Note de la fic :
La Boite
Par : MonsieurF
Genre : Science-Fiction, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 6 : Agent Schreiber
Publié le 08/09/2013 à 02:35:46 par MonsieurF
L'homme ouvrit la portière et posa un pied par terre. En sortant de son véhicule, il prit une longue respiration afin de gonfler ses poumons de l'air pur de la banlieue. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus mis les pieds à Warrick, il était content de revoir son beau paysage, ses belles plaines vertes et son air d'une pureté encore inégalée.
Il contemplât un moment l'arrangement des maisons du quartier dans lequel il se trouvait, puis chercha d'un rapide regard, la maison qu'il était venu trouver. En fait, elle était juste en face de lui.
Il ferma la portière, ajusta son uniforme, prit sa plaque qu'il attachât a sa ceinture à coté de son arme, et s'avançait vers la maison. C'était une maison de banlieue Canadienne, en briques rouges comme on pouvait en voir des tas la-bas. Mais ce qui le frappait le plus, c'était le parterre de fleurs mortes qui trônait devant le porche de l'entrée de la maison. "Elle devaient être l'air magnifiques avant" se dit-il.
Il s'avança près de la porte d'entrée, et sonna.
On lui ouvrit assez rapidement. Une femme d'une quarantaine d'années se tenait devant lui.
"C'est vous... que j'ai eu au téléphone ?" demanda-t-elle
L'homme acquiesça. Elle pria donc l'homme d'entrer avant d'ajouter :
-"Ne faites pas attention aux fleurs, ça fait bien longtemps que je m'en occupe plus."
La femme rangeât la masse de paperasse qui s'amoncelait sur la table du salon, et posa une tasse de café fumante dessus, près d'une chaise qu'elle tira.
Elle désigna cette chaise à l'homme qui pris place dessus.
Elle s'assit sur la chaise juste à coté de l'homme et rompait enfin le silence.
-"Excusez le... désordre, j'ai été plutôt prise vous savez..."
L'homme fît un sourire et reposa sa tasse après avoir pris une gorgée.
-"Bien, si nous reparlions de l'objet de ma venue, vous voulez bien?"
La femme prit un air grave, et était visiblement embêtée.
-"Vous allez penser que je suis folle, ou inconsciente de ne parler de ça qu'aujourd'hui..."
-"Je vous promet que non... Maintenant que je suis là, pouvez vous m'expliquer ce que vous attendez de moi?"
-"D-d'accord..."
La femme se leva, s'approcha d'un tiroir, en sorti un morceau de journal découpé et jauni, et le posa devant l'homme.
-"Qu'est-ce-que c'est ?" interrogeât-il
-"Une petite annonce parue il y a trois mois de ça... dans le journal local"
-"Et qu'est-ce-que ?..."
-"Cette annonce, lisez là d'abord."
L'homme qui allait prendre une gorgée de café, posa la tasse et lu l'annonce entourée sur le petit bout de papier.
-"Plutôt étrange comme annonce... Vous y avez répondu?"
-"Non... enfin pas moi..."
-"Alors qui?" demanda l'homme, de plus en plus intrigué
La femme sorti un mouchoir de sa poche et s'essuya les larmes qui perlaient au creux de ses yeux.
-"Il s'agit de mon fils, il a répondu a cette annonce, et depuis il a disparu."
-"Mais je ne comprends pas, cette petite annonce date d'il y a trois mois c'est ça ? Votre fils il..."
L'homme ne termina pas sa phrase, car il avait peur de comprendre.
-"Mon fils à disparu depuis trois mois, c'est ça."
L'homme, étonné de cette déclaration, mais voyant le désarroi de la femme qui était en face de lui, évita de trop brusquer les choses, et demanda calmement :
-"Pourquoi avoir attendu tout ce temps avant d'en parler à la police ?"
-"Les choses... n'étaient pas censés être aussi compliqués... Il... Il avait un plan, il disait qu'il resterais là bas le temps que les choses s'améliore et qu'ensuite... il... il rentrerait !... J'ai attendu trois... trois mois et il n'est pas rentré, je ne l'ai pas vu une seule fois pendant tout ce temps... alors je me suis dit que maintenant il pouvait revenir, et je m'inquiétait alors je suis allée la bas, j'y suis retournée et..."
L'homme semblait totalement perdu, il ne comprenait pas, et la femme devant lui tremblait, ses phrases semblaient dénuées de sens...
-"Attendez... calmez-vous... vous êtes allée la bas... ou ça ?"
-"A Kefalos, j'y suis retournée, je voulais retrouver mon fils!"
L'homme n'avait jamais entendu parler d'un tel endroit, mais il avait remarqué que ce nom avait eu pour effet d'aggraver l'état de stress et de panique de la femme devant lui. Il lui pris ses mains tremblantes et regarda droit dans ses yeux.
-"Votre fils, il était la bas... à ce... Kefalos ?"
-"Oui... oui je l'avais emmené la bas... et quand j'y suis retourné pour le retrouver... il... ça..."
-"Quoi? Qu'est-ce-qu'il y avait la bas ?" demanda l'homme
La jeune femme ferma les yeux et baissa la tête...
-"La bas... il n'y avait... plus rien... plus de bâtiment blanc... plus de Kefalos..."
Il contemplât un moment l'arrangement des maisons du quartier dans lequel il se trouvait, puis chercha d'un rapide regard, la maison qu'il était venu trouver. En fait, elle était juste en face de lui.
Il ferma la portière, ajusta son uniforme, prit sa plaque qu'il attachât a sa ceinture à coté de son arme, et s'avançait vers la maison. C'était une maison de banlieue Canadienne, en briques rouges comme on pouvait en voir des tas la-bas. Mais ce qui le frappait le plus, c'était le parterre de fleurs mortes qui trônait devant le porche de l'entrée de la maison. "Elle devaient être l'air magnifiques avant" se dit-il.
Il s'avança près de la porte d'entrée, et sonna.
On lui ouvrit assez rapidement. Une femme d'une quarantaine d'années se tenait devant lui.
"C'est vous... que j'ai eu au téléphone ?" demanda-t-elle
L'homme acquiesça. Elle pria donc l'homme d'entrer avant d'ajouter :
-"Ne faites pas attention aux fleurs, ça fait bien longtemps que je m'en occupe plus."
La femme rangeât la masse de paperasse qui s'amoncelait sur la table du salon, et posa une tasse de café fumante dessus, près d'une chaise qu'elle tira.
Elle désigna cette chaise à l'homme qui pris place dessus.
Elle s'assit sur la chaise juste à coté de l'homme et rompait enfin le silence.
-"Excusez le... désordre, j'ai été plutôt prise vous savez..."
L'homme fît un sourire et reposa sa tasse après avoir pris une gorgée.
-"Bien, si nous reparlions de l'objet de ma venue, vous voulez bien?"
La femme prit un air grave, et était visiblement embêtée.
-"Vous allez penser que je suis folle, ou inconsciente de ne parler de ça qu'aujourd'hui..."
-"Je vous promet que non... Maintenant que je suis là, pouvez vous m'expliquer ce que vous attendez de moi?"
-"D-d'accord..."
La femme se leva, s'approcha d'un tiroir, en sorti un morceau de journal découpé et jauni, et le posa devant l'homme.
-"Qu'est-ce-que c'est ?" interrogeât-il
-"Une petite annonce parue il y a trois mois de ça... dans le journal local"
-"Et qu'est-ce-que ?..."
-"Cette annonce, lisez là d'abord."
L'homme qui allait prendre une gorgée de café, posa la tasse et lu l'annonce entourée sur le petit bout de papier.
-"Plutôt étrange comme annonce... Vous y avez répondu?"
-"Non... enfin pas moi..."
-"Alors qui?" demanda l'homme, de plus en plus intrigué
La femme sorti un mouchoir de sa poche et s'essuya les larmes qui perlaient au creux de ses yeux.
-"Il s'agit de mon fils, il a répondu a cette annonce, et depuis il a disparu."
-"Mais je ne comprends pas, cette petite annonce date d'il y a trois mois c'est ça ? Votre fils il..."
L'homme ne termina pas sa phrase, car il avait peur de comprendre.
-"Mon fils à disparu depuis trois mois, c'est ça."
L'homme, étonné de cette déclaration, mais voyant le désarroi de la femme qui était en face de lui, évita de trop brusquer les choses, et demanda calmement :
-"Pourquoi avoir attendu tout ce temps avant d'en parler à la police ?"
-"Les choses... n'étaient pas censés être aussi compliqués... Il... Il avait un plan, il disait qu'il resterais là bas le temps que les choses s'améliore et qu'ensuite... il... il rentrerait !... J'ai attendu trois... trois mois et il n'est pas rentré, je ne l'ai pas vu une seule fois pendant tout ce temps... alors je me suis dit que maintenant il pouvait revenir, et je m'inquiétait alors je suis allée la bas, j'y suis retournée et..."
L'homme semblait totalement perdu, il ne comprenait pas, et la femme devant lui tremblait, ses phrases semblaient dénuées de sens...
-"Attendez... calmez-vous... vous êtes allée la bas... ou ça ?"
-"A Kefalos, j'y suis retournée, je voulais retrouver mon fils!"
L'homme n'avait jamais entendu parler d'un tel endroit, mais il avait remarqué que ce nom avait eu pour effet d'aggraver l'état de stress et de panique de la femme devant lui. Il lui pris ses mains tremblantes et regarda droit dans ses yeux.
-"Votre fils, il était la bas... à ce... Kefalos ?"
-"Oui... oui je l'avais emmené la bas... et quand j'y suis retourné pour le retrouver... il... ça..."
-"Quoi? Qu'est-ce-qu'il y avait la bas ?" demanda l'homme
La jeune femme ferma les yeux et baissa la tête...
-"La bas... il n'y avait... plus rien... plus de bâtiment blanc... plus de Kefalos..."