Note de la fic :
-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action, Fantastique
Statut : Terminée
Chapitre 18 : - Mort -
Publié le 09/02/2013 à 15:11:06 par Misaki-Senpai
J'en avais plus qu'assez de cet énergumène, de cet homme malicieux, des ténèbres de ce monde, qui était d'origine si lumineux et calme... Je serrai le poing, ma lame solidement ancré à l'intérieur, puis hurlai une phrase, une unique phrase.
«- Tu va finir par mourir, toi et ton instinct de fuite lamentable, ça suffit !
- Ho, si c'est ce que tu veux, d'accord. Mais cette mort commencera par la tienne, en garde.
- ... Je viens aussi, Misaki, je suis prête à t'aider, je t'aiderai grâce à mes soins.
- Comme tu voudras, Saria, ma seule condition, c'est qu'on en finisse avec cet homme..., dis-je, colérique au plus haut point. »
Ma compagne ne plaisantait plus du moindre : elle s'imprégna à nouveau de son flux vert, suivit de la même couleur, mais pour ses yeux. Après l'avoir longuement observé, je dégainai et me préparai à attaquer. Je levai les yeux au ciel, puis une fine bruine commençait à tomber, puis à ruisseler sur nos corps, certains prisonniers d'un glas certains...
Je me jetai vivement sur l'épaule de l'agresseur, espérant le lui immobiliser pendant un court laps de temps, suffisant néanmoins pour le blesser grièvement. Cette attaque échoua, peut-être par manque de temps ou de précision, et c'est à cet instant précis que je me fis littéralement envoyer au sol par un coup de poing, vraisemblablement puissant et d'une précision extrême.
L'atterrissage fut violent et douloureux. Je me relevai néanmoins, repris ma lame et lançai un projectile aqueux, renforcé par la fine pluie, sur l'ennemi potentiel. Il le prit de plein fouet, et ce premier gela au niveau des membres postérieurs du corps adverse.
« Hung, vermine... »
Je me précipitai sur lui et assénai un véloce coup de lame, et ce aux mollets. Un hurlement s'échappa de la bouche de l'homme, puis un lourd saignement suivit ce son. Ses jambes saignaient abondamment. Je choisis cet instant pour essayer de lui taillader le visage, ce visage masqué. Il me repoussa, puis me regarda via son œil écarlate... Je fis une petite roulade sur le côté, puis atterris dans son dos, et lui arracha son masque, la chose qui nous cachait son identité.
Le visage de Saria changea subitement, en une frayeur auparavant jamais connue. L'ennemi se baissa, sans essayer de m'attaquer, ni de riposter, ou encore moins de regarder Saria dans les yeux.
«- Sa... Saria, je suis désolé... Je...
- Mais pourquoi, pourquoi avoir fait ça ?... Toi, toi qui a... (Elle éclata subitement en sanglots.)
- Mais qu'est-ce qui se passe, ici, bordel ? dis-je, comme pour tenter d’éclairer la situation.
Je contournai le mystérieux personnage, le pris par le col, le leva de force, puis observa son visage... Ma haine se transforma en... en tristesse, en mélancolie.
- T... toi !
- Misaki ce n'est... ce n'est pas possible. Pourquoi diable a-t-il voulu me tuer ?... Et pourquoi est-il si obscur ?
- Je... je vais tout... vous expliquer, je...
Il s'avéra que le personnage, auparavant inconnu, devienne une personne importante à mes yeux, ainsi qu'à ceux de Saria. J'ouvrais grand mes yeux, et tombai à terre... Je ne pouvais pas croire que la personne ayant voulue nous tuer tout les deux, moi et Saria, soit... soit...
- Link... je... je suis Link...
- C... comment as-tu pu ?...
- Je vais tout... vous expliquer, si vous me le permettez, mais tuez-moi tout de suite si ça vous arrange...
- Non, non !..., dis-je. Explique-toi.
Avant qu'il ne s'apprête à parler, je réconforter Saria en lui disant qu'au fond, personne ne change vraiment, puis qu'il y avait forcément une solution pour pouvoir y remédier.
- Ganondorf, le seigneur du Malin, m'a fait prisonnier, puis m'a séquestré pendant de longs mois : sept en tout. Le seigneur voulait absolument obtenir mon fragment de Triforce, et pour cela il a utilisé tous les moyens possibles pour triompher du Courage... Il a même envoyé celui-ci dans « une autre dimension », d'après ses dires... Le dos de ma main prouve mon sort. Regardez.
- Ça alors... dis-je, comme pour conclure un bien long récit. Mais Link, ton fragment, c'est moi qui l'ai...
- Comment ça ?!
- Ganondorf n'a pas fait que parler, il s'est exécuté. Le Courage s'est incrusté en moi quand je suis sorti de ma maison, je l'ai touché, et... je l'ai absorbé... Maintenant, j'ai une quête à accomplir sur les bras, pfou...
- Mais Link, tu... tu n'es plus toi-même ? demanda avec inquiétude Saria.
- J-je ne sais pas, Ganondorf contrôle mon esprit quand bon lui semble, parce qu'un sorcier du nom de Xine lui a rendu la vie, et ce royalement en échange d'une partie de son âme... L'âme Elle est divisée en deux, soit son espérance de vie est coupée à sa moitié.
- Hum, alors le vrai méchant, c'est pas Ganondorf ?
- Exact.
- Que dis-tu de nous suivre et de te venger ?
- Non, j'ai fait tellement de mal à Hyrule, à vous, à tout le monde. Et puis regardez mon apparence !
- Mis à part tes yeux, rien ne change !
Il déchira son habit, couvrant son torse, puis une cicatrice apparut. Une sorte de brèche ténébreuse était implantée sur son corps. C'était elle qui le rendait si diabolique ! Je m'approchai, le clouai à terre, puis posai ma main pleine de magie positive sur son corps. Je la mélangeai avec une photosynthèse partielle, puis retirai les ténèbres le faisant disparaître, et ce petit à petit...
- Mais qu'est ce que tu fous, bon sang ?!
- Je... je vais te sauver !
Saria vint poser également sa photosynthèse, puis nous extirpâmes toutes les ténèbres issues dans son corps. Link s'était évanouit, et sa brèche de disloquait, à petit feu. Ses mains devinrent normales ainsi qu'un de ses deux yeux : l'autre resta rouge sang, puis une larme coula de son œil...
- Saria, on... on devrait l'emmener auprès de Darunia, c'est son frère de sang, non ?
- Oui...
Je pris l'Hylien sur mes épaules, puis nous marchâmes longuement dans les plaines... Notre après-midi avait été fructueuse en révélations, d'autant plus qu'en surprises !...
«- Tu va finir par mourir, toi et ton instinct de fuite lamentable, ça suffit !
- Ho, si c'est ce que tu veux, d'accord. Mais cette mort commencera par la tienne, en garde.
- ... Je viens aussi, Misaki, je suis prête à t'aider, je t'aiderai grâce à mes soins.
- Comme tu voudras, Saria, ma seule condition, c'est qu'on en finisse avec cet homme..., dis-je, colérique au plus haut point. »
Ma compagne ne plaisantait plus du moindre : elle s'imprégna à nouveau de son flux vert, suivit de la même couleur, mais pour ses yeux. Après l'avoir longuement observé, je dégainai et me préparai à attaquer. Je levai les yeux au ciel, puis une fine bruine commençait à tomber, puis à ruisseler sur nos corps, certains prisonniers d'un glas certains...
Je me jetai vivement sur l'épaule de l'agresseur, espérant le lui immobiliser pendant un court laps de temps, suffisant néanmoins pour le blesser grièvement. Cette attaque échoua, peut-être par manque de temps ou de précision, et c'est à cet instant précis que je me fis littéralement envoyer au sol par un coup de poing, vraisemblablement puissant et d'une précision extrême.
L'atterrissage fut violent et douloureux. Je me relevai néanmoins, repris ma lame et lançai un projectile aqueux, renforcé par la fine pluie, sur l'ennemi potentiel. Il le prit de plein fouet, et ce premier gela au niveau des membres postérieurs du corps adverse.
« Hung, vermine... »
Je me précipitai sur lui et assénai un véloce coup de lame, et ce aux mollets. Un hurlement s'échappa de la bouche de l'homme, puis un lourd saignement suivit ce son. Ses jambes saignaient abondamment. Je choisis cet instant pour essayer de lui taillader le visage, ce visage masqué. Il me repoussa, puis me regarda via son œil écarlate... Je fis une petite roulade sur le côté, puis atterris dans son dos, et lui arracha son masque, la chose qui nous cachait son identité.
Le visage de Saria changea subitement, en une frayeur auparavant jamais connue. L'ennemi se baissa, sans essayer de m'attaquer, ni de riposter, ou encore moins de regarder Saria dans les yeux.
«- Sa... Saria, je suis désolé... Je...
- Mais pourquoi, pourquoi avoir fait ça ?... Toi, toi qui a... (Elle éclata subitement en sanglots.)
- Mais qu'est-ce qui se passe, ici, bordel ? dis-je, comme pour tenter d’éclairer la situation.
Je contournai le mystérieux personnage, le pris par le col, le leva de force, puis observa son visage... Ma haine se transforma en... en tristesse, en mélancolie.
- T... toi !
- Misaki ce n'est... ce n'est pas possible. Pourquoi diable a-t-il voulu me tuer ?... Et pourquoi est-il si obscur ?
- Je... je vais tout... vous expliquer, je...
Il s'avéra que le personnage, auparavant inconnu, devienne une personne importante à mes yeux, ainsi qu'à ceux de Saria. J'ouvrais grand mes yeux, et tombai à terre... Je ne pouvais pas croire que la personne ayant voulue nous tuer tout les deux, moi et Saria, soit... soit...
- Link... je... je suis Link...
- C... comment as-tu pu ?...
- Je vais tout... vous expliquer, si vous me le permettez, mais tuez-moi tout de suite si ça vous arrange...
- Non, non !..., dis-je. Explique-toi.
Avant qu'il ne s'apprête à parler, je réconforter Saria en lui disant qu'au fond, personne ne change vraiment, puis qu'il y avait forcément une solution pour pouvoir y remédier.
- Ganondorf, le seigneur du Malin, m'a fait prisonnier, puis m'a séquestré pendant de longs mois : sept en tout. Le seigneur voulait absolument obtenir mon fragment de Triforce, et pour cela il a utilisé tous les moyens possibles pour triompher du Courage... Il a même envoyé celui-ci dans « une autre dimension », d'après ses dires... Le dos de ma main prouve mon sort. Regardez.
- Ça alors... dis-je, comme pour conclure un bien long récit. Mais Link, ton fragment, c'est moi qui l'ai...
- Comment ça ?!
- Ganondorf n'a pas fait que parler, il s'est exécuté. Le Courage s'est incrusté en moi quand je suis sorti de ma maison, je l'ai touché, et... je l'ai absorbé... Maintenant, j'ai une quête à accomplir sur les bras, pfou...
- Mais Link, tu... tu n'es plus toi-même ? demanda avec inquiétude Saria.
- J-je ne sais pas, Ganondorf contrôle mon esprit quand bon lui semble, parce qu'un sorcier du nom de Xine lui a rendu la vie, et ce royalement en échange d'une partie de son âme... L'âme Elle est divisée en deux, soit son espérance de vie est coupée à sa moitié.
- Hum, alors le vrai méchant, c'est pas Ganondorf ?
- Exact.
- Que dis-tu de nous suivre et de te venger ?
- Non, j'ai fait tellement de mal à Hyrule, à vous, à tout le monde. Et puis regardez mon apparence !
- Mis à part tes yeux, rien ne change !
Il déchira son habit, couvrant son torse, puis une cicatrice apparut. Une sorte de brèche ténébreuse était implantée sur son corps. C'était elle qui le rendait si diabolique ! Je m'approchai, le clouai à terre, puis posai ma main pleine de magie positive sur son corps. Je la mélangeai avec une photosynthèse partielle, puis retirai les ténèbres le faisant disparaître, et ce petit à petit...
- Mais qu'est ce que tu fous, bon sang ?!
- Je... je vais te sauver !
Saria vint poser également sa photosynthèse, puis nous extirpâmes toutes les ténèbres issues dans son corps. Link s'était évanouit, et sa brèche de disloquait, à petit feu. Ses mains devinrent normales ainsi qu'un de ses deux yeux : l'autre resta rouge sang, puis une larme coula de son œil...
- Saria, on... on devrait l'emmener auprès de Darunia, c'est son frère de sang, non ?
- Oui...
Je pris l'Hylien sur mes épaules, puis nous marchâmes longuement dans les plaines... Notre après-midi avait été fructueuse en révélations, d'autant plus qu'en surprises !...