Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 28
Publié le 12/10/2013 à 22:42:18 par Camion2LaGalayr
L'homme s'appelait Henri Dayboua, il ne parlait pas beaucoup et avait vécu pas mal de temps dans cette forêt. C'est un chasseur habile, robuste avec un savoir immense. Il savait comment se comportaient les monstres, ils savaient même différencier les araignées de certains nids.
Il était midi passé quand Maxime se réveilla. Il avait mal à la tête il disait. Nous lui avons dit que c'était grâce à Henri que nous étions tous vivants, surtout moi.
Malgré le fait que Maxime a été blesser il y a à peine quelques heures, nous devions reprendre notre route. Avant que nous partions, Henry nous demanda où nous allions. Nous lui avons expliqué que nous nous dirigions vers le nord pour nous échapper de cette île maudite.
« Ça ne sert à rien, dit-il.
_ Comment ça ? La tempête est peut être moins forte voire absente au nord, dit Marie.
_ D'habitude, c'est du nord que viennent les naufragés...
_ What ? Ça veut dire que y'as pas moyen de nous barrer vers le nord ?!("> S'exclama Matthieu.
_ Exact.
_ Putain de merde ! S'énerva Maxime.
_ Vous êtes sûr que c'est infranchissable au nord ? Demandais-je.
_ Sûr et certain. »
Cette nouvelle nous a abattue. Nous ne reverrions jamais notre famille, nous sommes coincés sur cette île au monstres. Je n'osais pas y croire. Nous avions donc marché pour rien, combattus pour rien ? Qu'est-ce que nous allions faire maintenant. A 16 ans pour la plupart, nous ne savions déjà pas quel métier faire plus tard.
Le chasseur partit quelques minutes plus tard. Nous sommes restés dans l'ancien camp des bandits. Les heures passèrent, personne ne disait un mot, seules les sanglots d'Alice se faisaient entendre.
Maxime fut le premier à se lever et à parler. Il nous dit qu'il partait au nord pour affronter la tempête qui nous a amenée ici. Il nous invita à nous joindre à lui. Si il y avait une qu'une malheureuse lueur d'espoir, moi et les autres l'aurions suivit jusqu'au bout du monde mais même dans ses yeux il n'y avait pas d'espoir. J'ai essayé de le ramener à la raison mais il partit, seul. Sur cinq, nous n'étions plus que quatre. Notre ami Maxime, le plus fort d'entre s'en est allé.
Qu'allions nous faire maintenant ? Où aller ? Se sont les questions que Marie m'a posée. Malgré ce coup, elle pensait toujours à ce que je dirige le groupe.
Je me mis à cogiter, des dizaines de facteurs étaient à prendre en compte. La solution était pourtant simple mais ici il faut réfléchir avant de prendre la moindre décision.
Une ville, un village, un hameau, un endroit habité, il fallait que l'on trouve des gens. Je pris le petit plan que j'avais dessiner dans mon bloc-note : le prochain village est nord-ouest. Il se trouve également près d'un lac. La marche n'était pas finie.
Il était midi passé quand Maxime se réveilla. Il avait mal à la tête il disait. Nous lui avons dit que c'était grâce à Henri que nous étions tous vivants, surtout moi.
Malgré le fait que Maxime a été blesser il y a à peine quelques heures, nous devions reprendre notre route. Avant que nous partions, Henry nous demanda où nous allions. Nous lui avons expliqué que nous nous dirigions vers le nord pour nous échapper de cette île maudite.
« Ça ne sert à rien, dit-il.
_ Comment ça ? La tempête est peut être moins forte voire absente au nord, dit Marie.
_ D'habitude, c'est du nord que viennent les naufragés...
_ What ? Ça veut dire que y'as pas moyen de nous barrer vers le nord ?!("> S'exclama Matthieu.
_ Exact.
_ Putain de merde ! S'énerva Maxime.
_ Vous êtes sûr que c'est infranchissable au nord ? Demandais-je.
_ Sûr et certain. »
Cette nouvelle nous a abattue. Nous ne reverrions jamais notre famille, nous sommes coincés sur cette île au monstres. Je n'osais pas y croire. Nous avions donc marché pour rien, combattus pour rien ? Qu'est-ce que nous allions faire maintenant. A 16 ans pour la plupart, nous ne savions déjà pas quel métier faire plus tard.
Le chasseur partit quelques minutes plus tard. Nous sommes restés dans l'ancien camp des bandits. Les heures passèrent, personne ne disait un mot, seules les sanglots d'Alice se faisaient entendre.
Maxime fut le premier à se lever et à parler. Il nous dit qu'il partait au nord pour affronter la tempête qui nous a amenée ici. Il nous invita à nous joindre à lui. Si il y avait une qu'une malheureuse lueur d'espoir, moi et les autres l'aurions suivit jusqu'au bout du monde mais même dans ses yeux il n'y avait pas d'espoir. J'ai essayé de le ramener à la raison mais il partit, seul. Sur cinq, nous n'étions plus que quatre. Notre ami Maxime, le plus fort d'entre s'en est allé.
Qu'allions nous faire maintenant ? Où aller ? Se sont les questions que Marie m'a posée. Malgré ce coup, elle pensait toujours à ce que je dirige le groupe.
Je me mis à cogiter, des dizaines de facteurs étaient à prendre en compte. La solution était pourtant simple mais ici il faut réfléchir avant de prendre la moindre décision.
Une ville, un village, un hameau, un endroit habité, il fallait que l'on trouve des gens. Je pris le petit plan que j'avais dessiner dans mon bloc-note : le prochain village est nord-ouest. Il se trouve également près d'un lac. La marche n'était pas finie.