Salut, un peu
Je m'excuse d'avance, le chapitre est un peu court, mais je manque cruellement de temps, j'espère que la qualité est toujours là quand même. Un jour, je balancerai des gros chapitres tellement trop longs que vous en aurez marre de vivre, promis

Allez, action


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Après une minute d'attente, le sas s'ouvrit de l'autre côté. J'arrivai sur le palier d'un escalier qui semblait haut d'au moins une centaine de mètres en tout, un truc tout juste monstrueux
Je décidai cependant de monter, d'après ma logique ça m'amènerait plus près de la surface, vous me l'accorderez Je grimpai ainsi trois paliers, jusqu'à trouver un autre SAS. Il y avait encore deux paliers, mais ma priorité était de retrouver ma blonde préférée, j'avais l'intuition qu'elle était par là m'voyez ? Encore une fois, j'attendis une minute, et le SAS s'ouvrit de l'autre côté.



OMG, c'était exactement pareil qu'en bas, sauf qu'il y avait pas de garçons. Que des filles, de 10 à 14 ans j'imaginai. C'aurait pu être une méga orgie sexuelle que même les japonais m'auraient envié, mais là je sentais plus mes pulsions assassines s'activer
Fallait quand même que je trouve Mélanie, elle avait 14 piges, elle devait se trouver dans le tas. Je m'avançai et me mis à gueuler :
- MELANIE EST ATTENDUE A L'ACCUEIL, JE REPETE, MELANIE EST ATTENDUE A L'ACCUEIL
Il y eut un silence, puis un vacarme assourdissant de cris et de rires déments Je vis des soutifs et des fillettes voler au dessus du tas de personnes qui commençait à s'approcher de moi. C'était des zombies d'un tout autre niveau que les mecs, apparemment

Une se jeta à mes pieds, je lui écrasai la tête contre le sol. Je m'emparai d'un plateau en métal à ma gauche et en assomai quelques unes en prenant un dizème de seconde à chaque fois pour vérifier qu'il s'agissait pas de ma collègue. J'évaluai la situation, je commençais à être submergé, c'était pas cool, je réussis tout juste à passer sur le côté droit et courut à l'autre bout de la salle. Une meuf tenta de me planter avec son couteau, j'esquivai de justesse, lui retournai le bras et l'envoyai valser dans une chambre du couloir, qui était ouvert. J'entrai à mon tour dans la chambre et je verrouillai la porte.

Ok, petite pause dans la narration, je récapitule la situation, afin que vous compreniez et excusiez mon état d'excitation carabinée : j'étais dans une chambre verrouillée, seul avec une fille de 13 ou 14 ans à la chair plutôt tendre, et y'avait un couteau dans cette pièce. Quand je le lui aurai pris, elle n'aurait plus aucun autre moyen de défense que ses petits poings fragiles. Omg, omg, omg
Je fis craquer quelques articulations de mon corps LIKE A BOSS YOU KNOW, et je m'avançai près d'elle, touuuut doucement. Je la voyais ramper en arrière, le couteau pointé vers moi.
- T'approche pas
Ah ok, elle avait essayé de me trouer et maintenant elle me suppliait J'étais à un mètre d'elle, elle agitait son couteau dans tous les sens dans la panique, puis elle se leva dans un but clairement offensif. J'évitai en lui attrapant le poignet, je semblais être contrôlé par ma soif de violence, je me sentais intouchable Je lui tordis le poignet pour lui faire relâcher le couteau, m'en emparai et mis un coup de pied dans l'abdomen de la fille, qui poussa un cri étranglé. Elle se prit le mur derrière, je lui remis un front-kick dans la poitrine, elle s'affaissa au sol. Je la relevai et lui mis deux coups de tête dans le nez, qui se déplaça légèrement et commença à saigner.
- Putain laisse-moi tranquille, je ferai tout ce que tu veux
- Proposition refusée
J'enfonçai violemment et sans averto mon doigt dans son oeil droit. La fille poussa un hurlement apétissant alors que sentai que son globe oculaire cédait sous la pression. Je retirai mon doigt et léchai le sang qui commençait à couler de l'orbite.
- Il est fou Afflelou

La fille me frappait furieusement en pleurant de son oeil valide. Je lui mis mon couteau dans la bouche pour la calmer.
- Montre-voir tes b00bs
- Tout ce que tu veux mais laisse-moi partir merde
Elle enleva le tout et me présenta sa poitrine, Mélanie c'était mieux m'enfin Je pris mon couteau et gravai une dédi-boobs : "Pour jenfaisquepasser, big up by Loïc "
Elle avait serré les dents et n'avait rien dit pendant le tatouage, c'était très smart de sa part, mais la dédicasse rendait bien, j'étais assez fier de ma performance artistique
- C'est bon, laisse-moi partir
- Bof
Je pris sa tête et la cognai contre le mur, ce qui désorienta la fille, qui tomba au sol. Je commençais à trembler d'excitation dans tous les sens du termes, c'était vraiment exquis Je la bloquai au sol en m'asseyant sur elle.
- PUTAIN LAI...
Hop, couteau au fond de la gorge Je sentais qu'elle avait plus la force de crier, elle n'émit que des gargarismes sanglants. J'entrepris de lui couper une main pour lui donner des claques avec pendant qu'elle agonisait, mais je me rendis compte qu'elle venait de s'évanouir, et qu'elle allait certainement pas se réveiller.
- Putain, t'es pas drôle
Je finis néanmoins mon amputation, pour le fun, mais mon excitation venait de chuter et je n'y pris presque aucun plaisir Je pris la main, ouvris la porte et la balançai dans laggle d'une des filles, de dépit
Elles remarquèrent le cadavre de leur pote, donc elles se tenaient plutôt à carreau.
- Bon, quelqu'un a vu Mélanie, là ?
Elles me regardaient sans rien dire.
- Une fille, 14 ans, plutôt petite, gros seins, conne, 'fin blonde quoi Non ?
Une gamine s'approcha prudemment.
- el et parti ya pa lonten
- Ah ? Et où elle est partie ?
- ds lé étaj du dessou, el a di kel cherchai 1 sertin loïque
- Loïc, dis-tu ? Merci bien

Je bousculai tout ce tas de femelles et courut vers le SAS. Donc, Mélanie était partie avant moi de son étage, et était descendue. Je l'ai pas vu à mon étage, donc elle a du descendre encore plus bas.
Damned, j'arrive la blonde