Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 27
Publié le 12/10/2013 à 22:41:40 par Camion2LaGalayr
Il se rapprocha de nous d'un pas assuré. Moi et les autres étions sur nos gardes. L'homme était maintenant juste devant nous. Il me poussa du bras et se mit accroupit devant le corps de Maxime et l'examina. A ce moment là nous avions baissés nos armes, cet homme ne semblait pas nous vouloir du mal. Après une minute à examiner notre ami, il se tourna vers le cadavre d'une araignée puis il sorti son couteau et ouvra l'abdomen de celle-ci.
C'était dégoûtant …. Il y sorti une espèce de poche, perça un trou dedans, mit son doigt à l'intérieur et goûta le liquide noirâtre qu'il y avait dedans. Marie avait envie de vomir et Matthieu détourna le regard. « Vous avez vraiment eu de la chance. Le poison de ces araignées est un puissant somnifère, la vie de votre ami n'est pas en danger. »
Bien qu'heureux que Maxime ne soit pas en danger de mort, j'étais intrigué par ce personnage assez répugnant. Ce dernier sans un mot se releva, toujours avec le couteau à la main, il se dirigea vers notre prisonnier un peu plus loin et sans un mot l'égorgea.
Ahuris par ce geste cruel, nous avions d'abord rien dit et lorsque que je me décidais à lui faire une remarque il recommença a parler.
« Les autres sont tous morts hier soir. Je les aient attirés vers un nid d'araignées, je vous fait grâce des détails. »
Je ne savais pas si il fallait que je remercie cet homme ou si je devrais le considéré comme un ennemi.
Marie protesta contre ses pratiques « barbares » mais quand elle voulu de notre soutient, Matthieu et moi restions silencieux.
L'homme sans prendre en compte les remarques de Marie s'adressa de nouveau à nous :
« J'ai repéré vos traces il y a deux jours, vous êtes dans le secteur où je chasse habituellement. Dans votre groupe il y a cinq personnes.... Ou est la cinquième ? »
Alice ! Elle est encore dans la forêt. Elle ne doit pas être loin.
Plus rapide à réagir que les autres, je me suis mis à fouiller l'endroit où devrait se trouver la petite fille. Après quelques secondes de recherche, je la trouva.
Heureusement elle n'avait rien, elle dormait encore. Le soleil venait à peine de dépasser l'horizon. Je la réveilla et l'invita à me suivre. Une fois tous regroupés, nous sommes restés regarder le chasseur.
Ce n'est que plus tard que je suis allé lui parler.
« Merci de m'avoir sauvé la vie tout à l'heure.
_ Hum... en fait je vous ai surtout sauvé la vie hier en me débarrassant de la racaille.
_ Oui, merci pour ça aussi.
_ Je ne l'ai pas fait pour vous, ils me gênaient et puis ce genre de personnes me donne envie de vomir. En garder un vivant ne sert à rien sauf si vous le revendez à un marchand d'esclaves.
_ Quoi ?! Un marchand d'esclaves ?! Ça existe encore ici ?
_ C'est pour ne pas gaspiller les vies humaines.
_ Je ne comprend pas vraiment, nous sommes nouveaux ici.
_ J'avais remarqué »
C'était dégoûtant …. Il y sorti une espèce de poche, perça un trou dedans, mit son doigt à l'intérieur et goûta le liquide noirâtre qu'il y avait dedans. Marie avait envie de vomir et Matthieu détourna le regard. « Vous avez vraiment eu de la chance. Le poison de ces araignées est un puissant somnifère, la vie de votre ami n'est pas en danger. »
Bien qu'heureux que Maxime ne soit pas en danger de mort, j'étais intrigué par ce personnage assez répugnant. Ce dernier sans un mot se releva, toujours avec le couteau à la main, il se dirigea vers notre prisonnier un peu plus loin et sans un mot l'égorgea.
Ahuris par ce geste cruel, nous avions d'abord rien dit et lorsque que je me décidais à lui faire une remarque il recommença a parler.
« Les autres sont tous morts hier soir. Je les aient attirés vers un nid d'araignées, je vous fait grâce des détails. »
Je ne savais pas si il fallait que je remercie cet homme ou si je devrais le considéré comme un ennemi.
Marie protesta contre ses pratiques « barbares » mais quand elle voulu de notre soutient, Matthieu et moi restions silencieux.
L'homme sans prendre en compte les remarques de Marie s'adressa de nouveau à nous :
« J'ai repéré vos traces il y a deux jours, vous êtes dans le secteur où je chasse habituellement. Dans votre groupe il y a cinq personnes.... Ou est la cinquième ? »
Alice ! Elle est encore dans la forêt. Elle ne doit pas être loin.
Plus rapide à réagir que les autres, je me suis mis à fouiller l'endroit où devrait se trouver la petite fille. Après quelques secondes de recherche, je la trouva.
Heureusement elle n'avait rien, elle dormait encore. Le soleil venait à peine de dépasser l'horizon. Je la réveilla et l'invita à me suivre. Une fois tous regroupés, nous sommes restés regarder le chasseur.
Ce n'est que plus tard que je suis allé lui parler.
« Merci de m'avoir sauvé la vie tout à l'heure.
_ Hum... en fait je vous ai surtout sauvé la vie hier en me débarrassant de la racaille.
_ Oui, merci pour ça aussi.
_ Je ne l'ai pas fait pour vous, ils me gênaient et puis ce genre de personnes me donne envie de vomir. En garder un vivant ne sert à rien sauf si vous le revendez à un marchand d'esclaves.
_ Quoi ?! Un marchand d'esclaves ?! Ça existe encore ici ?
_ C'est pour ne pas gaspiller les vies humaines.
_ Je ne comprend pas vraiment, nous sommes nouveaux ici.
_ J'avais remarqué »