Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 15 : Évacuation planétaire
Publié le 29/09/2013 à 11:28:51 par Camion2LaGalayr
Je ne sais plus trop comment nous avions abordés le sujet mais nous avions commencés à parler de la guerre.
_ Quand je pense que quand nous partirons d'ici, on devra allés en Antarctique, je me dis qu'on feraient mieux de profité de ce climat, dit Maxime en plaisantant.
_ Au moins en Antarctique on à du réseau , j'espère de je pourrais trouver un bon paycay pour pas trop cher, ajouta Matthieu.
_ Tu pense à autre chose que ton ordinateur ? taquina Marie
_ Et si la guerre deviens une guerre atomique je donne pas cher de ton réseau, dit Maxime.
_ Si ça devient une guerre atomique alors tout le monde s'enfuira dans l'espace, j'ose même pas imaginer le bordel, il y aura jamais assez de place pour tout le monde, dis-je.
_ Ca fait longtemps maintenant que la lune est devenue une vraie station spatiale et bientôt ça sera mars, enfin si il reste un pays debout après la guerre
_ Et puis il y a la station spatiale en orbite autour de la terre qui peux accueillir des gens, non ? demanda Marie.
_ C'est une station scientifique mais je pense que dans l'urgence il accueillerons des gens, répondis-je.
_ Mais c'est clair que ont pourra pas envoyer dix milliard de personnes dans l'espace, surtout dans le tier monde, genre Afrique, Asie de l'est, Amérique du Sud... dit Maxime.
Après cette conversation, le silence s'installa mais le fait que le soleil avait déjà disparu derrière l'horizon me fit prendre conscience que nous devions boucher la seule fenêtre de la cabane. Je pris alors un morceau de bois assez grand pour fermer la petite fenêtre.
Le fait que maintenant il faisait nuit fit remonter la tension parmi nous, je me rapprochais de mon épée qui était posée quelques centimètres plus loin. Peu de bruit se faisait à ce moment là entendre: le crépitement des flammes de la cheminée, le bruit du vent qui venait de l’extérieur et celui de la pluie qui commençait à tombée. C'est quand il y eu une interruption pendant l'averse que d'autres bruits remplacèrent la pluie, ces bruits nous commencions à bien les connaitre mais ils nous glacèrent toujours autant le sang: des grognements, des bruits de pas et des petits cris stridents. Des monstres étaient tout proches de la maison.
Nous les garçons avions nos armes en main, la petite Alice était au fond de la pièce recroquevillé sur elle même et Marie était à coté d'elle, un couteau à la main.
_ Quand je pense que quand nous partirons d'ici, on devra allés en Antarctique, je me dis qu'on feraient mieux de profité de ce climat, dit Maxime en plaisantant.
_ Au moins en Antarctique on à du réseau , j'espère de je pourrais trouver un bon paycay pour pas trop cher, ajouta Matthieu.
_ Tu pense à autre chose que ton ordinateur ? taquina Marie
_ Et si la guerre deviens une guerre atomique je donne pas cher de ton réseau, dit Maxime.
_ Si ça devient une guerre atomique alors tout le monde s'enfuira dans l'espace, j'ose même pas imaginer le bordel, il y aura jamais assez de place pour tout le monde, dis-je.
_ Ca fait longtemps maintenant que la lune est devenue une vraie station spatiale et bientôt ça sera mars, enfin si il reste un pays debout après la guerre
_ Et puis il y a la station spatiale en orbite autour de la terre qui peux accueillir des gens, non ? demanda Marie.
_ C'est une station scientifique mais je pense que dans l'urgence il accueillerons des gens, répondis-je.
_ Mais c'est clair que ont pourra pas envoyer dix milliard de personnes dans l'espace, surtout dans le tier monde, genre Afrique, Asie de l'est, Amérique du Sud... dit Maxime.
Après cette conversation, le silence s'installa mais le fait que le soleil avait déjà disparu derrière l'horizon me fit prendre conscience que nous devions boucher la seule fenêtre de la cabane. Je pris alors un morceau de bois assez grand pour fermer la petite fenêtre.
Le fait que maintenant il faisait nuit fit remonter la tension parmi nous, je me rapprochais de mon épée qui était posée quelques centimètres plus loin. Peu de bruit se faisait à ce moment là entendre: le crépitement des flammes de la cheminée, le bruit du vent qui venait de l’extérieur et celui de la pluie qui commençait à tombée. C'est quand il y eu une interruption pendant l'averse que d'autres bruits remplacèrent la pluie, ces bruits nous commencions à bien les connaitre mais ils nous glacèrent toujours autant le sang: des grognements, des bruits de pas et des petits cris stridents. Des monstres étaient tout proches de la maison.
Nous les garçons avions nos armes en main, la petite Alice était au fond de la pièce recroquevillé sur elle même et Marie était à coté d'elle, un couteau à la main.