Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 25
Publié le 12/10/2013 à 21:03:23 par Camion2LaGalayr
Nous les voyons bien derrière les arbres, autour de leur feu de camp en train de boire et de manger.
Nous nous n'avions rien mangés de la soirée, nous avions faim.
Alice était un peu plus loin derrière moi, Matthieu à 5 mètres à ma gauche et Maxime à 6 mètres à ma droite. Nous attendions l'arrivée des monstres pour monter notre attaque.
C'est peu de temps après que derrière les deux hommes nous avons vu sortir les monstres. Trop occupés à parler, ils n'avaient pas entendus les draugr approcher. Dès qu'ils remarquèrent leur présence ils saisirent leurs lances et combattirent les draugr, le combat ne fut pas long, ils ont plantés leurs lances dans les corps de leurs opposants et ils moururent. C'est à ce moment là qu'un des rôdeur reçu une flèche, venant de la forêt sombre, dans le torse et il tomba à la renverse. C'était le signal ! Nous sommes tous sortis et notre ennemie fut encerclé par quatre personnes. Marie le tenait en joue et nous nous pointions nos lames vers lui. L'homme dans un élan de lucidité lâcha son arme et leva les bras.
Marie garda sa position, le menaçant de son arme pendant que Maxime lui attachait les mains. Après ceci fait, nous l'avons ligoté à un arbre avec la corde trouvée dans le camp. Nous nous sommes équipés de ce que nous avons trouvés : les flèches pour Marie, un lance pour Maxime et une pour Matthieu, un couteau pour moi ainsi la nourriture et l'eau pour notre pomme.
Une fois que nous ayons pris tout ce qui était à prendre, nous nous sommes mis en position défensive. Marie s'embusqua en haut d'un arbre, Matthieu resta à coté de notre prisonnier et maxime et moi dans les bordures du camp, hors de porté de la lumière du feu de camp, Alice était en sécurité en haut d'un arbre, cachée dans les feuilles. Nous avions pris soin de déplacer le corps qui jonchait non loin du feu vers un endroit plus sombre. Nous attendions patiemment les autres rôdeurs qui finiraient bien par se montrer.
Toute la nuit nous sommes restés dans cette position, plusieurs fois j'ai manqué de m'endormir et Maxime aussi et quand avant que l'aube n'arrive, Maxime, impatient, sorti de la cachette.
Nous nous n'avions rien mangés de la soirée, nous avions faim.
Alice était un peu plus loin derrière moi, Matthieu à 5 mètres à ma gauche et Maxime à 6 mètres à ma droite. Nous attendions l'arrivée des monstres pour monter notre attaque.
C'est peu de temps après que derrière les deux hommes nous avons vu sortir les monstres. Trop occupés à parler, ils n'avaient pas entendus les draugr approcher. Dès qu'ils remarquèrent leur présence ils saisirent leurs lances et combattirent les draugr, le combat ne fut pas long, ils ont plantés leurs lances dans les corps de leurs opposants et ils moururent. C'est à ce moment là qu'un des rôdeur reçu une flèche, venant de la forêt sombre, dans le torse et il tomba à la renverse. C'était le signal ! Nous sommes tous sortis et notre ennemie fut encerclé par quatre personnes. Marie le tenait en joue et nous nous pointions nos lames vers lui. L'homme dans un élan de lucidité lâcha son arme et leva les bras.
Marie garda sa position, le menaçant de son arme pendant que Maxime lui attachait les mains. Après ceci fait, nous l'avons ligoté à un arbre avec la corde trouvée dans le camp. Nous nous sommes équipés de ce que nous avons trouvés : les flèches pour Marie, un lance pour Maxime et une pour Matthieu, un couteau pour moi ainsi la nourriture et l'eau pour notre pomme.
Une fois que nous ayons pris tout ce qui était à prendre, nous nous sommes mis en position défensive. Marie s'embusqua en haut d'un arbre, Matthieu resta à coté de notre prisonnier et maxime et moi dans les bordures du camp, hors de porté de la lumière du feu de camp, Alice était en sécurité en haut d'un arbre, cachée dans les feuilles. Nous avions pris soin de déplacer le corps qui jonchait non loin du feu vers un endroit plus sombre. Nous attendions patiemment les autres rôdeurs qui finiraient bien par se montrer.
Toute la nuit nous sommes restés dans cette position, plusieurs fois j'ai manqué de m'endormir et Maxime aussi et quand avant que l'aube n'arrive, Maxime, impatient, sorti de la cachette.