Note de la fic :
Publié le 05/01/2013 à 20:35:56 par lls
Il y a plein de gens, je me sens plutôt bien. Les médecins s’agitent, tout autour de moi. Ça bouge et ça s’excite, je ne comprends pas pourquoi. Je ne veux plus les calculer, je regarde le ciel. La soirée est étoilée et la lune étincelle. J’aurais jamais imaginé que la nuit était si belle. C’est dans ces moments-là que tout d’un coup tout s’émerveille. Oh, ça y est… Je me sens glisser, sur le chemin de la paix, je vais vous quitter. L’étincelle, la flamme, va se consumer. Ne crachez pas sur mon âme, je ne l’ai pas mérité… La vie passe si vite et ce soir la mienne est stoppée. Doucement elle me quitte… Je ne l’ai pas volée. C’est sûrement le jugement de toutes mes bêtises... J’avais oublié que Dieu sur mon âme avait main mise.
J’ai absolument aucune idée de la raison pour laquelle ces paroles d’une chanson bidon de Manau résonnent dans ma tête, alors qu’une grosse infirmière en blouse blanche me balade tranquillement sur un lit à roulettes.
Sûrement le choc. Ils ont quand même fait plein de radios pour voir si rien n’avait bougé dans ma tête. Un médecin m’a dit que j’avais eu beaucoup de chance. Mais j’ai quand même mal partout, et ils m’ont un peu anesthésié. Finalement, les blouses blanches quittent la pièce. Je suis secoué, épuisé, et il n’y a que le « bip » de l’électrocardiogramme qui brise le silence autour de moi. Puis quelqu’un pousse la porte, et mon cœur loupe un battement.
On a dû les prévenir d’être calmes et de ne pas faire de mouvements brusques, parce qu’elles se meuvent en silence autour de moi, malgré l’impatience que je lis dans leurs yeux. Je sens des mains fébriles sur les miennes. Je vois les yeux larmoyants de Yun, et je puise dans toutes les forces qu’il me reste pour lever un bras et rabattre une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Ana, habituellement si forte, si moqueuse... Il n’y a que de l’inquiétude et de la tendresse dans son regard. Et mon italienne, avec ses beaux yeux bleus… Elle s’est penchée sur moi et embrasse mes joues sans sembler pouvoir s’arrêter, et je l’entends sangloter doucement.
J’ignore combien de temps je reste dans cet hôpital, mais ça me semble une éternité. Je me révèle être un patient assez chiant.
Je me calme uniquement quand mes chéries viennent me voir, tous les jours après les cours. Puis finalement, je sors. Je boîte un peu, j’ai un genou qui a bien ramassé. On est le 7 Décembre, et c’est sous la neige qu’on progresse lentement, trois paires de mains douces qui me soutiennent, me protègent de la chute.
Ce n’est pas une vague, c’est un véritable raz-de-marée d’amour qui déferle sur moi dans ma chambre. Elles laissent exploser leurs peines, leurs inquiétudes. Elles m’interdisent de faire le moindre mouvement, me demandent toutes les secondes si je vais bien, si je ne manque de rien. Elles me couvrent jusqu’au menton avec la couette et se blottissent toutes les trois contre moi, s’assurent que je n’ai pas froid. Je sens leurs lèvres chaudes sur moi, elles m’embrassent partout, me caressent, vérifient que je n’ai mal nulle part. J’ai des frissons quand je sens leurs trois langues chaudes dans mon cou en même temps. Elles ont eu la frousse de leur vie. Et leur soulagement de m’avoir retrouvé sain et sauf est infini.
Le lendemain matin, j’ai l’agréable surprise d’être en contact avec trois poitrines de filles. Cette fois-ci, c’est Ana qui est couchée à plat ventre sur moi, comprimant ses seins sur ma peau. Elle est entièrement nue, et Courage est libre lui aussi. À l’instant où je réalise ça, il se réveille en bâillant et en s’étirant. ( )
À mes côtés, Yun et Cécilia dorment sur le dos et sont collées à moi, dormant paisiblement sur mes épaules. Mes bras enlacent leurs visages de déesses et mes mains reposent sur leurs poitrines respectives. Sur mon torse, je vois la chevelure de ma belle blonde qui remue. Je ne sais pas si c’est Popole qui lui chuchote de se réveiller, mais elle finit par lever la tête vers moi, et j’ai une vue parfaite sur ses seins gonflés.
Elle a l’air un peu fatiguée, mais quand elle se rend compte que Courage est en pleine forme contre elle, ses yeux s’illuminent d’un coup, alertes. Et son petit sourire moqueur éclaire son visage parfait. Malgré le fait qu’on soit tous nus, je n’ai eu aucune activité sexuelle depuis quatre jours, et je sens l’excitation monter en moi tandis qu’Ana se relève pour m’embrasser, déplaçant sa peau brûlante contre la mienne.
Elle s’appuie sur moi avec précaution, et ma langue joue avec son piercing quelques secondes. Puis une de ses mains disparaît sous elle et je sens qu’elle attrape Courage, avant de le faire glisser lentement dans un endroit chaud et humide qui m’avait terriblement manqué. Je soupire d’aise, et comme je ne peux pas bouger les bras, ce sont mes mains qui se mettent à caresser les seins de Yun et Cécilia. La magnifique russe bouge un peu pour se redresser, et je sens ses jambes interminables et douces posées sur mes cuisses.
Elle est un peu plus lourde que Yun, mais sa chaleur est délicieuse. Elle continue lentement à enfoncer Courage entre ses cuisses, et ses yeux se ferment à demi. Puis elle se relève doucement, et se rassied. Enfin, elle se recouche sur moi, je retrouve ses tétons chauds contre ma peau, et elle commence à remuer le bassin en douceur. On gémit tous les deux, et je sens son piercing s’agiter contre mon cou. Mes mains serrent maintenant carrément les seins de mes deux compagnes endormies, et elles commencent à bouger. Il doit être moins de midi, car Cécilia se libère de mon bras et me tourne le dos avant de se rendormir. On ne rigole pas avec la grasse matinée de mon italienne.
Elle a tout de même pas mal changé depuis notre première fois, et accepte complètement nos ébats à quatre, même si elle n’a aucun contact sexuel avec Yun et Ana. Bon, évidemment, leurs corps nus se touchent quand on commence à s’exciter et à se grimper dessus, mais c’est involontaire.
Quant à Yun, elle retire ma main de leur support de rêve et s’écarte pour que j’enlève mon bras de sous sa tête. Puis elle se recolle à moi sans quitter ma main, et l’accompagne entre ses cuisses. Et elle referme les yeux. Elle est comme ça Yun. Ma main libre va se poser sur la hanche d’Ana qui souffle et s’agite de plus en plus vite, et celle réquisitionnée ( ) par Yun glisse entre ses cuisses jusqu’à les rendre humides. Puis je décide de mettre mes doigts au chaud. Ma coréenne n’ouvre pas les yeux, mais je vois un petit sourire se dessiner sur son joli minois, et elle pousse des « Mmh… » discrets.
Ana ne me laisse aucun répit, et j’ai maintenant agrippé ses deux hanches fermement pour l’aider à aller plus vite et plus loin. Je lui indique d’un regard que c’est bientôt fini, et elle désigne Yun du menton avec un sourire complice. Puis elle s’écarte, et je me redresse tant bien que mal devant ma petite brune, qui s’est rendormie.
Une fois, je leur ai raconté le coup du procès pour « surprise sex ». Elle étaient mortes de rire. Cécilia m’a juste dit qu’elle me collerait une baffe si je lui faisais un coup pareil, mais elle a quand même eu un petit sourire. Et avec mes deux tigresses, c’est rapidement devenu un jeu.
C’est pourquoi je me mets à agiter un Courage trempé au-dessus de Yun, sans la réveiller. Elle sursaute au premier jet qui recouvre complètement son visage alors qu’Ana pousse un « Oh ! » de surprise avant d’éclater de rire. Ma petite victime ferme la bouche en tentant tant bien que mal d’ouvrir les yeux, toujours sous le choc, se met à sourire et dégage ses cheveux en arrière pour se rapprocher. Je continue de l’arroser abondamment, mi gémissant, mi riant, et elle bouge la tête pour en recevoir partout. Puis elle frotte ses beaux yeux et nous lance un faux regard de fille taquinée et vexée, et Ana roule sur elle pour l’embrasser. Ah okay les tarés.
Je reprends les cours le lendemain, et j’ai encore une démarche mal assurée. On peut dire que je suis complètement rétabli lorsque je reprends les entraînements de Kung Fu, le 14. D’ailleurs, je vous ai pas raconté…
Le vieux Farö m’a juste déchiré après que j’ai cassé la gueule du blond.
Il a suspendu le début de l’entraînement suivant, et tout le monde m’a regardé faire des pompes jusqu’à l’épuisement. (Pour info je me suis écroulé après la 1168 ème. )
Lorsque je me suis relevé, personne ne riait. Pas même les deuxièmes année qui essaient souvent de s’impressionner et de faire les malins entre eux.
Puis il m’a envoyé à l’entraînement avec les juniors. ( -15 )
Épuisé comme j’étais, j’ai eu un mal fou à les surpasser pour pas avoir trop honte.
La vie a repris son cours naturel, avec nos petites habitudes, notre exploration avide de nouveaux plaisirs sexuels… Je vais vous les décrire en détails, avec notamment le changement radical de style de Yun. Mais d’abord, laissez-moi vous raconter comment une fille de première année nommée Laeticia s’est retrouvée chez moi pour que je l’aide...
J’ai absolument aucune idée de la raison pour laquelle ces paroles d’une chanson bidon de Manau résonnent dans ma tête, alors qu’une grosse infirmière en blouse blanche me balade tranquillement sur un lit à roulettes.
Sûrement le choc. Ils ont quand même fait plein de radios pour voir si rien n’avait bougé dans ma tête. Un médecin m’a dit que j’avais eu beaucoup de chance. Mais j’ai quand même mal partout, et ils m’ont un peu anesthésié. Finalement, les blouses blanches quittent la pièce. Je suis secoué, épuisé, et il n’y a que le « bip » de l’électrocardiogramme qui brise le silence autour de moi. Puis quelqu’un pousse la porte, et mon cœur loupe un battement.
On a dû les prévenir d’être calmes et de ne pas faire de mouvements brusques, parce qu’elles se meuvent en silence autour de moi, malgré l’impatience que je lis dans leurs yeux. Je sens des mains fébriles sur les miennes. Je vois les yeux larmoyants de Yun, et je puise dans toutes les forces qu’il me reste pour lever un bras et rabattre une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Ana, habituellement si forte, si moqueuse... Il n’y a que de l’inquiétude et de la tendresse dans son regard. Et mon italienne, avec ses beaux yeux bleus… Elle s’est penchée sur moi et embrasse mes joues sans sembler pouvoir s’arrêter, et je l’entends sangloter doucement.
J’ignore combien de temps je reste dans cet hôpital, mais ça me semble une éternité. Je me révèle être un patient assez chiant.
Je me calme uniquement quand mes chéries viennent me voir, tous les jours après les cours. Puis finalement, je sors. Je boîte un peu, j’ai un genou qui a bien ramassé. On est le 7 Décembre, et c’est sous la neige qu’on progresse lentement, trois paires de mains douces qui me soutiennent, me protègent de la chute.
Ce n’est pas une vague, c’est un véritable raz-de-marée d’amour qui déferle sur moi dans ma chambre. Elles laissent exploser leurs peines, leurs inquiétudes. Elles m’interdisent de faire le moindre mouvement, me demandent toutes les secondes si je vais bien, si je ne manque de rien. Elles me couvrent jusqu’au menton avec la couette et se blottissent toutes les trois contre moi, s’assurent que je n’ai pas froid. Je sens leurs lèvres chaudes sur moi, elles m’embrassent partout, me caressent, vérifient que je n’ai mal nulle part. J’ai des frissons quand je sens leurs trois langues chaudes dans mon cou en même temps. Elles ont eu la frousse de leur vie. Et leur soulagement de m’avoir retrouvé sain et sauf est infini.
Le lendemain matin, j’ai l’agréable surprise d’être en contact avec trois poitrines de filles. Cette fois-ci, c’est Ana qui est couchée à plat ventre sur moi, comprimant ses seins sur ma peau. Elle est entièrement nue, et Courage est libre lui aussi. À l’instant où je réalise ça, il se réveille en bâillant et en s’étirant. ( )
À mes côtés, Yun et Cécilia dorment sur le dos et sont collées à moi, dormant paisiblement sur mes épaules. Mes bras enlacent leurs visages de déesses et mes mains reposent sur leurs poitrines respectives. Sur mon torse, je vois la chevelure de ma belle blonde qui remue. Je ne sais pas si c’est Popole qui lui chuchote de se réveiller, mais elle finit par lever la tête vers moi, et j’ai une vue parfaite sur ses seins gonflés.
Elle a l’air un peu fatiguée, mais quand elle se rend compte que Courage est en pleine forme contre elle, ses yeux s’illuminent d’un coup, alertes. Et son petit sourire moqueur éclaire son visage parfait. Malgré le fait qu’on soit tous nus, je n’ai eu aucune activité sexuelle depuis quatre jours, et je sens l’excitation monter en moi tandis qu’Ana se relève pour m’embrasser, déplaçant sa peau brûlante contre la mienne.
Elle s’appuie sur moi avec précaution, et ma langue joue avec son piercing quelques secondes. Puis une de ses mains disparaît sous elle et je sens qu’elle attrape Courage, avant de le faire glisser lentement dans un endroit chaud et humide qui m’avait terriblement manqué. Je soupire d’aise, et comme je ne peux pas bouger les bras, ce sont mes mains qui se mettent à caresser les seins de Yun et Cécilia. La magnifique russe bouge un peu pour se redresser, et je sens ses jambes interminables et douces posées sur mes cuisses.
Elle est un peu plus lourde que Yun, mais sa chaleur est délicieuse. Elle continue lentement à enfoncer Courage entre ses cuisses, et ses yeux se ferment à demi. Puis elle se relève doucement, et se rassied. Enfin, elle se recouche sur moi, je retrouve ses tétons chauds contre ma peau, et elle commence à remuer le bassin en douceur. On gémit tous les deux, et je sens son piercing s’agiter contre mon cou. Mes mains serrent maintenant carrément les seins de mes deux compagnes endormies, et elles commencent à bouger. Il doit être moins de midi, car Cécilia se libère de mon bras et me tourne le dos avant de se rendormir. On ne rigole pas avec la grasse matinée de mon italienne.
Elle a tout de même pas mal changé depuis notre première fois, et accepte complètement nos ébats à quatre, même si elle n’a aucun contact sexuel avec Yun et Ana. Bon, évidemment, leurs corps nus se touchent quand on commence à s’exciter et à se grimper dessus, mais c’est involontaire.
Quant à Yun, elle retire ma main de leur support de rêve et s’écarte pour que j’enlève mon bras de sous sa tête. Puis elle se recolle à moi sans quitter ma main, et l’accompagne entre ses cuisses. Et elle referme les yeux. Elle est comme ça Yun. Ma main libre va se poser sur la hanche d’Ana qui souffle et s’agite de plus en plus vite, et celle réquisitionnée ( ) par Yun glisse entre ses cuisses jusqu’à les rendre humides. Puis je décide de mettre mes doigts au chaud. Ma coréenne n’ouvre pas les yeux, mais je vois un petit sourire se dessiner sur son joli minois, et elle pousse des « Mmh… » discrets.
Ana ne me laisse aucun répit, et j’ai maintenant agrippé ses deux hanches fermement pour l’aider à aller plus vite et plus loin. Je lui indique d’un regard que c’est bientôt fini, et elle désigne Yun du menton avec un sourire complice. Puis elle s’écarte, et je me redresse tant bien que mal devant ma petite brune, qui s’est rendormie.
Une fois, je leur ai raconté le coup du procès pour « surprise sex ». Elle étaient mortes de rire. Cécilia m’a juste dit qu’elle me collerait une baffe si je lui faisais un coup pareil, mais elle a quand même eu un petit sourire. Et avec mes deux tigresses, c’est rapidement devenu un jeu.
C’est pourquoi je me mets à agiter un Courage trempé au-dessus de Yun, sans la réveiller. Elle sursaute au premier jet qui recouvre complètement son visage alors qu’Ana pousse un « Oh ! » de surprise avant d’éclater de rire. Ma petite victime ferme la bouche en tentant tant bien que mal d’ouvrir les yeux, toujours sous le choc, se met à sourire et dégage ses cheveux en arrière pour se rapprocher. Je continue de l’arroser abondamment, mi gémissant, mi riant, et elle bouge la tête pour en recevoir partout. Puis elle frotte ses beaux yeux et nous lance un faux regard de fille taquinée et vexée, et Ana roule sur elle pour l’embrasser. Ah okay les tarés.
Je reprends les cours le lendemain, et j’ai encore une démarche mal assurée. On peut dire que je suis complètement rétabli lorsque je reprends les entraînements de Kung Fu, le 14. D’ailleurs, je vous ai pas raconté…
Le vieux Farö m’a juste déchiré après que j’ai cassé la gueule du blond.
Il a suspendu le début de l’entraînement suivant, et tout le monde m’a regardé faire des pompes jusqu’à l’épuisement. (Pour info je me suis écroulé après la 1168 ème. )
Lorsque je me suis relevé, personne ne riait. Pas même les deuxièmes année qui essaient souvent de s’impressionner et de faire les malins entre eux.
Puis il m’a envoyé à l’entraînement avec les juniors. ( -15 )
Épuisé comme j’étais, j’ai eu un mal fou à les surpasser pour pas avoir trop honte.
La vie a repris son cours naturel, avec nos petites habitudes, notre exploration avide de nouveaux plaisirs sexuels… Je vais vous les décrire en détails, avec notamment le changement radical de style de Yun. Mais d’abord, laissez-moi vous raconter comment une fille de première année nommée Laeticia s’est retrouvée chez moi pour que je l’aide...