Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 31
Publié le 12/10/2013 à 22:46:40 par Camion2LaGalayr
Dans cette nuit éclairée par la pleine lune, je me déplaçais accroupi dans les hautes herbes, je m'éloignais des autres endormis. Eux par contre étaient tout près, je les entendaient parfaitement. Avec moi, une lance et mon épée ainsi qu'un couteau. Il fallait que j'éloigne les monstres de me compagnons ou que je m'en débarrasse.
Un d'eux était tout près, il venait de passer devant moi sans me voir, un draugr. Je pris ma lance et mon courage à deux mains et planta la pointe de mon arme dans la nuque du monstre tout en restant caché. Il mourut sur le coup et tomba par terre. Les autres monstres continuaient leur route.
Très vite, un deuxième passa devant moi, même coup qu'à l'autre, même résultat. Un troisième passa à quelques mètres de moi, je me rapprochais discrètement et quand je fus à portée je lui planta ma lance dans le crâne, lui aussi mourut.
Quelques minutes passèrent avant que d'autres arrivent. Un squelette passa à coté de moi. Je me suis servis de mon épée pour lui donner un coup dans les os de ces jambes, les os se détachèrent et le squelette encore en vie tomba à terre. Il garda son arc dans une main, moi je me suis précipité vers lui pour lui arracher le crâne à main nues, ce qui ne fut pas très difficile.
Je me déplaçais en fonction des déplacement des monstres, je les entendaient marcher. Un autre draugr se présenta à moi, j'attendis que celui-ci me dépasse pour le tuer avec ma lance. Une fois qu'il m'ait dépassé, je lui planta ma lance dans l'arrière du crâne comme le précédent mais cette fois je ne senti pas ma lance rentrer dans sa tête. Le draugr était toujours en vie, j'avais pour temps bien frappé, avec assez de force ! Celui-ci devait être plus fort que les autres. Le monstre aux yeux noirs se tourna vers moi. Je réagis, pris mon épée et la planta dans le corps du monstre qui poussa un hurlement avant de tomber.
Le hurlement alerta les monstres alentours qui se dirigeaient vers ma position. Malgré le fait que je sois dans les hautes herbes je me fis vite repéré ! Je me suis redressé pour courir, des flèches volaient dans ma direction, de plus en plus de monstres venaient vers moi. J'allais mourir ? Pas sans me battre ! Je fis demi tour et je fonça avec la lance dans une main et l'épée dans l'autre. Violemment je planta un des draugr avec ma lance et en tranchais un autre avec mon épée. Un troisième venait vers moi, j'esquivais sont coup et le tua avec mon épée. Un par un ils tombèrent, en réalité étaient-ils si faibles ? Non après tout ce temps sur cette île, tout ces combats, je m’étais amélioré, mon épée me paraissait plus facile à manier.
Un autre draugr tomba sous mon épée, je lançais ma lance tel un vélite sur un autre qui approchait. Une dizaine de draugr sont mort par mes armes. Mais les archers me tiraient encore dessus ! C'est en me mettant à couvert dans les herbes que je m'approchais d'eux. Ils étaient isolés les uns des autres, des cibles faciles. Un par un, je les brisaient !
Je regardais autour de moi : plus de monstres dans les parages. Au loin j'en voyais d'autre mais ce n'était pas la peine de risquer ma vie pour les tués. Je retournais auprès des autres, encore endormis.
Durant la nuit, je me suis levé nombre de fois pour les défendre.
Un d'eux était tout près, il venait de passer devant moi sans me voir, un draugr. Je pris ma lance et mon courage à deux mains et planta la pointe de mon arme dans la nuque du monstre tout en restant caché. Il mourut sur le coup et tomba par terre. Les autres monstres continuaient leur route.
Très vite, un deuxième passa devant moi, même coup qu'à l'autre, même résultat. Un troisième passa à quelques mètres de moi, je me rapprochais discrètement et quand je fus à portée je lui planta ma lance dans le crâne, lui aussi mourut.
Quelques minutes passèrent avant que d'autres arrivent. Un squelette passa à coté de moi. Je me suis servis de mon épée pour lui donner un coup dans les os de ces jambes, les os se détachèrent et le squelette encore en vie tomba à terre. Il garda son arc dans une main, moi je me suis précipité vers lui pour lui arracher le crâne à main nues, ce qui ne fut pas très difficile.
Je me déplaçais en fonction des déplacement des monstres, je les entendaient marcher. Un autre draugr se présenta à moi, j'attendis que celui-ci me dépasse pour le tuer avec ma lance. Une fois qu'il m'ait dépassé, je lui planta ma lance dans l'arrière du crâne comme le précédent mais cette fois je ne senti pas ma lance rentrer dans sa tête. Le draugr était toujours en vie, j'avais pour temps bien frappé, avec assez de force ! Celui-ci devait être plus fort que les autres. Le monstre aux yeux noirs se tourna vers moi. Je réagis, pris mon épée et la planta dans le corps du monstre qui poussa un hurlement avant de tomber.
Le hurlement alerta les monstres alentours qui se dirigeaient vers ma position. Malgré le fait que je sois dans les hautes herbes je me fis vite repéré ! Je me suis redressé pour courir, des flèches volaient dans ma direction, de plus en plus de monstres venaient vers moi. J'allais mourir ? Pas sans me battre ! Je fis demi tour et je fonça avec la lance dans une main et l'épée dans l'autre. Violemment je planta un des draugr avec ma lance et en tranchais un autre avec mon épée. Un troisième venait vers moi, j'esquivais sont coup et le tua avec mon épée. Un par un ils tombèrent, en réalité étaient-ils si faibles ? Non après tout ce temps sur cette île, tout ces combats, je m’étais amélioré, mon épée me paraissait plus facile à manier.
Un autre draugr tomba sous mon épée, je lançais ma lance tel un vélite sur un autre qui approchait. Une dizaine de draugr sont mort par mes armes. Mais les archers me tiraient encore dessus ! C'est en me mettant à couvert dans les herbes que je m'approchais d'eux. Ils étaient isolés les uns des autres, des cibles faciles. Un par un, je les brisaient !
Je regardais autour de moi : plus de monstres dans les parages. Au loin j'en voyais d'autre mais ce n'était pas la peine de risquer ma vie pour les tués. Je retournais auprès des autres, encore endormis.
Durant la nuit, je me suis levé nombre de fois pour les défendre.