Note de la fic :
Publié le 05/01/2013 à 20:34:59 par lls
Lorsque j’ouvre les yeux, une vague de bonheur me submerge alors que je prends note des trois corps brûlants près de moi. Yun dort entre mes jambes, sa joue reposant sur mon ventre. Elle ne porte qu’une culotte et sa poitrine chaude et gonflée repose sur un Courage qui a eu du mal à trouver le sommeil dans mon caleçon. Ana est collée à moi à ma droite et me tourne le dos en position fœtale, enserrant mon bras contre son corps de déesse. Je remue les mains, et passe mes doigts sur son intimité rasée et délicieusement piquante.
Elle est entièrement nue, et je peux voir tous les tatouages colorés qui ornent son dos. Mais je pense qu’on a rien fait cette nuit, car il y a Cécilia. La magnifique italienne dort sur mon torse, ses jambes incroyablement douces sur ma peau. Il fait froid à l’extérieur en ce mois de Novembre, mais elle s’est vite rendue à l’évidence que nos quatre corps chauds dans une même pièce faisaient grimper la température en flèche, et a consenti à quitter son chemisier pendant la nuit. Je sens sa grosse poitrine comprimée contre ma peau à travers son soutien-gorge, dont une bretelle a glissé sur son épaule. J’ai un bras le long de son dos, et remonte lentement sa colonne vertébrale avec mes doigts. J’aimerais rester là toute ma vie. Je remue un peu, faisant délicieusement bouger mes compagnes autour de moi. Leurs peaux chaudes et douces de filles se frottent contre la mienne, et je suis aux anges.
Yun lève légèrement la tête et se frotte les yeux. Elle tend une main derrière elle, attrape la couverture, et la rabat sur ses épaules avant de s’avancer pour se coucher complètement sur moi. Elle nous couvre donc tous, et vient poser son menton sur ma poitrine, juste à côté de la belle chevelure de mon italienne. Ses grands yeux clairs en amandes me dévorent, et elle me sourit tendrement. Puis elle embrasse mon torse, place ses petites mains contre mes hanches et repose sa joue, paisible. Je sens ses cuisses de rêve remuer doucement sur les miennes. Ana raffermit sa prise sur mon bras sans se réveiller. Et Cécilia, que le mouvement a dérangé dans son sommeil, se rapproche encore sous la couverture, ses cheveux me caressent alors qu’elle déplace sa tête sur mon épaule. Sentir son souffle chaud et calme dans mon cou est tellement magique que je me rendors.
Je crois qu’on se réveille tous à tour de rôle plusieurs fois, on réveille les autres en bougeant, et on se rendort. C’est la grasse matinée à quatre. Yun remue et j’ouvre les yeux vers midi. Cécilia dort paisiblement à ma gauche, elle s’est un peu détachée de moi. Ana me tourne toujours le dos, mais a lâché mon bras. Ma coréenne s’appuie sur moi et se retourne complètement, légère comme une plume. Elle se déplace un peu, si bien que je peux poser mon menton sur sa tête d’ange. Je l’embrasse dans les cheveux, et elle se détend, et ses fesses s’appuient sur le pauvre Courage torturé. Elle tire la couverture jusqu’à son menton, nous protégeant dans un petit cocon douillet. Mes mains sont libres, et je l’enlace, caressant son ventre chaud. Je joue avec le piercing de son nombril, et je l’entends glousser silencieusement. Je remonte doucement, caresse sa poitrine généreuse et la masse lentement. Mais on ne fait rien, car il y a Cécilia.
Après nos ébats de la veille, j’ai rejoint mes compagnes dans le salon, alors que la belle italienne prenait une douche. Puis elle est venue, et on a discuté tous les quatre de notre situation. On a fait le point. Cécilia a clairement indiqué qu’elle n’avait aucun problème avec notre trio, mais qu’il allait lui falloir du temps. Tu m’étonnes, elle a perdu sa virginité hier… On ne va pas lui demander de se caresser en me regardant faire l’amour à Yun qui elle-même touche Ana… Elle est d’ailleurs peu partante pour les caresses entre filles. Et pour l’instant, elle préférerait qu’on soit que tous les deux quand on fait l’amour. En gros, on fait rien. Mais Yun et Ana sont compréhensives et patientes. On ne brusque pas notre nouvelle amante. Enfin la mienne du coup. En fait on sait pas.
Je crois qu’on se rendort, car quand j’ouvre les yeux à nouveau, tout le monde s’est rapproché et papote. Ana remarque que je suis réveillé, et Yun lui fait de la place pour qu’elle monte sur moi à côté d’elle. La sublime blonde est nue et grimpe à califourchon sur ma cuisse, et je sens son intimité brûlante sur ma peau. Yun semble se rendre compte de quelque chose, se lève, et désigne mon caleçon en riant.
-Bravo Ana !
Cécilia aussi est réveillée, et elle sourit sans paraître gênée le moins du monde. En même temps, vu le naturel et la pudicité des deux autres… D’ailleurs, la belle italienne a enlevé son soutien-gorge à cause de la chaleur, dévoilant ses seins magnifique. Elles sont toutes les trois vraiment pas assez habillées pour moi, et Courage me lance un regard perdu, ne sachant que faire. Il doit être au moins 14h. On discute un peu, et Yun nous dit finalement qu’elle va prendre une douche. Cécilia se lève aussi pour aller manger un morceau, et je reste seul avec une Ana qui se tortille d’impatience. Sans le moindre vêtement.
L’instant d’après, la couverture est sur nous, ses jambes croisées sur mon dos, et j’entre en elle à nu alors qu’elle soupire de soulagement. J’atteins vite un rythme très rapide sous ses exhortations bruyantes, son envie que j’aille plus loin, plus vite. Sa grosse poitrine rebondit à toute vitesse, ses yeux se voilent, et elle hurle sans aucune discrétion. Quand le premier tremblement m’agite, je sens une peau douce contre moi. Alors que j’agite Courage sur les seins de ma russe sans contrôler mes gémissements, Cécilia caresse mon torse, lèche mon cou et me souffle des mots doux à l’oreille. C’est l’extase totale.
La vie suit son cours, les choses évoluent petit à petit. Je fais souvent l’amour avec Cécilia, dans sa chambre, sans personne d’autre. C’est toujours très lent, très sensuel. Rien à voir avec les lubies de Yun ou les violentes envies d’Ana. Mais c’est tout aussi extraordinaire. Je ne jouis cependant plus en elle, la folie de notre première nuit nous est passée. Je vide Courage en de longs jets brûlants sur son ventre, et elle s’y habitue peu à peu. Je ne vais pas prendre de mouchoirs non plus.
Les situations gênantes deviennent habituelles : il m’arrive très souvent d’être devant la télé, mes deux brase autour de Cécilia et Ana, et Yun à genoux entre mes jambes qui agite Courage dans sa bouche.
C’est une idée qu’elle a eu et qui l’excite beaucoup. Elle vient quand je joue à la console, et quand je pose la manette alors qu’elle descend mon jean, elle la reprend et la remet entre mes mains. Évidemment je joue super mal, concentré sur autre chose.
Pareil, quand on est en voiture tous les deux et qu’on est bloqué dans les bouchons. Elle est rapide, je n’ai même pas le temps de l’arrêter. J’ai juste à appuyer sur l’accélérateur toutes les 10 s, et à paraître naturel pour mes voisins conducteurs arrêtés à côté, alors que ses beaux cheveux noirs s’agitent sur mon ventre.
Et devant la télé donc, je fais semblant de suivre le film alors qu’intérieurement, je suis au paradis. D’autant que Cécilia et Ana me caressent chacune de leur côté, m’embrassent sur les joues, me lèchent dans le cou… Et moi je dois faire comme si je regardais la télé
Puis finalement, Courage pleure à chaudes larmes dans les cheveux de Yun ou sur la langue d’Ana, si la tigresse blonde est assez rapide pour se mettre à genoux et le prendre dans sa bouche. Et alors que je gémis, ma belle italienne aux joues rouges de plaisir accentuent ses caresses, masse mes mains entre ses doigts et me dit qu’elle m’aime. C’est pas mal du tout.
Aujourd’hui, on est le 3 Décembre, et il commence à faire vraiment froid. Et aujourd’hui, je me suis fait faucher par une voiture.
Elle est entièrement nue, et je peux voir tous les tatouages colorés qui ornent son dos. Mais je pense qu’on a rien fait cette nuit, car il y a Cécilia. La magnifique italienne dort sur mon torse, ses jambes incroyablement douces sur ma peau. Il fait froid à l’extérieur en ce mois de Novembre, mais elle s’est vite rendue à l’évidence que nos quatre corps chauds dans une même pièce faisaient grimper la température en flèche, et a consenti à quitter son chemisier pendant la nuit. Je sens sa grosse poitrine comprimée contre ma peau à travers son soutien-gorge, dont une bretelle a glissé sur son épaule. J’ai un bras le long de son dos, et remonte lentement sa colonne vertébrale avec mes doigts. J’aimerais rester là toute ma vie. Je remue un peu, faisant délicieusement bouger mes compagnes autour de moi. Leurs peaux chaudes et douces de filles se frottent contre la mienne, et je suis aux anges.
Yun lève légèrement la tête et se frotte les yeux. Elle tend une main derrière elle, attrape la couverture, et la rabat sur ses épaules avant de s’avancer pour se coucher complètement sur moi. Elle nous couvre donc tous, et vient poser son menton sur ma poitrine, juste à côté de la belle chevelure de mon italienne. Ses grands yeux clairs en amandes me dévorent, et elle me sourit tendrement. Puis elle embrasse mon torse, place ses petites mains contre mes hanches et repose sa joue, paisible. Je sens ses cuisses de rêve remuer doucement sur les miennes. Ana raffermit sa prise sur mon bras sans se réveiller. Et Cécilia, que le mouvement a dérangé dans son sommeil, se rapproche encore sous la couverture, ses cheveux me caressent alors qu’elle déplace sa tête sur mon épaule. Sentir son souffle chaud et calme dans mon cou est tellement magique que je me rendors.
Je crois qu’on se réveille tous à tour de rôle plusieurs fois, on réveille les autres en bougeant, et on se rendort. C’est la grasse matinée à quatre. Yun remue et j’ouvre les yeux vers midi. Cécilia dort paisiblement à ma gauche, elle s’est un peu détachée de moi. Ana me tourne toujours le dos, mais a lâché mon bras. Ma coréenne s’appuie sur moi et se retourne complètement, légère comme une plume. Elle se déplace un peu, si bien que je peux poser mon menton sur sa tête d’ange. Je l’embrasse dans les cheveux, et elle se détend, et ses fesses s’appuient sur le pauvre Courage torturé. Elle tire la couverture jusqu’à son menton, nous protégeant dans un petit cocon douillet. Mes mains sont libres, et je l’enlace, caressant son ventre chaud. Je joue avec le piercing de son nombril, et je l’entends glousser silencieusement. Je remonte doucement, caresse sa poitrine généreuse et la masse lentement. Mais on ne fait rien, car il y a Cécilia.
Après nos ébats de la veille, j’ai rejoint mes compagnes dans le salon, alors que la belle italienne prenait une douche. Puis elle est venue, et on a discuté tous les quatre de notre situation. On a fait le point. Cécilia a clairement indiqué qu’elle n’avait aucun problème avec notre trio, mais qu’il allait lui falloir du temps. Tu m’étonnes, elle a perdu sa virginité hier… On ne va pas lui demander de se caresser en me regardant faire l’amour à Yun qui elle-même touche Ana… Elle est d’ailleurs peu partante pour les caresses entre filles. Et pour l’instant, elle préférerait qu’on soit que tous les deux quand on fait l’amour. En gros, on fait rien. Mais Yun et Ana sont compréhensives et patientes. On ne brusque pas notre nouvelle amante. Enfin la mienne du coup. En fait on sait pas.
Je crois qu’on se rendort, car quand j’ouvre les yeux à nouveau, tout le monde s’est rapproché et papote. Ana remarque que je suis réveillé, et Yun lui fait de la place pour qu’elle monte sur moi à côté d’elle. La sublime blonde est nue et grimpe à califourchon sur ma cuisse, et je sens son intimité brûlante sur ma peau. Yun semble se rendre compte de quelque chose, se lève, et désigne mon caleçon en riant.
-Bravo Ana !
Cécilia aussi est réveillée, et elle sourit sans paraître gênée le moins du monde. En même temps, vu le naturel et la pudicité des deux autres… D’ailleurs, la belle italienne a enlevé son soutien-gorge à cause de la chaleur, dévoilant ses seins magnifique. Elles sont toutes les trois vraiment pas assez habillées pour moi, et Courage me lance un regard perdu, ne sachant que faire. Il doit être au moins 14h. On discute un peu, et Yun nous dit finalement qu’elle va prendre une douche. Cécilia se lève aussi pour aller manger un morceau, et je reste seul avec une Ana qui se tortille d’impatience. Sans le moindre vêtement.
L’instant d’après, la couverture est sur nous, ses jambes croisées sur mon dos, et j’entre en elle à nu alors qu’elle soupire de soulagement. J’atteins vite un rythme très rapide sous ses exhortations bruyantes, son envie que j’aille plus loin, plus vite. Sa grosse poitrine rebondit à toute vitesse, ses yeux se voilent, et elle hurle sans aucune discrétion. Quand le premier tremblement m’agite, je sens une peau douce contre moi. Alors que j’agite Courage sur les seins de ma russe sans contrôler mes gémissements, Cécilia caresse mon torse, lèche mon cou et me souffle des mots doux à l’oreille. C’est l’extase totale.
La vie suit son cours, les choses évoluent petit à petit. Je fais souvent l’amour avec Cécilia, dans sa chambre, sans personne d’autre. C’est toujours très lent, très sensuel. Rien à voir avec les lubies de Yun ou les violentes envies d’Ana. Mais c’est tout aussi extraordinaire. Je ne jouis cependant plus en elle, la folie de notre première nuit nous est passée. Je vide Courage en de longs jets brûlants sur son ventre, et elle s’y habitue peu à peu. Je ne vais pas prendre de mouchoirs non plus.
Les situations gênantes deviennent habituelles : il m’arrive très souvent d’être devant la télé, mes deux brase autour de Cécilia et Ana, et Yun à genoux entre mes jambes qui agite Courage dans sa bouche.
C’est une idée qu’elle a eu et qui l’excite beaucoup. Elle vient quand je joue à la console, et quand je pose la manette alors qu’elle descend mon jean, elle la reprend et la remet entre mes mains. Évidemment je joue super mal, concentré sur autre chose.
Pareil, quand on est en voiture tous les deux et qu’on est bloqué dans les bouchons. Elle est rapide, je n’ai même pas le temps de l’arrêter. J’ai juste à appuyer sur l’accélérateur toutes les 10 s, et à paraître naturel pour mes voisins conducteurs arrêtés à côté, alors que ses beaux cheveux noirs s’agitent sur mon ventre.
Et devant la télé donc, je fais semblant de suivre le film alors qu’intérieurement, je suis au paradis. D’autant que Cécilia et Ana me caressent chacune de leur côté, m’embrassent sur les joues, me lèchent dans le cou… Et moi je dois faire comme si je regardais la télé
Puis finalement, Courage pleure à chaudes larmes dans les cheveux de Yun ou sur la langue d’Ana, si la tigresse blonde est assez rapide pour se mettre à genoux et le prendre dans sa bouche. Et alors que je gémis, ma belle italienne aux joues rouges de plaisir accentuent ses caresses, masse mes mains entre ses doigts et me dit qu’elle m’aime. C’est pas mal du tout.
Aujourd’hui, on est le 3 Décembre, et il commence à faire vraiment froid. Et aujourd’hui, je me suis fait faucher par une voiture.