Note de la fic :
La Boite
Par : MonsieurF
Genre : Science-Fiction, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 18 : De l'autre coté du miroir
Publié le 06/11/2013 à 16:58:19 par MonsieurF
Tous les trois rejoignirent le hall, David serra dans ses bras sa mère une dernière fois, en lui promettant de revenir à ses cotés le plus rapidement possible.
-"Je suis si fière de toi..." dit-elle entre deux sanglots
David sécha les larmes de sa mère, et lui aida à enfiler sa veste. Il regarda alors sa mère quitter l'immeuble, et rejoindre sa voiture.
L’hôtesse s'avança vers David et lui tapota l'épaule.
-"Vous avez fait le bon choix. Cette expérience va enrichir vos facultés et vous allez voir le monde différemment. L'éloignement de vos proches est le seul inconvénient... À présent venez, je vais vous montrer votre... "chambre"..."
David ne l'avait pas montré devant sa mère pour ne pas l’inquiéter plus, mais il était terrifié.
David et l’hôtesse prirent un ascenseur, gravirent des marches, longèrent de long couloirs, et pendant tout ce temps, David n'avait pas aperçu ne serait-ce qu'une fenêtre donnant sur l'extérieur.
-Dites... madame, quand...
-Appelez-moi Miranda d'accord? fit la jeune femme.
-D'accord... donc, Miranda, quand pourrais-je retourner chercher des affaires chez moi? demanda David tout en suivant Miranda
-C'est que, ici à Kefalos, pour le bien des... participants aux tests, nous fournissons tout. Vous n'aurez besoin de rien qui vient de l'extérieur.
-Mais... je pourrais tout de même récupérer quelques effets personnels ?
Miranda se tut, et affichait un sourire crispé.
-Voilà c'est ici, c'est ta chambre.
Elle s'arrêta devant une porte blanche, mais à la différence des autres portes que l'ont pouvait trouver à Kefalos, celle ci était une "vraie" porte, avec une véritable poignée.
Elle l'ouvrit et dévoila une pièce assez spacieuse avec un lit confortable, une commode en bois, un bureau et chaine hi-fi, une télévision accrochée au mur, et une console de jeu. La pièce était décorée avec les gouts de David. Les murs étaient peint en noir et blanc, et le mobilier s'accordait avec la couleur des murs.
David entra et fût agréablement surpris.
-Cette chambre est parfaite, vraiment, fît David
-Formidable, fît Miranda.
Miranda avança de quelques pas à l'intérieur de la chambre, et tendit à David une petite boite qu'elle sorti de ses poches.
-Tiens, c'est un petit cadeau de bienvenue.
David, prit la boite et l'ouvrit. A l'intérieur se trouvait un bracelet couleur argent avec un cadran qui affichait des formes abstraites de toutes les couleurs.
-Une montre? Merci... elle est jolie, fît David, gêné.
-Je suis sûr qu'elle te va très bien, met là pour voir, lança Miranda
-Peut-être plus tard... j'aurais voulu prendre une douche et aller dormir ensuite, d'ailleurs où est la salle de bain s'il vous plait ?
Miranda qui semblait plus crispée que jamais, s'avança d'un pas vers David, et insista.
-Ça serait bien si tu pouvais mettre ta montre d'abord, comme ça je... je pourrais voir si le bracelet est trop grand. Met là s'il te plait, cela me ferait énormément plaisir, David.
David regarda la montre, puis soupira légèrement.
Il sorti la montre de son étui et la passa sans mal autour de son poignet.
-Le bracelet est un peu grand, elle pourrait facilement tomber... mais merci elle est vraiment jolie! fît David
-Oui très jolie.
Miranda leva alors le bras, et appuya sur un bouton située sur le cadran de sa propre montre.
La montre de David s'alluma instantanément. Le bracelet s'ajusta violemment autour de son poignet, le serrant presque jusqu'à en couper la circulation du sang.
David essaya de se l'enlever brusquement, mais il n'y parvenait pas. Sous le cadran de la montre, une aiguille se déploya et pénétra profondément dans le bras de David qui se mit à hurler de douleur tout en essayant de s'enlever le dispositif.
Le cadran afficha alors "LANCEMENT DE LA PREMIÈRE SYNCHRONISATION AVEC LE SUJET" et David senti un puissant frisson partir de son poignet, remonter jusqu'à sa tête et longer son dos jusqu'à ses pieds. La sensation était si désagréable qu'il crût qu'il allait vomir. Ce long et désagréable frisson dura presque 15 secondes, et le cadran de la montre de David afficha "SYNCHRO. TERMINÉE - SÉDATION DU SUJET."
David senti que l'aiguille de la montre, qui lui faisait toujours mal, lui injecta quelque chose dans le poignet, et quelques secondes plus tard, sa vision se troubla, il perdit l'équilibre et tomba par terre.
David était inerte sur le sol. Sa montre affichait maintenant de nouveau des formes abstraites.
Miranda porta ses mains dans ses cheveux et s'enleva sa perruque. Derrière elle, entrèrent alors dans la chambre, une dizaine d'hommes et de femmes portant une blouse blanche. Ils prirent des mesures sur David, et l’allongèrent sur un brancard.
"Miranda" -ou plutôt Stéphanie- regardait les techniciens s’affairer autour de David.
Wandasz, qui avait prit les mesures dont il avait besoin sur David, s'approcha d'elle.
-Bravo, tu t'es bien débrouillée, fit-il.
-Merci, c'était pas très compliqué. Pour un gamin qui est censé tous nous sauver, il m'a l'air aussi idiot que les autres cobayes qu'on à fait entrer dans Kefalos, fît Stéphanie, pensive.
-Que veux-tu.... Ce sont les instructions laissés par le père de Sharpinette, il faut lui faire confiance, même si d'après moi, Robert Sharp n'était qu'un pauvre fou.
Miranda soupira.
[c]Quelques heures plus tard[/c]
David émergea difficilement. La douleur au poignet à cause de l'aiguille de la montre plantée dans son bras l'avait réveillé.
Il se releva avec beaucoup de mal et essaya de tenir debout, il regarda autour de lui et ne vît qu'une grande pièce vide. Des dalles de néon au plafond illuminait la salle.
C'est alors qu'il se rendit compte qu'il ne portait pas les même habits que ceux qu'il portait plus tôt. Il avait un simple pantalon blanc et une chemise à manches longues blanche avec derrière inscrit en noir "B-226"
Alors que David commençait à s’inquiéter, un piédestal s’éleva lentement du centre de la pièce. Dessus était posé une seringue contenant un liquide bleu. Un petit mot était aussi posé à coté.
"Ton diner est dans cette seringue, repose la sur le piédestal directement après ton injection et rendez-vous demain matin pour ton premier test."
-"Je suis si fière de toi..." dit-elle entre deux sanglots
David sécha les larmes de sa mère, et lui aida à enfiler sa veste. Il regarda alors sa mère quitter l'immeuble, et rejoindre sa voiture.
L’hôtesse s'avança vers David et lui tapota l'épaule.
-"Vous avez fait le bon choix. Cette expérience va enrichir vos facultés et vous allez voir le monde différemment. L'éloignement de vos proches est le seul inconvénient... À présent venez, je vais vous montrer votre... "chambre"..."
David ne l'avait pas montré devant sa mère pour ne pas l’inquiéter plus, mais il était terrifié.
David et l’hôtesse prirent un ascenseur, gravirent des marches, longèrent de long couloirs, et pendant tout ce temps, David n'avait pas aperçu ne serait-ce qu'une fenêtre donnant sur l'extérieur.
-Dites... madame, quand...
-Appelez-moi Miranda d'accord? fit la jeune femme.
-D'accord... donc, Miranda, quand pourrais-je retourner chercher des affaires chez moi? demanda David tout en suivant Miranda
-C'est que, ici à Kefalos, pour le bien des... participants aux tests, nous fournissons tout. Vous n'aurez besoin de rien qui vient de l'extérieur.
-Mais... je pourrais tout de même récupérer quelques effets personnels ?
Miranda se tut, et affichait un sourire crispé.
-Voilà c'est ici, c'est ta chambre.
Elle s'arrêta devant une porte blanche, mais à la différence des autres portes que l'ont pouvait trouver à Kefalos, celle ci était une "vraie" porte, avec une véritable poignée.
Elle l'ouvrit et dévoila une pièce assez spacieuse avec un lit confortable, une commode en bois, un bureau et chaine hi-fi, une télévision accrochée au mur, et une console de jeu. La pièce était décorée avec les gouts de David. Les murs étaient peint en noir et blanc, et le mobilier s'accordait avec la couleur des murs.
David entra et fût agréablement surpris.
-Cette chambre est parfaite, vraiment, fît David
-Formidable, fît Miranda.
Miranda avança de quelques pas à l'intérieur de la chambre, et tendit à David une petite boite qu'elle sorti de ses poches.
-Tiens, c'est un petit cadeau de bienvenue.
David, prit la boite et l'ouvrit. A l'intérieur se trouvait un bracelet couleur argent avec un cadran qui affichait des formes abstraites de toutes les couleurs.
-Une montre? Merci... elle est jolie, fît David, gêné.
-Je suis sûr qu'elle te va très bien, met là pour voir, lança Miranda
-Peut-être plus tard... j'aurais voulu prendre une douche et aller dormir ensuite, d'ailleurs où est la salle de bain s'il vous plait ?
Miranda qui semblait plus crispée que jamais, s'avança d'un pas vers David, et insista.
-Ça serait bien si tu pouvais mettre ta montre d'abord, comme ça je... je pourrais voir si le bracelet est trop grand. Met là s'il te plait, cela me ferait énormément plaisir, David.
David regarda la montre, puis soupira légèrement.
Il sorti la montre de son étui et la passa sans mal autour de son poignet.
-Le bracelet est un peu grand, elle pourrait facilement tomber... mais merci elle est vraiment jolie! fît David
-Oui très jolie.
Miranda leva alors le bras, et appuya sur un bouton située sur le cadran de sa propre montre.
La montre de David s'alluma instantanément. Le bracelet s'ajusta violemment autour de son poignet, le serrant presque jusqu'à en couper la circulation du sang.
David essaya de se l'enlever brusquement, mais il n'y parvenait pas. Sous le cadran de la montre, une aiguille se déploya et pénétra profondément dans le bras de David qui se mit à hurler de douleur tout en essayant de s'enlever le dispositif.
Le cadran afficha alors "LANCEMENT DE LA PREMIÈRE SYNCHRONISATION AVEC LE SUJET" et David senti un puissant frisson partir de son poignet, remonter jusqu'à sa tête et longer son dos jusqu'à ses pieds. La sensation était si désagréable qu'il crût qu'il allait vomir. Ce long et désagréable frisson dura presque 15 secondes, et le cadran de la montre de David afficha "SYNCHRO. TERMINÉE - SÉDATION DU SUJET."
David senti que l'aiguille de la montre, qui lui faisait toujours mal, lui injecta quelque chose dans le poignet, et quelques secondes plus tard, sa vision se troubla, il perdit l'équilibre et tomba par terre.
David était inerte sur le sol. Sa montre affichait maintenant de nouveau des formes abstraites.
Miranda porta ses mains dans ses cheveux et s'enleva sa perruque. Derrière elle, entrèrent alors dans la chambre, une dizaine d'hommes et de femmes portant une blouse blanche. Ils prirent des mesures sur David, et l’allongèrent sur un brancard.
"Miranda" -ou plutôt Stéphanie- regardait les techniciens s’affairer autour de David.
Wandasz, qui avait prit les mesures dont il avait besoin sur David, s'approcha d'elle.
-Bravo, tu t'es bien débrouillée, fit-il.
-Merci, c'était pas très compliqué. Pour un gamin qui est censé tous nous sauver, il m'a l'air aussi idiot que les autres cobayes qu'on à fait entrer dans Kefalos, fît Stéphanie, pensive.
-Que veux-tu.... Ce sont les instructions laissés par le père de Sharpinette, il faut lui faire confiance, même si d'après moi, Robert Sharp n'était qu'un pauvre fou.
Miranda soupira.
[c]Quelques heures plus tard[/c]
David émergea difficilement. La douleur au poignet à cause de l'aiguille de la montre plantée dans son bras l'avait réveillé.
Il se releva avec beaucoup de mal et essaya de tenir debout, il regarda autour de lui et ne vît qu'une grande pièce vide. Des dalles de néon au plafond illuminait la salle.
C'est alors qu'il se rendit compte qu'il ne portait pas les même habits que ceux qu'il portait plus tôt. Il avait un simple pantalon blanc et une chemise à manches longues blanche avec derrière inscrit en noir "B-226"
Alors que David commençait à s’inquiéter, un piédestal s’éleva lentement du centre de la pièce. Dessus était posé une seringue contenant un liquide bleu. Un petit mot était aussi posé à coté.
"Ton diner est dans cette seringue, repose la sur le piédestal directement après ton injection et rendez-vous demain matin pour ton premier test."