Nous nous sommes tous brusquement relevés, bruits occasionné nous fit repérer par les trois hommes. Nous avons sortis nos armes et menacions nos adversaires. Nous étions hors de portée d'eux, à au moins cinq mètres. Je leur demander qui ils étaient, ils ont répondus en pointant leurs armes vers nous.

A peine ils avaient fait un pas vers nous Marie décocha une flèche qui toucha fatalement un des deux hommes blancs. Matthieu et moi étions l'un a coté de l'autre pour se couvrir l'un l'autre. L'homme noir balança une de ses lances vers nous mais par chance, la pointe de celle si heurta mon épée. Les deux hommes chargèrent alors qu'ils étaient trop près pour que Marie puisse utiliser son arc. L'homme noir me prit pour cible, il voulu m'embrocher sur sa lance, j'esquivais son premier coup mais il me frappa avec la pointe de sa lance, il me coupa en donnant un coup latéral. L'heure n'était pas à la souffrance ! J'esquivais et parais mais il ne me laissait pas un seule ouverture pour attaquer. A coté de moi, Marie aidait avec l'une de nos lances Matthieu contre son adversaire.
Mon ennemie prenait l'avantage mais Matthieu et Marie arrièrent à temps, à trois contre un, l'homme imposant savait qu'il n'avait aucun chance, il prit la fuite.

Lorsqu'il se retourna, il poussa Alice qui essayait de lui barrer la route. Nous ne le laisserons pas s'enfuir ! Moi et Matthieu balancions les lances à notre disposition mais elles ne touchèrent pas. Marie fit mouche avec son arc, l'homme reçu la flèche dans le dos et il s'effondra au sol.
Nous sommes aller vérifier que l'homme était mort, c'était le cas.

Nous ramassions les objets utiles : de la nourriture dans un sac, des gourdes et d'autres choses sans importance mais qui serait utiles.

La suite de la journée fut constituée d'encore et toujours de marche. Il faisait vraiment chaud, pas un seul nuage dans le ciel, le soleil tapait dur mais il de moins en moins : la journée allait bientôt finir.
Le soleil se couchait, pas d'abri pour la nuit. Il va falloir survivre sans se cacher.

« Bon. Je ne vois qu'un seul moyen de pouvoir avancer dans une plaine vide, dis-je en soupirant.

_ Lequel ? Demanda Matthieu

_ L'un d'entre nous ne dort pas de la nuit et monte la garde, le lendemain c'est un autre et ainsi de suite. De cette manière qu'un seul membre du groupe sera fatigué et les autres aurons une bonne nuit de sommeil.

_ Reste à savoir qui restera cette nuit, dit Marie.

_ Je me propose, dis-je.

_ J'ai rien à redire

_ Demain c'est toi, dit Marie.

_ Je sais »

Cette nuit, pas de feu, nous ne pouvions pas nous faire repérer. Nous avons mangés et les autres sont aller se coucher. Les hautes herbes nous cachais vraiment bien. J'étais assis dans l'herbe près des autres qui étaient allongés. Nous étions invisibles pour une personne debout.

La nuit était déjà bien avancée, il devait être plus de minuit. J'entendais les bruits aux loin mais en effet, ils étaient lointain, pas besoin de s'en soucier. Enfin jusqu'à ce qu'ils se rapprochent.