grise sans poignée s'ouvra devant lui quelques secondes plus tard. Une femme vêtue d'une veste de scientifique blanche s'approchât de lui. Elle auscultât ses yeux à l'aide d'une petite lumière, et pris sa tension grâce à une petite baguette froide en métal munie d'un cadran à une extrémité.
-"Alors, tu as réussi cette fois?" demanda-t-elle
-"Non plus" répondit David, "mais vous savez bien que je n'ai pas réussi cette fois encore, si vous avez bien fait votre travail, vous avez du le voir aussi bien que moi."
La jeune femme esquissa un sourire, et priât à David de se lever. Il s’exécuta et la jeune femme appuya sur un bouton situé sur le coté de sa montre.
Deux cercles lumineux bleus vint alors entourer les mains de David. Le dispositif semblait agir comme des menottes.
La jeune femme sortit de la salle en priant à David de la suivre.
David lui emboita le pas et quitta la salle à son tour.
Il était pied nu, portait un pantalon blanc et un t-shirt de la même couleur sur lequel était écris dans le dos, en noir "SUJET B-226"
David, qui était assis sur le siège passager, observait les gouttes d'eau se frayer un chemin sur le pare-prise.
La femme qui conduisait à ses cotés semblait être sa mère.
Le visage triste et inquiet, elle fixait l'horizon.
Les deux mains fermement posés sur le volant, elle avait une cigarette éteinte entre deux de ses doigts de la main droite. Un silence de mort régnait atrocement dans la voiture. Mais David en avait l'habitude, il savait bien pourquoi sa mère n'osait pas même lui adresser un regard. La voiture quitta l'autoroute et continua son chemin effréné sur une route nouvellement goudronnée qui traversait la foret. Le trajet semblait durer une éternité, la pluie battante frappait le véhicule si fort que l'ont pouvait entendre les gouttes de pluies éclater contre la carrosserie.
David jetât un regard sur l'horloge de l'auto-radio, puis enfonçât une main dans la poche de son pantalon.
Après quelques secondes à chercher quelque chose dans sa poche, son visage pris une expression grave.
Il extirpât rapidement sa main, et se tournât vers sa mère.
-"Maman, tu es en colère?" demandât-il
Toujours impassible, la femme qui conduisait, ne répondit pas, elle ne semblait même ne pas avoir entendu la question. Une secousse bousculât le véhicule, et fît trembler le porté-clé en forme de dés en peluche, accroché au rétroviseur.
David fût pris d'un vertige, et un frisson parcourra son dos. Il se reprit et reposa sa question différemment.
-"Maman, es-tu fâchée?"
Aucune réponse ne vint rompre son silence, et une seconde secousse, plus forte, frappa la voiture. La pluie redoubla de puissance, et le ciel devint encore plus sombre.
Visiblement embêté, David pris un temps de réflexion après avoir regardé une fois de plus l'horloge du tableau de bord.
-"Maman, tu es vexée?" demandât-il une fois de plus
La voiture fît secouée d'une telle puissance que David en eu la respiration coupée.
Le ciel était si noir que plus aucun rayon de lumière ne filtrait. Sa mère ne donna pas plus d’intérêt à David.
Ce dernier regarda une dernière fois l'horloge de l'auto-radio et avait perdu tout espoir de voir une quelconque réaction de la part de sa mère.
-"C'est trop tard, c'est fini" dit-il résigné.
Tout d'un coup, la femme qui conduisait laissa tomber sa cigarette sur le sol, et la voiture stoppa net sa course sur la route. Les gouttes de pluies qui tombaient se figea dans le ciel, et le dés en peluche accroché au rétroviseur resta comme "bloqué" dans sa position. C'est alors qu'une puissante lumière provenant du ciel, recouvra le monde, dans un bruit sourd rappelant le crissement d'une craie ou le sifflement d'un train à vapeur.
Bientôt on ne pouvait plus distinguer ni la route, ni les arbres, ni la voiture, et David ferma les paupières, tant la lumière blanchâtre lui faisait mal aux yeux.
D'un claquement de doigt, il avait quitté la voiture, et se retrouva comme projeté dans une sorte de fauteuil de dentiste sur lequel il était allongé.
Il ouvra les yeux lentement.
La fauteuil se redressa et David se retrouvait assis. Il était dans une salle immaculée de blanc, et une grande porte grise sans poignée s'ouvra devant lui quelques secondes plus tard. Une femme vêtue d'une veste de scientifique blanche s'approchât de lui. Elle auscultât ses yeux à l'aide d'une petite lumière, et pris sa tension grâce à une petite baguette froide en métal munie d'un cadran à une extrémité.
-"Alors, tu as réussi cette fois?" demanda-t-elle
-"Non plus" répondit David, "mais vous savez bien que je n'ai pas réussi cette fois encore, si vous avez bien fait votre travail, vous avez du le voir aussi bien que moi."
La jeune femme esquissa un sourire, et priât à David de se lever. Il s’exécuta et la jeune femme appuya sur un bouton situé sur le coté de sa montre.
Deux cercles lumineux bleus vint alors entourer les mains de David. Le dispositif semblait agir comme des menottes.
La jeune femme sortit de la salle en priant à David de la suivre.
David lui emboita le pas et quitta la salle à son tour.
Il était pied nu, portait un pantalon blanc et un t-shirt de la même couleur sur lequel était écris dans le dos, en noir "SUJET B-226"
Commentaires
- VonDaklage
04/05/2013 à 23:07:01
Commencement interessant, assez bien écrit, ca se lit bien, j'attend de voir la suite. C'est juste dommage que ton texte soit pris entre des floodeurs et leurs fics en carton, car ta fic mériterait plus d'exposition que ce qu'elle a là. Bonne continuation malgré tout