Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 20
Publié le 07/10/2013 à 20:20:19 par Camion2LaGalayr
Mes yeux, ce matin, on eu du mal à s'ouvrir mais j'ai été prompt à réagir quand j'ai entendus la branche craquer sous mon poids et je me suis vite redressé alors que la branche en question se détacha et tomba par terre.
Le bruit de cette branche de taille assez conséquente qui s'écrasa sur le sol réveilla tout les autres de leur torpeur. La matinée venait juste de débutée.
Pendant au moins une heure nous nous sommes préparés au départ. Le petit déjeuné nous permis de remarquer que les provisions de viande allaient commencer à manquée et nous n'avions pas non plus un grand stock de fruit. J'ai demander à mes compagnons de garder les yeux ouvert notamment pour nous protéger des monstres mais aussi pour repérer n'importe quel aliment un temps soit peu comestible.
La marche débuta dans cette forêt de tout les dangers. Depuis hier nous savions que plus nous allions dans la direction à suivre, plus nous nous enfoncerions dans la forêt et le fait que l'obscurité provoquée par cette densité d'arbres pouvait permettre à des monstres de survivre ne nous enchantait pas vraiment mais nous étions déterminés à poursuivre notre route.
Cette forêt devenait en effet de plus en plus sombre à mesure que l'on avançais. Les bruits de nos pas, ceux des insectes et des oiseaux étaient les seuls sons audibles. C'était à la fois rassurant et pesant. J'aurais aimé que cela dure mais ce ne fut pas le cas.
Au bout de quelques heures les grognements se sont fait entendre. Ils était plusieurs cette fois, on ne savait pas combien mais ce songe est vite sorti de ma tête quand une flèche me frôla le visage ! Il n'y avait donc pas que des draugr.
Le fait que j'étais a un cheveux de mourir m'as affolé ! Je m'étais cacher derrière un arbre comme mes alliés. Je respirais rapidement, j'avais même pas songé à sortir mon arme quand la voix de Matthieu se fit entendre.
« Musclor, go faire monter Marie sur l'arbre pour qu'elle powned les ennemies avec son arc en sécurité, Jérémy, viens à coté de moi et la p'tite essaye de contourner l'ennemie pour voir combien ils sont.
_ T'es malades ! T'envoie une fille de dix ans vers des monstres ?! S'exclama Marie.
_ A la guerre faut savoir utiliser toutes ces unités et c'est primordiale de savoir combien ils sont , répondit Matthieu
_ Faudrait au moins lui demander, dit Maxime
_ Trop tard, elle est partie, fis-je remarquer à Maxime. »
Le bruit de cette branche de taille assez conséquente qui s'écrasa sur le sol réveilla tout les autres de leur torpeur. La matinée venait juste de débutée.
Pendant au moins une heure nous nous sommes préparés au départ. Le petit déjeuné nous permis de remarquer que les provisions de viande allaient commencer à manquée et nous n'avions pas non plus un grand stock de fruit. J'ai demander à mes compagnons de garder les yeux ouvert notamment pour nous protéger des monstres mais aussi pour repérer n'importe quel aliment un temps soit peu comestible.
La marche débuta dans cette forêt de tout les dangers. Depuis hier nous savions que plus nous allions dans la direction à suivre, plus nous nous enfoncerions dans la forêt et le fait que l'obscurité provoquée par cette densité d'arbres pouvait permettre à des monstres de survivre ne nous enchantait pas vraiment mais nous étions déterminés à poursuivre notre route.
Cette forêt devenait en effet de plus en plus sombre à mesure que l'on avançais. Les bruits de nos pas, ceux des insectes et des oiseaux étaient les seuls sons audibles. C'était à la fois rassurant et pesant. J'aurais aimé que cela dure mais ce ne fut pas le cas.
Au bout de quelques heures les grognements se sont fait entendre. Ils était plusieurs cette fois, on ne savait pas combien mais ce songe est vite sorti de ma tête quand une flèche me frôla le visage ! Il n'y avait donc pas que des draugr.
Le fait que j'étais a un cheveux de mourir m'as affolé ! Je m'étais cacher derrière un arbre comme mes alliés. Je respirais rapidement, j'avais même pas songé à sortir mon arme quand la voix de Matthieu se fit entendre.
« Musclor, go faire monter Marie sur l'arbre pour qu'elle powned les ennemies avec son arc en sécurité, Jérémy, viens à coté de moi et la p'tite essaye de contourner l'ennemie pour voir combien ils sont.
_ T'es malades ! T'envoie une fille de dix ans vers des monstres ?! S'exclama Marie.
_ A la guerre faut savoir utiliser toutes ces unités et c'est primordiale de savoir combien ils sont , répondit Matthieu
_ Faudrait au moins lui demander, dit Maxime
_ Trop tard, elle est partie, fis-je remarquer à Maxime. »