Note de la fic :
Publié le 05/01/2013 à 15:42:20 par lls
Les vacances ont commencé depuis trois jours. On s’habitue l’un à l’autre, avec Ana. Yun dort toujours avec moi et rien n’a changé entre nous. Il y a juste cette proximité entre les filles quand je suis là. Et je me suis demandé si Ana ne jalousait pas nos nuits. Peut-être qu’elle voudrait être là et regarder, comme la dernière fois. J’avoue que l’idée m’excite. Mais alors, pourquoi je n’en parle pas à Yun ? J’ai un peu de mal à faire le point dans ma tête. Il faut dire, la situation est un peu compliqué, et rien ne va s’arranger quand Cécilia reviendra.
Je sors de l’entraînement, pensant à mes problèmes. Et je relativise. Franchement, je pense que beaucoup de gens aimeraient avoir mes soucis.
J’arrive à la maison, et file directos à la cuisine. J’ai trop la dalle. Il n’y a personne dans le salon, mais j’entends la musique dans la chambre d’Ana. Rassasié, je vais prendre une bonne douche, avant de partir en quête de Yun. Je ne la trouve nulle part.
Ça me paraît bizarre qu’elle soit sortie, alors je décide de demander à Ana. J’approche de sa chambre, et c’est là que j’entends un gémissement qui filtre à travers la porte, couvrant la musique. Bordel. Ça n’était pas Yun. J’hésite à pousser la porte. Prétexter que je n’ai rien entendu. Et d’un autre côté, elle ne s’est pas gênée pour nous mater, la dernière fois. Et si jamais elle est seule ? J’aurais pas l’air d’un con.
Finalement, la curiosité, toutes ces questions sans réponses… Je pousse la porte. Bordel.
Ana est couchée sur son lit, entièrement nue. Et entre ses jambes écartées, il y a Yun. Enfin, sa tête. Ma petite coréenne me tourne le dos, à quatre pattes sur le lit, avec sa petite robe courte et ses collants gris et noirs, et je vois sa chevelure brune s’agiter, et ses mains posée sur les cuisses de la belle blonde. Celle-ci tremble et gémit en massant sa poitrine. Je n’ai jamais vu cette expression sur le visage d’Ana auparavant. Plus de regard intimidant, plus de sourire moqueur et mystérieux. Elle est dans son intimité, vaincue par le plaisir que lui procure Yun.
Et son regard rencontre le mien. Elle ne sursaute pas, ne crie pas, ne recompose pas son masque, ses yeux de glace, son sourire moqueur qui la rend inatteignable. Elle ne se cache pas, et prend même sa poitrine à pleines mains en me regardant, la bouche ouverte de plaisir. Puis ses yeux se ferment et elle gémit avec force. Lorsqu’elle les rouvre, un sourire se dessine sur son visage, et une de ses jambes vient se poser sur le dos de Yun.
Je vois ça comme un « Je prends mon pied, mais Yun est à moi maintenant ». Ça ne me dérange pas, ça m’excite même de voir une autre fille que ma coréenne qui me regarde de cette façon. Je me recule et m’apprête donc à quitter la pièce, les laissant dans leur intimité.
« Mais reste ! » lance Ana en couvrant le bruit de la musique.
Elle a pris un ton moqueur, amusé, et en fait je comprends que j’avais rien pigé.
Elle est morte de rire maintenant devant ma réaction, et Yun s’est retournée vers moi. Je lui souris, et ses yeux pétillent. Puis elle se remet à la tâche, et Ana recommence à jouir. Et avant que j’ai le temps de décider quoi que ce soit, une petite main vient soulever sa robe et baisser sa culotte d’un air fébrile.
Okay okay, on se calme, je résume la situation.
J’ai une blonde au corps sublime couvert de tatouages, aux yeux bleus profonds, aux jambes interminables et écartées, le regard vers moi. Et j’ai ma Yun, qui me tourne le dos, à quatre pattes, agitant sa petite langue chaude entre les cuisses d’Ana.
Courage saute de mon caleçon alors que je me déshabille rapidement, et j’enfile un préservatif. Puis je me glisse en Yun, toujours avec beaucoup de douceur. Mais intérieurement, je bouillonne. Je n’ai jamais été aussi excité. Et dès que je commence à faire gémir Yun, je vois qu’elle s’active avec plus de fougue, et les soupirs d’Ana sont plus forts, plus longs. On a pas besoin d’être discrets. Il n’y a pas Cécilia. J’oublie tous nos problèmes, toutes nos questions, tout ce qu’il se passera lorsque la belle italienne reviendra.
Je fais juste l’amour à Yun et Ana. Cette pensée manque de m’achever. Je ne touche pas la russe, mais elle est là elle aussi, et elle jouit aussi. Peu à peu, notre plaisir devient collectif. On devient une seule entité qui rugit d’envie, d’excitation, de bonheur. J’accélère le rythme, et mets une main sur une fesse de Yun et une autre, un peu plus haut, sur la jambe d’Ana toujours là. Le contact de nos corps décuple notre envie. Un frisson me parcourt l’échine, et Courage est sur le point de rendre l’âme, à l’intérieur de Yun. Quand je prends sa jambe, Ana se mordille la lèvre inférieure, ses yeux toujours dans les miens. Ça n’est pas Yun avec son regard indéchiffrable. C’est une blonde fougueuse au regard provocant, excitée et excitante, et je sens que je vais craquer. Je pousse un gémissement un peu plus fort, et accélère le rythme. Yun se retourne vers moi, et ses yeux sont mi-clos, sa tête vibre au rythme de mes va-et-vient. Entre deux gémissements, elle me dit de ne pas finir. Je ralentis alors, troublé. Ça va être difficile de tenir plus longtemps avec ces deux bombes qui jouissent devant moi.
Elle paraît attendre, ma Yun. Alors je l’interroge du regard, et elle regarde Ana. Celle-ci revient dans mes yeux, et désigne son ventre, caresse sa poitrine, la masse et la pousse vers moi. Je crois que là, je suis obligé de comprendre. Je me retire de Yun et j’enlève le préservatif. Celle-ci retourne entre les cuisses d’Ana, et les soupirs reprennent. Je contourne Yun, sans trop savoir quoi faire, et m’approche d’Ana, sur les genoux. Je suis tellement près d’elle maintenant. Je la domine, et elle me regarde d’en bas derrière son mascara exagéré, soumise. La blonde invincible se soumet à moi. Elle veut que je vide Courage sur ses seins et son ventre pendant que Yun la fait jouir.
Je crois que tous mes neurones ont foutu le camp. Je ne suis qu’une boule d’excitation, et je commence à agiter Courage près de ces deux corps chauds qui remuent près de moi, mon regard toujours dans celui d’Ana. Elle se redresse sur ses avant-bras, mais ne fait pas mine de vouloir me prendre. J’hésite un moment à m’approcher de sa bouche, mais je suppose qu’elle l’aurait déjà demandé si elle le voulait. Elle me regarde, les yeux déformés par le plaisir que lui procure Yun, et me sourit. Je vois qu’elle chuchote des choses d’un air provocateur en désignant sa poitrine et son ventre, et je n’entends pas à cause la musique. Mais ça me suffit. J’accélère le mouvement, Courage à quelques centimètres de ses seins chauds. Puis une de ses mains se pose sur ma cuisse, et semble m’attirer à elle. Je me laisse guider, et monte à califourchon sur elle.
Elle est brûlante et tremblante, et je sens les cheveux de Yun frôler mon dos alors qu’elle se concentre à la tâche, bavant et gémissant derrière moi. Ana est maintenant à ma merci, et son petit sourire moqueur regagne son visage, ses yeux levés vers moi. Je m’agite sur elle, au-dessus de sa poitrine imposante. J’ose mettre une main sur un sein bouillant, et une des siennes vient la recouvrir en la serrant. Je ne vais pas tenir longtemps. Ana me tire une langue frétillante pour m’exciter, dévoilant son piercing rond et humide. Je suis fini. Ça m’excite tellement de jouir sur son corps sans jamais l’avoir vraiment touchée ni même embrassée, que Courage se vide avec force sur sa poitrine et ses mains. Elle gémit plus fort, et je me déverse, brûlant. Le liquide chaud coule le long de ses côte, passe sur quelques tatouages colorés, vient sur son ventre et remplit son nombril. Je pose Courage sur un téton dur où je lâche les derniers jets en soupirant. C’est tout tremblant que je me relève et m’écarte d’elle.
-Viens… Derrière… Moi. Me crie Ana, difficilement.
Elle est toujours dressée sur ses avant-bras, et je me glisse derrière elle, écartant les cuisses pour qu’elle se couche sur moi. Un Courage baveux se frotte sur le bas de son dos lorsque son corps brûlant me touche. Elle masse toujours sa poitrine, étalant le sperme sur son ventre. Elle tremble au-dessus de moi, et j’enfouis mon visage dans ses cheveux et cherche sa gorge avec mes lèvres. Je caresse ses hanches vibrantes en embrassant son cou. Après cet acte au plaisir primitif et violent, je la découvre tendrement. Elle frissonne sous mes caresses et celles de Yun, et la petite Coréenne nous jette un regard qui en dit long. Une de ses mains est descendue entre ses cuisses et s’agite. Je suis aux anges.
Notre nuit est exceptionnelle. On la passe tous les trois dans le lit d’Ana, et sentir cette odeur de filles et la chaleur de leurs deux corps qui dorment contre moi me donne des ailes. Nos jambes brûlantes sont emmêlées sous la couverture, et je peine à m’endormir.
On se réveille tous plusieurs fois, on s’excite, on se touche. Je ne sais pas si Ana est aussi perverse que Yun et moi, mais elle ne refuse jamais, ouvre les yeux quand on la caresse, et participe. La belle russe n’approche cependant jamais Courage : je ne lui fais pas l’amour, et elle ne le met pas dans sa bouche. Mais elle colle sa poitrine sur le dos de Yun et caresse ses cheveux pendant que ma coréenne le suce vigoureusement, et leurs yeux qui dévorent les miens m’achèvent souvent très rapidement. Le fait de ne pas avoir de « vrais » rapport sexuels avec la déesse blonde ne me dérange pas cette nuit-là et m’excite encore plus lorsque j’agite Courage près d’elle pour le vider sur ses fesses bombées et fermes, sur ses cuisses tatouées et brûlantes ou sur ses mains. Elle est différente de Yun pour ça, elle me parle, me susurre des mots doux, m’invite à atterrir sur elle, et éprouve un plaisir sincère et intense à me faire jouir sur son corps.
Yun, quant à elle, est complètement déchaînée. Son désir est explosif, sa fougue extraordinaire. Ses jambes se croisent sur mon dos alors que je me glisse en elle, et Ana se positionne au-dessus de son visage, écarte ses cuisses sur sa bouche, et je vois sa petite langue rose frétiller et lécher sa compagne. Et je me penche en avant, et elles posent toutes les deux leurs mains sur mes épaules, mon torse. Et on gémit de concert. On laisse Yun toute tremblante, on la porte, la serre dans nos bras, on caresse nos corps trempés. On dort brièvement jusqu’à ce qu’elle revienne, prête à recommencer.
Ana nous secoue une fois dans la nuit et nous demande de faire l’amour devant elle. Elle s’éloigne un peu, et mordille sa lèvre en voyant Courage s’approcher des fesses de Yun. Elle pose un pied sur ma jambe, et me caresse avec en se touchant. Je vois ses doigts mouillés disparaître entre ses cuisses, et ça me fait accélérer le rythme, pour notre plus grand plaisir à tous.
Bref, c’est l’orgie.
J’ouvre les yeux vers 10h. Je suis agacé de me réveiller aussi tôt, car je suis vraiment fatigué. Tu m’étonnes.
Je me libère doucement de l’étreinte de mes belles amantes, et je vais prendre une douche. C’est celle d’Ana, et elle sent la fille, les produits de filles, le savon de fille, et le shampoing de fille. Je me détends tranquillement sous le jet d’eau, et ressort, parfaitement réveillé.
Elles n’ont pas bougé. Complètement nues l’une contre l’autre, elles dorment paisiblement.
Je les laisse là, et vais m’affaler sur un canapé avec de quoi manger. Vers 11 h, Ana me rejoint. La belle russe porte une robe rouge ultra courte et ses pieds nus ne font aucun bruit sur le carrelage. Elle s’arrête près de moi, et on se regarde un instant. Sans gêne. C’est la première fois qu’on est seuls. Yun doit être épuisée et va encore dormir un bon moment.
Finalement, elle s’approche de moi et s’assied sur mes genoux, juste à la place habituelle de mon asiatique préférée. Elle est plus lourde et plus grande que Yun, moins menue, moins dominée. Elle n’est pas à ma merci. Mais terriblement désirable. Comme je l’aurais fait avec ma petite compagne, je passe mes bras autour d’elle et poses mes mains sur ses cuisses, alors qu’elle se laisse aller contre moi. Je pourrais dire les yeux fermés que ce n’est pas Yun. Je n’ai pas l’habitude de son corps différent, de son odeur, du rythme de sa respiration. Je caresse distraitement un tatouage de Requin sur une cuisse, une étoile sur l’autre. Une de ses jambes s’enroule autour de la mienne. On est bien. On se découvre, on est juste tous les deux. J’embrasse son cou, et elle se retourne pour me regarder.
Son petit sourire moqueur et ses yeux bleus profonds me donnent le feu vert.
Je sors de l’entraînement, pensant à mes problèmes. Et je relativise. Franchement, je pense que beaucoup de gens aimeraient avoir mes soucis.
J’arrive à la maison, et file directos à la cuisine. J’ai trop la dalle. Il n’y a personne dans le salon, mais j’entends la musique dans la chambre d’Ana. Rassasié, je vais prendre une bonne douche, avant de partir en quête de Yun. Je ne la trouve nulle part.
Ça me paraît bizarre qu’elle soit sortie, alors je décide de demander à Ana. J’approche de sa chambre, et c’est là que j’entends un gémissement qui filtre à travers la porte, couvrant la musique. Bordel. Ça n’était pas Yun. J’hésite à pousser la porte. Prétexter que je n’ai rien entendu. Et d’un autre côté, elle ne s’est pas gênée pour nous mater, la dernière fois. Et si jamais elle est seule ? J’aurais pas l’air d’un con.
Finalement, la curiosité, toutes ces questions sans réponses… Je pousse la porte. Bordel.
Ana est couchée sur son lit, entièrement nue. Et entre ses jambes écartées, il y a Yun. Enfin, sa tête. Ma petite coréenne me tourne le dos, à quatre pattes sur le lit, avec sa petite robe courte et ses collants gris et noirs, et je vois sa chevelure brune s’agiter, et ses mains posée sur les cuisses de la belle blonde. Celle-ci tremble et gémit en massant sa poitrine. Je n’ai jamais vu cette expression sur le visage d’Ana auparavant. Plus de regard intimidant, plus de sourire moqueur et mystérieux. Elle est dans son intimité, vaincue par le plaisir que lui procure Yun.
Et son regard rencontre le mien. Elle ne sursaute pas, ne crie pas, ne recompose pas son masque, ses yeux de glace, son sourire moqueur qui la rend inatteignable. Elle ne se cache pas, et prend même sa poitrine à pleines mains en me regardant, la bouche ouverte de plaisir. Puis ses yeux se ferment et elle gémit avec force. Lorsqu’elle les rouvre, un sourire se dessine sur son visage, et une de ses jambes vient se poser sur le dos de Yun.
Je vois ça comme un « Je prends mon pied, mais Yun est à moi maintenant ». Ça ne me dérange pas, ça m’excite même de voir une autre fille que ma coréenne qui me regarde de cette façon. Je me recule et m’apprête donc à quitter la pièce, les laissant dans leur intimité.
« Mais reste ! » lance Ana en couvrant le bruit de la musique.
Elle a pris un ton moqueur, amusé, et en fait je comprends que j’avais rien pigé.
Elle est morte de rire maintenant devant ma réaction, et Yun s’est retournée vers moi. Je lui souris, et ses yeux pétillent. Puis elle se remet à la tâche, et Ana recommence à jouir. Et avant que j’ai le temps de décider quoi que ce soit, une petite main vient soulever sa robe et baisser sa culotte d’un air fébrile.
Okay okay, on se calme, je résume la situation.
J’ai une blonde au corps sublime couvert de tatouages, aux yeux bleus profonds, aux jambes interminables et écartées, le regard vers moi. Et j’ai ma Yun, qui me tourne le dos, à quatre pattes, agitant sa petite langue chaude entre les cuisses d’Ana.
Courage saute de mon caleçon alors que je me déshabille rapidement, et j’enfile un préservatif. Puis je me glisse en Yun, toujours avec beaucoup de douceur. Mais intérieurement, je bouillonne. Je n’ai jamais été aussi excité. Et dès que je commence à faire gémir Yun, je vois qu’elle s’active avec plus de fougue, et les soupirs d’Ana sont plus forts, plus longs. On a pas besoin d’être discrets. Il n’y a pas Cécilia. J’oublie tous nos problèmes, toutes nos questions, tout ce qu’il se passera lorsque la belle italienne reviendra.
Je fais juste l’amour à Yun et Ana. Cette pensée manque de m’achever. Je ne touche pas la russe, mais elle est là elle aussi, et elle jouit aussi. Peu à peu, notre plaisir devient collectif. On devient une seule entité qui rugit d’envie, d’excitation, de bonheur. J’accélère le rythme, et mets une main sur une fesse de Yun et une autre, un peu plus haut, sur la jambe d’Ana toujours là. Le contact de nos corps décuple notre envie. Un frisson me parcourt l’échine, et Courage est sur le point de rendre l’âme, à l’intérieur de Yun. Quand je prends sa jambe, Ana se mordille la lèvre inférieure, ses yeux toujours dans les miens. Ça n’est pas Yun avec son regard indéchiffrable. C’est une blonde fougueuse au regard provocant, excitée et excitante, et je sens que je vais craquer. Je pousse un gémissement un peu plus fort, et accélère le rythme. Yun se retourne vers moi, et ses yeux sont mi-clos, sa tête vibre au rythme de mes va-et-vient. Entre deux gémissements, elle me dit de ne pas finir. Je ralentis alors, troublé. Ça va être difficile de tenir plus longtemps avec ces deux bombes qui jouissent devant moi.
Elle paraît attendre, ma Yun. Alors je l’interroge du regard, et elle regarde Ana. Celle-ci revient dans mes yeux, et désigne son ventre, caresse sa poitrine, la masse et la pousse vers moi. Je crois que là, je suis obligé de comprendre. Je me retire de Yun et j’enlève le préservatif. Celle-ci retourne entre les cuisses d’Ana, et les soupirs reprennent. Je contourne Yun, sans trop savoir quoi faire, et m’approche d’Ana, sur les genoux. Je suis tellement près d’elle maintenant. Je la domine, et elle me regarde d’en bas derrière son mascara exagéré, soumise. La blonde invincible se soumet à moi. Elle veut que je vide Courage sur ses seins et son ventre pendant que Yun la fait jouir.
Je crois que tous mes neurones ont foutu le camp. Je ne suis qu’une boule d’excitation, et je commence à agiter Courage près de ces deux corps chauds qui remuent près de moi, mon regard toujours dans celui d’Ana. Elle se redresse sur ses avant-bras, mais ne fait pas mine de vouloir me prendre. J’hésite un moment à m’approcher de sa bouche, mais je suppose qu’elle l’aurait déjà demandé si elle le voulait. Elle me regarde, les yeux déformés par le plaisir que lui procure Yun, et me sourit. Je vois qu’elle chuchote des choses d’un air provocateur en désignant sa poitrine et son ventre, et je n’entends pas à cause la musique. Mais ça me suffit. J’accélère le mouvement, Courage à quelques centimètres de ses seins chauds. Puis une de ses mains se pose sur ma cuisse, et semble m’attirer à elle. Je me laisse guider, et monte à califourchon sur elle.
Elle est brûlante et tremblante, et je sens les cheveux de Yun frôler mon dos alors qu’elle se concentre à la tâche, bavant et gémissant derrière moi. Ana est maintenant à ma merci, et son petit sourire moqueur regagne son visage, ses yeux levés vers moi. Je m’agite sur elle, au-dessus de sa poitrine imposante. J’ose mettre une main sur un sein bouillant, et une des siennes vient la recouvrir en la serrant. Je ne vais pas tenir longtemps. Ana me tire une langue frétillante pour m’exciter, dévoilant son piercing rond et humide. Je suis fini. Ça m’excite tellement de jouir sur son corps sans jamais l’avoir vraiment touchée ni même embrassée, que Courage se vide avec force sur sa poitrine et ses mains. Elle gémit plus fort, et je me déverse, brûlant. Le liquide chaud coule le long de ses côte, passe sur quelques tatouages colorés, vient sur son ventre et remplit son nombril. Je pose Courage sur un téton dur où je lâche les derniers jets en soupirant. C’est tout tremblant que je me relève et m’écarte d’elle.
-Viens… Derrière… Moi. Me crie Ana, difficilement.
Elle est toujours dressée sur ses avant-bras, et je me glisse derrière elle, écartant les cuisses pour qu’elle se couche sur moi. Un Courage baveux se frotte sur le bas de son dos lorsque son corps brûlant me touche. Elle masse toujours sa poitrine, étalant le sperme sur son ventre. Elle tremble au-dessus de moi, et j’enfouis mon visage dans ses cheveux et cherche sa gorge avec mes lèvres. Je caresse ses hanches vibrantes en embrassant son cou. Après cet acte au plaisir primitif et violent, je la découvre tendrement. Elle frissonne sous mes caresses et celles de Yun, et la petite Coréenne nous jette un regard qui en dit long. Une de ses mains est descendue entre ses cuisses et s’agite. Je suis aux anges.
Notre nuit est exceptionnelle. On la passe tous les trois dans le lit d’Ana, et sentir cette odeur de filles et la chaleur de leurs deux corps qui dorment contre moi me donne des ailes. Nos jambes brûlantes sont emmêlées sous la couverture, et je peine à m’endormir.
On se réveille tous plusieurs fois, on s’excite, on se touche. Je ne sais pas si Ana est aussi perverse que Yun et moi, mais elle ne refuse jamais, ouvre les yeux quand on la caresse, et participe. La belle russe n’approche cependant jamais Courage : je ne lui fais pas l’amour, et elle ne le met pas dans sa bouche. Mais elle colle sa poitrine sur le dos de Yun et caresse ses cheveux pendant que ma coréenne le suce vigoureusement, et leurs yeux qui dévorent les miens m’achèvent souvent très rapidement. Le fait de ne pas avoir de « vrais » rapport sexuels avec la déesse blonde ne me dérange pas cette nuit-là et m’excite encore plus lorsque j’agite Courage près d’elle pour le vider sur ses fesses bombées et fermes, sur ses cuisses tatouées et brûlantes ou sur ses mains. Elle est différente de Yun pour ça, elle me parle, me susurre des mots doux, m’invite à atterrir sur elle, et éprouve un plaisir sincère et intense à me faire jouir sur son corps.
Yun, quant à elle, est complètement déchaînée. Son désir est explosif, sa fougue extraordinaire. Ses jambes se croisent sur mon dos alors que je me glisse en elle, et Ana se positionne au-dessus de son visage, écarte ses cuisses sur sa bouche, et je vois sa petite langue rose frétiller et lécher sa compagne. Et je me penche en avant, et elles posent toutes les deux leurs mains sur mes épaules, mon torse. Et on gémit de concert. On laisse Yun toute tremblante, on la porte, la serre dans nos bras, on caresse nos corps trempés. On dort brièvement jusqu’à ce qu’elle revienne, prête à recommencer.
Ana nous secoue une fois dans la nuit et nous demande de faire l’amour devant elle. Elle s’éloigne un peu, et mordille sa lèvre en voyant Courage s’approcher des fesses de Yun. Elle pose un pied sur ma jambe, et me caresse avec en se touchant. Je vois ses doigts mouillés disparaître entre ses cuisses, et ça me fait accélérer le rythme, pour notre plus grand plaisir à tous.
Bref, c’est l’orgie.
J’ouvre les yeux vers 10h. Je suis agacé de me réveiller aussi tôt, car je suis vraiment fatigué. Tu m’étonnes.
Je me libère doucement de l’étreinte de mes belles amantes, et je vais prendre une douche. C’est celle d’Ana, et elle sent la fille, les produits de filles, le savon de fille, et le shampoing de fille. Je me détends tranquillement sous le jet d’eau, et ressort, parfaitement réveillé.
Elles n’ont pas bougé. Complètement nues l’une contre l’autre, elles dorment paisiblement.
Je les laisse là, et vais m’affaler sur un canapé avec de quoi manger. Vers 11 h, Ana me rejoint. La belle russe porte une robe rouge ultra courte et ses pieds nus ne font aucun bruit sur le carrelage. Elle s’arrête près de moi, et on se regarde un instant. Sans gêne. C’est la première fois qu’on est seuls. Yun doit être épuisée et va encore dormir un bon moment.
Finalement, elle s’approche de moi et s’assied sur mes genoux, juste à la place habituelle de mon asiatique préférée. Elle est plus lourde et plus grande que Yun, moins menue, moins dominée. Elle n’est pas à ma merci. Mais terriblement désirable. Comme je l’aurais fait avec ma petite compagne, je passe mes bras autour d’elle et poses mes mains sur ses cuisses, alors qu’elle se laisse aller contre moi. Je pourrais dire les yeux fermés que ce n’est pas Yun. Je n’ai pas l’habitude de son corps différent, de son odeur, du rythme de sa respiration. Je caresse distraitement un tatouage de Requin sur une cuisse, une étoile sur l’autre. Une de ses jambes s’enroule autour de la mienne. On est bien. On se découvre, on est juste tous les deux. J’embrasse son cou, et elle se retourne pour me regarder.
Son petit sourire moqueur et ses yeux bleus profonds me donnent le feu vert.