Note de la fic :
Publié le 05/01/2013 à 20:49:15 par lls
-Alors, tu acceptes le défi ? Me demande Ana au creux de l'oreille, ses mains s'aventurant sur mon corps avec celles de mes deux autres partenaires.
Je suis toujours assis, et je n'ai pas le temps de déglutir que Cécilia se met à genoux sur le canapé et se penche sur Courage. Ça fait longtemps que mon cœur n'a pas battu la chamade comme ça en plein rapport sexuel avec les filles, et c'est sûrement parce qu'elles sont prêtes à tenter n'importe quoi ce soir. Et surtout, je me sens vulnérable, complètement nu à côté de ces créatures aux allures intimidantes. J'ai l'impression d'être redevenu le « jeune Steph » qui flippait à mort quand il essayait de se taper Yun.
Mon italienne doit sentir mon état d'excitation, parce qu'elle ne s'attaque pas immédiatement à Courage. Je ne vois pas son regard, sa bouche, il n'y a que ses magnifiques cheveux sous mes yeux. Mais j'imagine son sourire, ses lunettes, et le pauvre Popole qui s'enfonce dans sa gorge, et c'est presque meilleur. Elle se cambre, presque couchée sur ses cuisses, et je passe une main sur ses fesses, que je sens à travers sa tenue de soubrette. Je caresse ses cuisses douces juste au dessus de ses bas, et ses bagues me font sursauter, alors qu'elle saisit Courage d'une main ferme. Elle commence à l'agiter doucement, et je pense que ma première explosion ne va pas se faire prier.
J'admire ses courbes, sa taille fine, ses fesses imposantes, ses jambes parfaites à travers ses bas troués, ses chevilles qu'elle aime bien mettre sur mes épaules quand je la prends, et ses talons interminables qui pointent quelque part sur le mur d'en face.
Je tremble comme une feuille alors que Cécilia avale Courage sans prévenir. Elle se laisse tomber sur moi, je sens sa poitrine comprimée, ses mains et ses bras sur mes cuisses et mon ventre.
Ana reste à ma droite, pose sa tête sur mon épaule, et soupire d'un air impatient. C'est l'italienne qui me possède pour l'instant, jusqu'à ce que je la satisfasse. Ça n'empêche pas la belle blonde de me caresser et de m'embrasser tendrement. Yun nous rejoint, et s'assied sur le tapis, dans sa tenue de mère Noël. Elle regarde Cécilia au travail d'un air envoûté, un petit sourire aux lèvres. Ses mains rabattent des mèches de mon italienne au fur et à mesure que celle-ci s'excite sur moi.
En parlant de Cécilia, elle commence à sérieusement chercher Courage. Elle ne va pas très vite, mais j'imagine ses joues creusées alors qu'elle me serre bien entre ses lèvres. Ses mouvements sont amples, et je tressaille à chaque fois que Courage disparaît en entier dans sa bouche. Sa langue me caresse de concert, s'agite contre moi et brûle mes neurones. Je vois juste ses cheveux qui bougent, et j'entends ses bruits humides, ses gémissements tranquilles. Elle est bien où elle est, elle aime ce qu'elle fait. Elle se couche finalement complètement sur le ventre, et ses jambes s'envolent, s'agitant doucement en l'air. Une de ses mains vient accompagner sa bouche, et mes yeux se closent. C'est juste abusé.
Je vais caresser ses cheveux, j'appuie de temps en temps pour qu'elle aille plus loin, et elle gémit d'un air amusé. Elle le ressort et s'essuie le menton, et se repose en le caressant. Ses lunettes se lèvent vers moi, et elle me fait un grand sourire d'allumeuse. Ses yeux me demandent silencieusement si j'apprécie ce qu'elle me fait, et je me penche pour l'embrasser. Ana me laisse me lever sur mes genoux, et je fais face à mon italienne. Elle se redresse sur les mains, et sans quitter mon regard, elle reprend Courage dans sa bouche. Ses lunettes glissent, elle me dévore des yeux, et accélère un peu. Toujours des bruits mouillés, elle le ressort, tousse, crache, et bave sur lui. Elle se déchaîne Cécilia, je ne l'ai jamais vue comme ça. Je caresse sa joue, et lui dit :
-Tu sais ma puce, tu n'es pas obligée d'avaler.
Un simple regard de sa part suffit. Un regard meurtrier et plein de désir à la fois. Ses mains guident les miennes derrière sa tête, et elle va attraper ses longs talons derrière elle. Je comprends ce qu'elle veut au moment où elle me chuchote :
-Tais-toi et baise ma bouche... Et quand tu sais que ça va venir, je t'interdis de le sortir de là.
Puis elle ouvre grand et tire la langue, pour m'inviter. Je ne me fais pas prier. Mon instinct animal reprend le dessus, l'alcool que j'ai bu me monte un peu à la tête, et je m'exécute. Je prends délicatement son visage entre mes mains, et introduit Courage en entier. Ses yeux restent grands ouverts derrière ses lunettes de salope, et ses sourcils se lèvent et se rabaissent d'un air provocateur. Je commence les va et vient dans sa bouche, et je dois dire que je ne l'épargne pas.
Elle agrippe fermement ses talons en l'air derrière elle, et résiste à l'envie de se dégager pour respirer. Tantôt je laisse Courage en entier dans sa bouche pendant plusieurs secondes, tantôt j'agite son visage d'ange rapidement sur lui. Et je l'immobilise, et c'est moi qui bouge de plus en plus vite. Quelque chose se déclenche dans mon bas ventre, et je commence à trembler, et mes respirations se font plus insistantes. Son menton et ses joues sont mouillés de salive et de larmes, et je le remue très vite sur Courage. Elle comprend ce qu'il va se passer, et même si sa bouche est bien occupée, elle me lance :
-Bien... Au... Fond...
Je crois rêver... oO C'est vraiment Cécilia ?
Ana s'empare délicatement des cheveux de l'italienne, et les tient bien en arrière, en lui disant d'un air de salope :
-Tu parles la bouche pleine. C'est pas bien...
Je contemple encore ma belle et sa tenue de déesse. Ses belles fesses derrière, le rose et noir de sa robe, et je sais que bientôt je m'agiterai entre ses cuisses, ses bas déchirés sur mes épaules, et sous ses exhortations, je jouirai en elle. Cette simple pensée m'achève, et j'entre une dernière fois Courage dans sa bouche en poussant un puissant gémissement. Je reste immobile, et le premier jet et si puissant qu'on l'entend au fond de sa gorge. Malgré sa bouche grande ouverte, ses lèvres de suceuse sont fermement plaquées sur un Courage imposant. Elle ferme les yeux sous le choc mais sourit aussi, gémissant de surprise et de plaisir. Elle paraît jouir parce que je me vide dans sa bouche, et ça me rend vraiment fou. Je tire encore sa tête vers moi, et ses yeux se rouvrent pour rencontrer les mien. Elle cille à chaque nouveau jet, et ses gémissements deviennent longs et sensuels. Je ressors Courage doucement, toujours haletant. Il est trempé, et sans perdre son sourire, Cécilia reprend sa respiration, renifle, et refait des bruits humides avec sa bouche. Ses lèvres laissent Courage s'échapper, mais ses joues se creusent pour ne pas perdre une seule goutte.
Le voilà sorti, et elle joue avec le liquide qu'elle a obtenu, me regardant au dessus de ses lunettes. Elle ouvre la bouche, tire la langue, affichant avec fierté l'énorme quantité de semence qu'elle a récoltée. Sa bouche est vraiment pleine de sperme, et elle ferme les yeux en se concentrant. Son visage s'abaisse, et elle avale difficilement, mais d'une seule traite. Immédiatement, son visage s'éclaire à nouveau, et elle remontre sa langue, cette fois toute propre. Ses yeux croisent ceux de Yun et Ana, et je les sens fébriles à mes côtés. Ça m'excite tellement que je suis prêt à recommencer tout de suite. En même temps, c'est une bonne nouvelle, je suis pas près d'avoir réussi mon défi...
Je suis toujours assis, et je n'ai pas le temps de déglutir que Cécilia se met à genoux sur le canapé et se penche sur Courage. Ça fait longtemps que mon cœur n'a pas battu la chamade comme ça en plein rapport sexuel avec les filles, et c'est sûrement parce qu'elles sont prêtes à tenter n'importe quoi ce soir. Et surtout, je me sens vulnérable, complètement nu à côté de ces créatures aux allures intimidantes. J'ai l'impression d'être redevenu le « jeune Steph » qui flippait à mort quand il essayait de se taper Yun.
Mon italienne doit sentir mon état d'excitation, parce qu'elle ne s'attaque pas immédiatement à Courage. Je ne vois pas son regard, sa bouche, il n'y a que ses magnifiques cheveux sous mes yeux. Mais j'imagine son sourire, ses lunettes, et le pauvre Popole qui s'enfonce dans sa gorge, et c'est presque meilleur. Elle se cambre, presque couchée sur ses cuisses, et je passe une main sur ses fesses, que je sens à travers sa tenue de soubrette. Je caresse ses cuisses douces juste au dessus de ses bas, et ses bagues me font sursauter, alors qu'elle saisit Courage d'une main ferme. Elle commence à l'agiter doucement, et je pense que ma première explosion ne va pas se faire prier.
J'admire ses courbes, sa taille fine, ses fesses imposantes, ses jambes parfaites à travers ses bas troués, ses chevilles qu'elle aime bien mettre sur mes épaules quand je la prends, et ses talons interminables qui pointent quelque part sur le mur d'en face.
Je tremble comme une feuille alors que Cécilia avale Courage sans prévenir. Elle se laisse tomber sur moi, je sens sa poitrine comprimée, ses mains et ses bras sur mes cuisses et mon ventre.
Ana reste à ma droite, pose sa tête sur mon épaule, et soupire d'un air impatient. C'est l'italienne qui me possède pour l'instant, jusqu'à ce que je la satisfasse. Ça n'empêche pas la belle blonde de me caresser et de m'embrasser tendrement. Yun nous rejoint, et s'assied sur le tapis, dans sa tenue de mère Noël. Elle regarde Cécilia au travail d'un air envoûté, un petit sourire aux lèvres. Ses mains rabattent des mèches de mon italienne au fur et à mesure que celle-ci s'excite sur moi.
En parlant de Cécilia, elle commence à sérieusement chercher Courage. Elle ne va pas très vite, mais j'imagine ses joues creusées alors qu'elle me serre bien entre ses lèvres. Ses mouvements sont amples, et je tressaille à chaque fois que Courage disparaît en entier dans sa bouche. Sa langue me caresse de concert, s'agite contre moi et brûle mes neurones. Je vois juste ses cheveux qui bougent, et j'entends ses bruits humides, ses gémissements tranquilles. Elle est bien où elle est, elle aime ce qu'elle fait. Elle se couche finalement complètement sur le ventre, et ses jambes s'envolent, s'agitant doucement en l'air. Une de ses mains vient accompagner sa bouche, et mes yeux se closent. C'est juste abusé.
Je vais caresser ses cheveux, j'appuie de temps en temps pour qu'elle aille plus loin, et elle gémit d'un air amusé. Elle le ressort et s'essuie le menton, et se repose en le caressant. Ses lunettes se lèvent vers moi, et elle me fait un grand sourire d'allumeuse. Ses yeux me demandent silencieusement si j'apprécie ce qu'elle me fait, et je me penche pour l'embrasser. Ana me laisse me lever sur mes genoux, et je fais face à mon italienne. Elle se redresse sur les mains, et sans quitter mon regard, elle reprend Courage dans sa bouche. Ses lunettes glissent, elle me dévore des yeux, et accélère un peu. Toujours des bruits mouillés, elle le ressort, tousse, crache, et bave sur lui. Elle se déchaîne Cécilia, je ne l'ai jamais vue comme ça. Je caresse sa joue, et lui dit :
-Tu sais ma puce, tu n'es pas obligée d'avaler.
Un simple regard de sa part suffit. Un regard meurtrier et plein de désir à la fois. Ses mains guident les miennes derrière sa tête, et elle va attraper ses longs talons derrière elle. Je comprends ce qu'elle veut au moment où elle me chuchote :
-Tais-toi et baise ma bouche... Et quand tu sais que ça va venir, je t'interdis de le sortir de là.
Puis elle ouvre grand et tire la langue, pour m'inviter. Je ne me fais pas prier. Mon instinct animal reprend le dessus, l'alcool que j'ai bu me monte un peu à la tête, et je m'exécute. Je prends délicatement son visage entre mes mains, et introduit Courage en entier. Ses yeux restent grands ouverts derrière ses lunettes de salope, et ses sourcils se lèvent et se rabaissent d'un air provocateur. Je commence les va et vient dans sa bouche, et je dois dire que je ne l'épargne pas.
Elle agrippe fermement ses talons en l'air derrière elle, et résiste à l'envie de se dégager pour respirer. Tantôt je laisse Courage en entier dans sa bouche pendant plusieurs secondes, tantôt j'agite son visage d'ange rapidement sur lui. Et je l'immobilise, et c'est moi qui bouge de plus en plus vite. Quelque chose se déclenche dans mon bas ventre, et je commence à trembler, et mes respirations se font plus insistantes. Son menton et ses joues sont mouillés de salive et de larmes, et je le remue très vite sur Courage. Elle comprend ce qu'il va se passer, et même si sa bouche est bien occupée, elle me lance :
-Bien... Au... Fond...
Je crois rêver... oO C'est vraiment Cécilia ?
Ana s'empare délicatement des cheveux de l'italienne, et les tient bien en arrière, en lui disant d'un air de salope :
-Tu parles la bouche pleine. C'est pas bien...
Je contemple encore ma belle et sa tenue de déesse. Ses belles fesses derrière, le rose et noir de sa robe, et je sais que bientôt je m'agiterai entre ses cuisses, ses bas déchirés sur mes épaules, et sous ses exhortations, je jouirai en elle. Cette simple pensée m'achève, et j'entre une dernière fois Courage dans sa bouche en poussant un puissant gémissement. Je reste immobile, et le premier jet et si puissant qu'on l'entend au fond de sa gorge. Malgré sa bouche grande ouverte, ses lèvres de suceuse sont fermement plaquées sur un Courage imposant. Elle ferme les yeux sous le choc mais sourit aussi, gémissant de surprise et de plaisir. Elle paraît jouir parce que je me vide dans sa bouche, et ça me rend vraiment fou. Je tire encore sa tête vers moi, et ses yeux se rouvrent pour rencontrer les mien. Elle cille à chaque nouveau jet, et ses gémissements deviennent longs et sensuels. Je ressors Courage doucement, toujours haletant. Il est trempé, et sans perdre son sourire, Cécilia reprend sa respiration, renifle, et refait des bruits humides avec sa bouche. Ses lèvres laissent Courage s'échapper, mais ses joues se creusent pour ne pas perdre une seule goutte.
Le voilà sorti, et elle joue avec le liquide qu'elle a obtenu, me regardant au dessus de ses lunettes. Elle ouvre la bouche, tire la langue, affichant avec fierté l'énorme quantité de semence qu'elle a récoltée. Sa bouche est vraiment pleine de sperme, et elle ferme les yeux en se concentrant. Son visage s'abaisse, et elle avale difficilement, mais d'une seule traite. Immédiatement, son visage s'éclaire à nouveau, et elle remontre sa langue, cette fois toute propre. Ses yeux croisent ceux de Yun et Ana, et je les sens fébriles à mes côtés. Ça m'excite tellement que je suis prêt à recommencer tout de suite. En même temps, c'est une bonne nouvelle, je suis pas près d'avoir réussi mon défi...