Note de la fic : 
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 23
Publié le 12/10/2013 à 10:36:45 par Camion2LaGalayr
Franchement.... Nous attendions à tomber sur des personnes hostiles en chemin, nous étions sur nos garde mais après à peine une heure....
Nous avons continué à marcher toujours tout droit et au tournant d'un arbre, ils étaient là en train de manger, assis sur ces vieux rondins de bois. Nous nous sommes regardés au moins une minute sans rien dire, sans rien faire, tellement nous étions étonnés de s'être tombés dessus comme ça puis un des hommes commença à sauter vers son épée, posée un peu plus loin, contre un arbre. Nous avons sortis nos armes alors qu'eux prenaient les leurs. Je me souviens qu'après ça aucun de nous ne voulaient charger l'autre, nous avons eu le temps de bien nous regardés : nous étions cinq et les rôdeurs six mais qu'un seul homme avait une épée, trois avaient des lances et deux avaient des arcs. Matthieu, notre stratège, nous souffla un mot : « Courez, ».
Nous ne nous sommes pas fait priés, en à peine une seconde nous courrions dans le sens opposé de nos ennemies qui aussi tôt se sont mis à nous poursuivre. Nous sentions les flèches sifflées autour de nous mais les arbres nous procuraient des couvertures idéales et dans la forêt épaisse où règne l'ombre et l'obscurité qui permettent aux montres de survivre nous nous avons rapidement échappés à nos poursuivants mais c'était très juste, trop juste.
Après avoir jugés que nous étions assez loin, je dis aux autres de nous arrêter. Alice et Matthieu étaient à bout de souffle. En fait surtout Matthieu.
« Bon, au moins personne est blesser, dis-je.
_ J'en peux plus
, soupir Matthieu.
_ On sait où ils sont maintenant, déclara Marie qui vidait sa chaussure de brindilles qui s'étaient glissés dedans.
_ Ils ne resterons sûrement pas là, maintenant que l'on connaît leur emplacement, dis-je.
_ Ouais, t'as raison, ils vont changer d'endroit, dit Maxime.
_ C'est pas sûr, dit Matthieu.
_Explique toi ? Dis-je.
_ Ils nous ont bien vu, ils ont vu que nous étions des enfants et de ce fait il y a de grande chance qu'ils vont nous méprisés, nous prendre à la légère et il faudra jouer sur ça parce que les mecs avec les arcs ils visent mieux que Marie
»
Nous nous sommes reposés un bon moment pour reprendre nos forces. Quand le soleil commença à descendre dangereusement vers l'horizon nous nous nous sommes mis en route.
Nous avons continué à marcher toujours tout droit et au tournant d'un arbre, ils étaient là en train de manger, assis sur ces vieux rondins de bois. Nous nous sommes regardés au moins une minute sans rien dire, sans rien faire, tellement nous étions étonnés de s'être tombés dessus comme ça puis un des hommes commença à sauter vers son épée, posée un peu plus loin, contre un arbre. Nous avons sortis nos armes alors qu'eux prenaient les leurs. Je me souviens qu'après ça aucun de nous ne voulaient charger l'autre, nous avons eu le temps de bien nous regardés : nous étions cinq et les rôdeurs six mais qu'un seul homme avait une épée, trois avaient des lances et deux avaient des arcs. Matthieu, notre stratège, nous souffla un mot : « Courez, ».
Nous ne nous sommes pas fait priés, en à peine une seconde nous courrions dans le sens opposé de nos ennemies qui aussi tôt se sont mis à nous poursuivre. Nous sentions les flèches sifflées autour de nous mais les arbres nous procuraient des couvertures idéales et dans la forêt épaisse où règne l'ombre et l'obscurité qui permettent aux montres de survivre nous nous avons rapidement échappés à nos poursuivants mais c'était très juste, trop juste.
Après avoir jugés que nous étions assez loin, je dis aux autres de nous arrêter. Alice et Matthieu étaient à bout de souffle. En fait surtout Matthieu.
« Bon, au moins personne est blesser, dis-je.
_ J'en peux plus
, soupir Matthieu._ On sait où ils sont maintenant, déclara Marie qui vidait sa chaussure de brindilles qui s'étaient glissés dedans.
_ Ils ne resterons sûrement pas là, maintenant que l'on connaît leur emplacement, dis-je.
_ Ouais, t'as raison, ils vont changer d'endroit, dit Maxime.
_ C'est pas sûr, dit Matthieu.
_Explique toi ? Dis-je.
_ Ils nous ont bien vu, ils ont vu que nous étions des enfants et de ce fait il y a de grande chance qu'ils vont nous méprisés, nous prendre à la légère et il faudra jouer sur ça parce que les mecs avec les arcs ils visent mieux que Marie
»Nous nous sommes reposés un bon moment pour reprendre nos forces. Quand le soleil commença à descendre dangereusement vers l'horizon nous nous nous sommes mis en route.