Note de la fic :
Publié le 05/01/2013 à 15:49:18 par lls
La réponse est claire, concise.
« Je suis bien avec vous. »
J’ai un petit sourire, et je vais trouver mes compagnes dans le salon pour leur annoncer la nouvelle. Elles sont assises sur le tapis, Yun entre les cuisses d’Ana. La belle blonde peigne tendrement les magnifiques cheveux noirs de jais de la petite coréenne. Je m’arrête, profitant de la vue. J’adore ces deux filles. Je me rends compte que je suis vraiment heureux.
Je leur dit pour Cécilia, et elles sont aux anges. Ana enlace Yun et l’embrasse dans le cou. Son sourire est magnifique. Je m’approche et l’embrasse langoureusement. Puis je vais m’allonger devant Yun, confiant mes propres cheveux à ses petites mains fraîches. J’ai l’impression que les liens qui nous unissent sont indestructibles.
On est allé à la patinoire aujourd’hui, et c’était sans nul doute le plus beau jour de ma vie. Parce que j’étais avec elles. On a tellement ri… On s’est regardé avec tendresse, on s’est embrassé. Les gens nous considéraient bizarrement, mais on s’en foutait. On était seuls. Ana était impressionnante sur la glace. Elle dansait, glissait comme une étoile. Magnifique. Puis je les ai invitées au restaurant. J’aurais dû le faire depuis un moment, quand même.
Elles étaient toutes belles, maquillées pour moi, pour elles. Tout le monde les regardait dans leurs robes de soirées. Elles étaient resplendissantes. On a mangé, on a bu du vin, c’était super. Et on est rentrés dans notre maison douillette. C’était vraiment génial. Je suis revenu de la cuisine avec du chocolat à partager entre nous, et je me suis installé sur le canapé, près d’elles.
Et c’est là que Yun me l’a dit :
-Steph, Ana veut fait un pistage !
Elle était toute contente, et j’ai croisé le regard de ma belle blonde. Elle a éclaté de rire, et je l’ai imitée.
-Un dépistage, Yun ! je lui ai dit.
-Ah pardon, un dépistage, elle a répété. Puis elle a ajouté :
-Et si vous faites, je fais aussi.
J’ai croisé le regard d’Ana, toujours avec son petit sourire moqueur qui la rend si supérieure à tous. Et derrière ses yeux de glace, j’ai vu la femme qui désirait que mon corps se mêle au sien passionnément, j’ai vu la magnifique déesse qui m’accordait sa confiance totale. Sa main a pris la mienne, nos doigts se sont croisés, et je me suis penché pour l’embrasser avec force. Puis Yun a pris mon visage entre ses petites mains et a plaqué ses lèvres sur les miennes. Ma Yun, celle qui ne me lâche jamais, qui me dit toujours oui, car je la rends heureuse. Et elle me rend heureuse. Elle aussi m’accordait sa confiance sans hésiter. Je l’ai embrassée à nouveau, et j’ai posé mon front sur le sien tendrement. On était tellement bien.
Contrairement à Yun qui garde sa légendaire bonne humeur en toute circonstance, Ana est assez lunatique quand elle a ses règles. Elle est un peu à cran. Elle se vexe, puis revient s’excuser quand elle va mieux. Elle nous a dit qu’on était bien trop gentil et qu’elle nous aimait trop pour nous faire du mal. Que ça allait passer. La nuit, son sommeil est agité, elle a mal au ventre et fait des cauchemars. Mais on est là, on la rassure, et ça va mieux. Je crois qu’elle est frustrée sexuellement, car forcément, les voies de son paradis sont closes.
Mais ses émotions et ses envies sont complètement détraqués, et son désir grimpe en flèche. Du coup, c’est moi qui prend. Elle me réveille plusieurs fois par nuit en tenant Courage dans ses mains. Yun la laisse faire seule, amusée par la fougue de la belle russe. Son regard brille, et je crois qu’elle a de la fièvre. Mais tout dans ses yeux n’est qu’envie. Elle met avidement Courage dans sa bouche, et comme à chaque fois, j’ai l’impression de m’évanouir quand je sens son piercing et sa langue brûlante. Elle essaie de se retenir car elle sait que je ne résisterai pas longtemps. Mais je vois qu’elle meurt d’envie de le dévorer, de l’enfoncer dans sa gorge et de l’agiter en le frottant contre son palais. Et finalement, elle craque. Je vois qu’elle aspire et ses joues se creusent, elle colle sa langue sur Courage, et commence des va-et-vient en fermant bien les lèvres autour de moi. Je tressaille au bout de quelques secondes, je la préviens, j’essaie de quitter sa bouche, mais elle refuse ma main, elle s’agite encore plus vite sur moi. Courage est parcouru d’un premier spasme, et elle le rentre entièrement dans sa bouche, alors que je suis au pays du bonheur. À côté de nous, Yun est morte de rire et ses yeux sont plein d’excitation. On entend quelques bruits humides dans la bouche d’Ana, et elle continue de faire de petits va-et-vient en toussant. Elle gémit et avale au fur et à mesure que Courage se vide, ses yeux dans les miens. Mais ça ne lui suffit pas. Je suis tout tremblant, mais elle continue. Elle ne le lâche pas, l’englouti avidement, et je crois que je vais vraiment tourner de l’œil. Ça dure bien plus longtemps cette fois, et elle ne fatigue pas. Yun n’a pas pu s’empêche de glisser une main entre ses cuisses, et soupire en silence à nos côtés en nous regardant. Finalement, un deuxième orgasme bien plus puissant me secoue, et encore une fois, Ana ne lâche pas Courage, qui explose de bonheur dans sa bouche. Après ça, j’ai vraiment l’impression d’être bourré, dans un autre monde. Et assez content.
Le lendemain, on est le 4 novembre, et c’est la fin des vacances. Ce qui veut dire qu’on doit aller chercher Cécilia à la gare dans l’après-midi.
Ana nous rejoint dans le salon vers 11h alors que je fais l’amour avec Yun sur le tapis. Elle nous regarde avec envie, et soupire en massant ses tempes douloureuses. Puis elle vient nous embêter, et on chahute tous les trois, morts de rire.
On décide de prendre un rendez-vous pour le dépistage, mais ma belle russe doit attendre de se faire prescrire sa pilule. Ça sera donc dans une semaine.
On mange et on s’habille pour aller chercher notre amie italienne. On est un peu tendus, quand même. Il s’est passé beaucoup de choses depuis son départ, et ça va être sûrement difficile pour elle. D’autant que faire l’amour à trois en étant discrets est bien plus difficile qu’à deux… Je repense à son message. Elle ne veut pas partir, mais elle n’a pas clairement précisé si notre situation la dérange.
C’est avec un peu d’anxiété que je nous conduis jusqu’à la gare. Je crois que mes compagnes sont aussi un peu stressées, car on ne parle pas beaucoup. Sauf Yun, bien sûr.
On attend sur le quai, personne ne tient la main de personne. Il commence vraiment à faire froid, et Yun est emmitouflée dans un beau manteau blanc qui me fait vraiment craquer. Elle porte un petit bonnet en laine blanc également, avec un pompon au sommet super mignon. Ana, fidèle à elle-même, montre ses belles jambes tatouées. Je crois que je ne l’ai jamais vue en pantalon. Elle a quand même consenti à enfiler un manteau.
Le train arrive, et c’est une Cécilia rayonnante et sincèrement contente de nous retrouver qui en sort. Elle m’embrasse sur les deux joues, prend Yun dans ses bras, et dépose ses lèvres sur celles d’Ana, selon la coutume.
Je prends ses bagages, et tout le monde regagne la voiture. Sur la route, on discute, on questionne Cécilia. Puis soudainement, elle demande :
-Et vous trois, ça marche bien ?
Je fronce les sourcils et la regarde dans le rétroviseur intérieur. Elle est assise à l’arrière à côté d’Ana, et son air semble détaché.
-Euh, oui ça va, je réponds prudemment.
-Pas de disputes de couples ? rajoute-t-elle, un petit sourire taquin aux lèvres.
-Non, on est heureux ! lance Yun, joyeuse.
Je vois Ana se pencher vers l’italienne et lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Cette dernière éclate de rire, et elle capte mon regard dans le rétroviseur. Je crois que ça me concernait.
Je me détends, heureux de la voir si tolérante. Puis Yun et son franc parler légendaire interviennent :
-Cécilia, t’inquiète pas, on fera en silence.
L’intéressée rit à gorge déployée, et répond :
-Oh, j’ai entendu ma mère et mon beau père beaucoup. Et c’était pas que le bruit du lit, haha…
Ah okay.
Je suis bien content qu’on parle de ça librement, et c’est dans la bonne humeur qu’on rejoint la maison.
« Je suis bien avec vous. »
J’ai un petit sourire, et je vais trouver mes compagnes dans le salon pour leur annoncer la nouvelle. Elles sont assises sur le tapis, Yun entre les cuisses d’Ana. La belle blonde peigne tendrement les magnifiques cheveux noirs de jais de la petite coréenne. Je m’arrête, profitant de la vue. J’adore ces deux filles. Je me rends compte que je suis vraiment heureux.
Je leur dit pour Cécilia, et elles sont aux anges. Ana enlace Yun et l’embrasse dans le cou. Son sourire est magnifique. Je m’approche et l’embrasse langoureusement. Puis je vais m’allonger devant Yun, confiant mes propres cheveux à ses petites mains fraîches. J’ai l’impression que les liens qui nous unissent sont indestructibles.
On est allé à la patinoire aujourd’hui, et c’était sans nul doute le plus beau jour de ma vie. Parce que j’étais avec elles. On a tellement ri… On s’est regardé avec tendresse, on s’est embrassé. Les gens nous considéraient bizarrement, mais on s’en foutait. On était seuls. Ana était impressionnante sur la glace. Elle dansait, glissait comme une étoile. Magnifique. Puis je les ai invitées au restaurant. J’aurais dû le faire depuis un moment, quand même.
Elles étaient toutes belles, maquillées pour moi, pour elles. Tout le monde les regardait dans leurs robes de soirées. Elles étaient resplendissantes. On a mangé, on a bu du vin, c’était super. Et on est rentrés dans notre maison douillette. C’était vraiment génial. Je suis revenu de la cuisine avec du chocolat à partager entre nous, et je me suis installé sur le canapé, près d’elles.
Et c’est là que Yun me l’a dit :
-Steph, Ana veut fait un pistage !
Elle était toute contente, et j’ai croisé le regard de ma belle blonde. Elle a éclaté de rire, et je l’ai imitée.
-Un dépistage, Yun ! je lui ai dit.
-Ah pardon, un dépistage, elle a répété. Puis elle a ajouté :
-Et si vous faites, je fais aussi.
J’ai croisé le regard d’Ana, toujours avec son petit sourire moqueur qui la rend si supérieure à tous. Et derrière ses yeux de glace, j’ai vu la femme qui désirait que mon corps se mêle au sien passionnément, j’ai vu la magnifique déesse qui m’accordait sa confiance totale. Sa main a pris la mienne, nos doigts se sont croisés, et je me suis penché pour l’embrasser avec force. Puis Yun a pris mon visage entre ses petites mains et a plaqué ses lèvres sur les miennes. Ma Yun, celle qui ne me lâche jamais, qui me dit toujours oui, car je la rends heureuse. Et elle me rend heureuse. Elle aussi m’accordait sa confiance sans hésiter. Je l’ai embrassée à nouveau, et j’ai posé mon front sur le sien tendrement. On était tellement bien.
Contrairement à Yun qui garde sa légendaire bonne humeur en toute circonstance, Ana est assez lunatique quand elle a ses règles. Elle est un peu à cran. Elle se vexe, puis revient s’excuser quand elle va mieux. Elle nous a dit qu’on était bien trop gentil et qu’elle nous aimait trop pour nous faire du mal. Que ça allait passer. La nuit, son sommeil est agité, elle a mal au ventre et fait des cauchemars. Mais on est là, on la rassure, et ça va mieux. Je crois qu’elle est frustrée sexuellement, car forcément, les voies de son paradis sont closes.
Mais ses émotions et ses envies sont complètement détraqués, et son désir grimpe en flèche. Du coup, c’est moi qui prend. Elle me réveille plusieurs fois par nuit en tenant Courage dans ses mains. Yun la laisse faire seule, amusée par la fougue de la belle russe. Son regard brille, et je crois qu’elle a de la fièvre. Mais tout dans ses yeux n’est qu’envie. Elle met avidement Courage dans sa bouche, et comme à chaque fois, j’ai l’impression de m’évanouir quand je sens son piercing et sa langue brûlante. Elle essaie de se retenir car elle sait que je ne résisterai pas longtemps. Mais je vois qu’elle meurt d’envie de le dévorer, de l’enfoncer dans sa gorge et de l’agiter en le frottant contre son palais. Et finalement, elle craque. Je vois qu’elle aspire et ses joues se creusent, elle colle sa langue sur Courage, et commence des va-et-vient en fermant bien les lèvres autour de moi. Je tressaille au bout de quelques secondes, je la préviens, j’essaie de quitter sa bouche, mais elle refuse ma main, elle s’agite encore plus vite sur moi. Courage est parcouru d’un premier spasme, et elle le rentre entièrement dans sa bouche, alors que je suis au pays du bonheur. À côté de nous, Yun est morte de rire et ses yeux sont plein d’excitation. On entend quelques bruits humides dans la bouche d’Ana, et elle continue de faire de petits va-et-vient en toussant. Elle gémit et avale au fur et à mesure que Courage se vide, ses yeux dans les miens. Mais ça ne lui suffit pas. Je suis tout tremblant, mais elle continue. Elle ne le lâche pas, l’englouti avidement, et je crois que je vais vraiment tourner de l’œil. Ça dure bien plus longtemps cette fois, et elle ne fatigue pas. Yun n’a pas pu s’empêche de glisser une main entre ses cuisses, et soupire en silence à nos côtés en nous regardant. Finalement, un deuxième orgasme bien plus puissant me secoue, et encore une fois, Ana ne lâche pas Courage, qui explose de bonheur dans sa bouche. Après ça, j’ai vraiment l’impression d’être bourré, dans un autre monde. Et assez content.
Le lendemain, on est le 4 novembre, et c’est la fin des vacances. Ce qui veut dire qu’on doit aller chercher Cécilia à la gare dans l’après-midi.
Ana nous rejoint dans le salon vers 11h alors que je fais l’amour avec Yun sur le tapis. Elle nous regarde avec envie, et soupire en massant ses tempes douloureuses. Puis elle vient nous embêter, et on chahute tous les trois, morts de rire.
On décide de prendre un rendez-vous pour le dépistage, mais ma belle russe doit attendre de se faire prescrire sa pilule. Ça sera donc dans une semaine.
On mange et on s’habille pour aller chercher notre amie italienne. On est un peu tendus, quand même. Il s’est passé beaucoup de choses depuis son départ, et ça va être sûrement difficile pour elle. D’autant que faire l’amour à trois en étant discrets est bien plus difficile qu’à deux… Je repense à son message. Elle ne veut pas partir, mais elle n’a pas clairement précisé si notre situation la dérange.
C’est avec un peu d’anxiété que je nous conduis jusqu’à la gare. Je crois que mes compagnes sont aussi un peu stressées, car on ne parle pas beaucoup. Sauf Yun, bien sûr.
On attend sur le quai, personne ne tient la main de personne. Il commence vraiment à faire froid, et Yun est emmitouflée dans un beau manteau blanc qui me fait vraiment craquer. Elle porte un petit bonnet en laine blanc également, avec un pompon au sommet super mignon. Ana, fidèle à elle-même, montre ses belles jambes tatouées. Je crois que je ne l’ai jamais vue en pantalon. Elle a quand même consenti à enfiler un manteau.
Le train arrive, et c’est une Cécilia rayonnante et sincèrement contente de nous retrouver qui en sort. Elle m’embrasse sur les deux joues, prend Yun dans ses bras, et dépose ses lèvres sur celles d’Ana, selon la coutume.
Je prends ses bagages, et tout le monde regagne la voiture. Sur la route, on discute, on questionne Cécilia. Puis soudainement, elle demande :
-Et vous trois, ça marche bien ?
Je fronce les sourcils et la regarde dans le rétroviseur intérieur. Elle est assise à l’arrière à côté d’Ana, et son air semble détaché.
-Euh, oui ça va, je réponds prudemment.
-Pas de disputes de couples ? rajoute-t-elle, un petit sourire taquin aux lèvres.
-Non, on est heureux ! lance Yun, joyeuse.
Je vois Ana se pencher vers l’italienne et lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Cette dernière éclate de rire, et elle capte mon regard dans le rétroviseur. Je crois que ça me concernait.
Je me détends, heureux de la voir si tolérante. Puis Yun et son franc parler légendaire interviennent :
-Cécilia, t’inquiète pas, on fera en silence.
L’intéressée rit à gorge déployée, et répond :
-Oh, j’ai entendu ma mère et mon beau père beaucoup. Et c’était pas que le bruit du lit, haha…
Ah okay.
Je suis bien content qu’on parle de ça librement, et c’est dans la bonne humeur qu’on rejoint la maison.
Commentaires
- Fmafanclub
05/03/2013 à 16:21:29
Mon chapitre préféré
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