Note de la fic :
Publié le 17/06/2012 à 20:16:45 par GodeHatesUs
Hello there
On peut dire que vous l'avez attendu celui-là... Je doute même avoir encore ne serait-ce que quelques lecteurs, vous devez tous en avoir marre d'attendre si bien que vous avez déserté Enfin bref, je vois qu'il en reste deux au fond, soyez attentifs, l'histoire continue. Merci
--------------------------------------
J'ouvris les yeux d'un seul coup et me redressai brusquement. Je me relevai mais eut un coup de vertige assassin qui m'envoya me cogner contre un mur.
- C'est quoi ce bordel...
Ce mal de tête putain J'avais jamais ressenti un tel truc. J'eus à peine le temps de réaliser que mon diaphragme sauta vers ma gorge et je me mis à gerber tout ce que j'avais en moi. Aussitôt, la faim se fit ressentir et je fus repris de vertige.
La faille que l'explosion avait creusée était rebouchée avec de gros rochers impossibles à déplacer. Julien et Mélanie n'étaient pas là. J'étais seul et complètement désorienté. Je savais même pas si Mélanie était encore en vie et ça me foutait un gros coup de blues.
Putain... Créer des liens si facilement avec une fille aussi chelou, c'est n'importe quoi J'avais envie d'une clope maintenant, alors que ça faisait un bail que j'avais pas fumé. J'en ressentais le besoin immédiat, d'un seul coup.
Je trébuchai comme une sous-merde sur une pierre tombée au milieu du couloir. En voulant la shooter de rage, je remarquai qu'elle était marquée bizarrement. Je la ramassais.
"Vi1 me cherché gd fou!"
Je fus pris d'une crise de rire nerveux, atroce, douloureux. J'avais jamais vu Mélanie écrire, et c'était là la première impression de son orthographe qu'elle me donnait, c'était tellement risible
...
Mélanie est en vie... Mon futur plan cul est toujours en service
Cette découverte me donna un regain d'énergie fabuleux et c'est avec un entrain de bogoss que je retournai sur mes pas pour sortir de ce centre alakon. Je commençai à courir, sachant pertinemment que les couloirs étaient plus déserts que jamais. Au bout de cinq minutes de sprint léger, je remontai les escaliers. Mes pas résonnaient tellement sur les marches de pierre que je me demandais si j'étais pas vraiment complètement seul dans le bâtiment.
Arrivé dans les premiers étages, essouflé, j'entendis une sorte de désordre caractéristique des gamins : voilà l'étages des petits cons
Je défonçai la porte, et ce que je vis m'enchanta. Plusieurs malades de 8 à 12 ans isolés étaient en train de foutre le bordel dans leur réfectoire. Je sentis une veine palpiter à ma tempe et dans mes bras, je serrai mes poings.
Apparemment, ils m'ont pas vu, parfait
Je m'approchai doucement de la première fille à portée, baissai mon pantalon et lui enfonçai mon Z dans la gorge Elle émettait des sortes de gémissements inaudibles et les larmes lui coulaient des yeux tandis qu'elle commençait à manquer d'air. Au bout d'une quarantaine de secondes, ses yeux étaient exorbités et injectés de sang, puis commencèrent à se vider de toute vie, ce qui m'excita le zizi Cela finit d'achever la petite qui tomba au sol, laissant mon Z dégoulinant de bave
A la fin de cette expérience de deep throat, deux autres énergumènes m'avaient repéré et s'approchaient prudemment. Je me saisis du corps de la fillette et leur lançai dessus, et ce fut un STRIKE Je m'empressai de récupérer le cadavre pour les faire taire à jamais à coups de machabée.
- Putain c'est bon
Tout ça m'avait tellement soulagé que j'eus l'idée brillantissime de me vider la vessie, ce que je fis sur mes trois victimes décédées afin de leur infliger un maximum de supplices jusqu'après la mort m'voyez Tout se passait bien lorsque qu'un sale gosse trisomique s'approcha pour faire de même Il s'est pris pour qui sérieux
Qu'à cela ne tienne, je déviai mon urine dans sa gueule d'attardé Il tenta cependant de riposter mais j'exécutai une esquive puis lui arrachai son petit Z de bambin. Alors que son visage commençait tout juste à se déformer sous la douleur, je lui assénai trois grosses bifles avant de lui exploser la tête par terre.
Ne voyant plus personne de vivant dans la pièce, je remontai mon pantalon puis fonçai dans le dortoir d'où j'étais tombé lorsque Mélanie et moi étions entrés par le toit, puis remontai jusquà l'extérieur.
Ah l'air libre
Franchement ça fait du bien, je dis pas que cette visite m'a déplu, mais y'a un moment où buter des malades mentaux ça perd de son charme, kestenpense. Je descendis du bâtiment et découvris un autre message qui venait certainement de Mélo, je reconnaissais son écriture. Ca commençait à devenir irréaliste, genre les méchants qui l'ont enlevée la laissent noter des indices, cette fic tourne vraiment au ridicule Quoi qu'il en soit, elle avait noté un numéro de portable sur le sol, sûrement le sien, ou celui d'un phone qu'elle a volé, bref. J'allais peut-être pouvoir la contacter, ce qui est une bonne chose
Vingt minutes plus tard, j'étais revenu en ville, et vu la chaleur il était sûrement environ midi. Je repérai une cabine téléphonique, et une fille venait d'y entrer. En bon gentleman, je m'empressai de l'accoster :
- Hé mademoiselle
Elle se retourna et se prit mes deux coups de boule dans laggle qui l'assomèrent. Je l'allongeai sur un banc puis je m'emparai de sa carte téléphonique, composant le numéro que Mélanie avait laissé.
- C'est toi Loïc ?
- Salut Mélo
- T'as mis le temps, ça fait 3 jours que j'attends.
Chaud, ça fait trois putain de jours que j'étais dans les vappes ? Pas possible
- Bon, t'es où ma fille ? Tu m'as demandé de te retrouver, j'arrive
- Je sais pas
- Tu te fous de ma gueule ?
- Non, comment je saurais ? J'ai aucune idée d'où je suis
Putain, fais chier, comment je suis censé la retrouver ?
- Aide-moi un peu, j'ai envie de toi moi
Elle rigola, je pensais qu'elle allait me sortir un truc du genre "trolol va te faire foutre", mais non elle a simplement émis un petit rire qui venait de consolider mon envie de me la faire
- Bonne chance Loïc
Elle raccrocha. Je sortis de la cabine, la queue entre les jambes, réalisant que les grandes lignes de mon parcours sexuel tournaient exclusivement autour du mot "viol", c'était pas très glorieux
- UN, DEUX, CA MARCHE OU PAS ?
OMG Cette voix légèrement mécanique et inconnue venait de m'exploser le tympan.
- Moins fort putain, ça vient d'où ça ?
- Ah désolée Je suis dans ton oreille je crois, ça va ?
Je fouillai au fond de mon oreille, sentant un petit truc solide incrusté dans le fond. Je commençait à paniquer.
- C'est quoi ça ? D'où ça sort ?
- On s'en fiche, l'important c'est que ça marche Tu t'appelles Loïc c'est ça ?
La voix était vraiment aigue, une gamine était en train de me parler à travers une oreillette qu'on m'avait greffée près du tympan
- Ouais mais t'es qui ?
- Appelle-moi Lily, t'as pas à savoir mon vrai prénom, d'accord ?
- Et t'as quel âge ?
- Onze ans, bientôt douze je crois
Tu te fous de ma gueule, suis-je condamné à être harcelé par des gamines tout au long de cette putain d'histoire ?
- Ok, je vais t'expliquer deux-trois petites choses ! Premièrement, j'entends tout comme toi. Au début, on voulait que je sois capable de voir à travers tes yeux, mais c'était trop compliqué je crois. D'ailleurs j'ai entendu ta conversation au téléphone, la fille Mélanie là, tu veux lui faire l'amour non ?
- Va te faire foutre petite, c'est pas tes affaires
- Je vois, alors ça me servira de petite transition pour te montrer ceci
Un spasme fulgurant me parcourut et une douleur atroce sembla tordre mon muscle cardiaque le temps d'un battement, ce qui me fit hurler de surprise.
- Pas si fort Loïc, tu m'as fait sursauter
- C'était quoi ça ?!
- Y'a un petit bouton rouge devant moi, qui déclenche un truc qu'ils ont placé dans ton corps j'ai pas tout compris, enfin ça te fait mal quoi Genre si tu m'embêtes trop...
A nouveau je sentis cette douleur tranchante au niveau du coeur, mais celle-ci dura plus longtemps.
- A-ARRÊTE !
La douleur se calma, j'avais les larmes aux yeux.
- ... je peux appuyer sur ce bouton à loisir, d'accord ? Bon, on va bien s'entendre je crois
On peut dire que vous l'avez attendu celui-là... Je doute même avoir encore ne serait-ce que quelques lecteurs, vous devez tous en avoir marre d'attendre si bien que vous avez déserté Enfin bref, je vois qu'il en reste deux au fond, soyez attentifs, l'histoire continue. Merci
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J'ouvris les yeux d'un seul coup et me redressai brusquement. Je me relevai mais eut un coup de vertige assassin qui m'envoya me cogner contre un mur.
- C'est quoi ce bordel...
Ce mal de tête putain J'avais jamais ressenti un tel truc. J'eus à peine le temps de réaliser que mon diaphragme sauta vers ma gorge et je me mis à gerber tout ce que j'avais en moi. Aussitôt, la faim se fit ressentir et je fus repris de vertige.
La faille que l'explosion avait creusée était rebouchée avec de gros rochers impossibles à déplacer. Julien et Mélanie n'étaient pas là. J'étais seul et complètement désorienté. Je savais même pas si Mélanie était encore en vie et ça me foutait un gros coup de blues.
Putain... Créer des liens si facilement avec une fille aussi chelou, c'est n'importe quoi J'avais envie d'une clope maintenant, alors que ça faisait un bail que j'avais pas fumé. J'en ressentais le besoin immédiat, d'un seul coup.
Je trébuchai comme une sous-merde sur une pierre tombée au milieu du couloir. En voulant la shooter de rage, je remarquai qu'elle était marquée bizarrement. Je la ramassais.
"Vi1 me cherché gd fou!"
Je fus pris d'une crise de rire nerveux, atroce, douloureux. J'avais jamais vu Mélanie écrire, et c'était là la première impression de son orthographe qu'elle me donnait, c'était tellement risible
...
Mélanie est en vie... Mon futur plan cul est toujours en service
Cette découverte me donna un regain d'énergie fabuleux et c'est avec un entrain de bogoss que je retournai sur mes pas pour sortir de ce centre alakon. Je commençai à courir, sachant pertinemment que les couloirs étaient plus déserts que jamais. Au bout de cinq minutes de sprint léger, je remontai les escaliers. Mes pas résonnaient tellement sur les marches de pierre que je me demandais si j'étais pas vraiment complètement seul dans le bâtiment.
Arrivé dans les premiers étages, essouflé, j'entendis une sorte de désordre caractéristique des gamins : voilà l'étages des petits cons
Je défonçai la porte, et ce que je vis m'enchanta. Plusieurs malades de 8 à 12 ans isolés étaient en train de foutre le bordel dans leur réfectoire. Je sentis une veine palpiter à ma tempe et dans mes bras, je serrai mes poings.
Apparemment, ils m'ont pas vu, parfait
Je m'approchai doucement de la première fille à portée, baissai mon pantalon et lui enfonçai mon Z dans la gorge Elle émettait des sortes de gémissements inaudibles et les larmes lui coulaient des yeux tandis qu'elle commençait à manquer d'air. Au bout d'une quarantaine de secondes, ses yeux étaient exorbités et injectés de sang, puis commencèrent à se vider de toute vie, ce qui m'excita le zizi Cela finit d'achever la petite qui tomba au sol, laissant mon Z dégoulinant de bave
A la fin de cette expérience de deep throat, deux autres énergumènes m'avaient repéré et s'approchaient prudemment. Je me saisis du corps de la fillette et leur lançai dessus, et ce fut un STRIKE Je m'empressai de récupérer le cadavre pour les faire taire à jamais à coups de machabée.
- Putain c'est bon
Tout ça m'avait tellement soulagé que j'eus l'idée brillantissime de me vider la vessie, ce que je fis sur mes trois victimes décédées afin de leur infliger un maximum de supplices jusqu'après la mort m'voyez Tout se passait bien lorsque qu'un sale gosse trisomique s'approcha pour faire de même Il s'est pris pour qui sérieux
Qu'à cela ne tienne, je déviai mon urine dans sa gueule d'attardé Il tenta cependant de riposter mais j'exécutai une esquive puis lui arrachai son petit Z de bambin. Alors que son visage commençait tout juste à se déformer sous la douleur, je lui assénai trois grosses bifles avant de lui exploser la tête par terre.
Ne voyant plus personne de vivant dans la pièce, je remontai mon pantalon puis fonçai dans le dortoir d'où j'étais tombé lorsque Mélanie et moi étions entrés par le toit, puis remontai jusquà l'extérieur.
Ah l'air libre
Franchement ça fait du bien, je dis pas que cette visite m'a déplu, mais y'a un moment où buter des malades mentaux ça perd de son charme, kestenpense. Je descendis du bâtiment et découvris un autre message qui venait certainement de Mélo, je reconnaissais son écriture. Ca commençait à devenir irréaliste, genre les méchants qui l'ont enlevée la laissent noter des indices, cette fic tourne vraiment au ridicule Quoi qu'il en soit, elle avait noté un numéro de portable sur le sol, sûrement le sien, ou celui d'un phone qu'elle a volé, bref. J'allais peut-être pouvoir la contacter, ce qui est une bonne chose
Vingt minutes plus tard, j'étais revenu en ville, et vu la chaleur il était sûrement environ midi. Je repérai une cabine téléphonique, et une fille venait d'y entrer. En bon gentleman, je m'empressai de l'accoster :
- Hé mademoiselle
Elle se retourna et se prit mes deux coups de boule dans laggle qui l'assomèrent. Je l'allongeai sur un banc puis je m'emparai de sa carte téléphonique, composant le numéro que Mélanie avait laissé.
- C'est toi Loïc ?
- Salut Mélo
- T'as mis le temps, ça fait 3 jours que j'attends.
Chaud, ça fait trois putain de jours que j'étais dans les vappes ? Pas possible
- Bon, t'es où ma fille ? Tu m'as demandé de te retrouver, j'arrive
- Je sais pas
- Tu te fous de ma gueule ?
- Non, comment je saurais ? J'ai aucune idée d'où je suis
Putain, fais chier, comment je suis censé la retrouver ?
- Aide-moi un peu, j'ai envie de toi moi
Elle rigola, je pensais qu'elle allait me sortir un truc du genre "trolol va te faire foutre", mais non elle a simplement émis un petit rire qui venait de consolider mon envie de me la faire
- Bonne chance Loïc
Elle raccrocha. Je sortis de la cabine, la queue entre les jambes, réalisant que les grandes lignes de mon parcours sexuel tournaient exclusivement autour du mot "viol", c'était pas très glorieux
- UN, DEUX, CA MARCHE OU PAS ?
OMG Cette voix légèrement mécanique et inconnue venait de m'exploser le tympan.
- Moins fort putain, ça vient d'où ça ?
- Ah désolée Je suis dans ton oreille je crois, ça va ?
Je fouillai au fond de mon oreille, sentant un petit truc solide incrusté dans le fond. Je commençait à paniquer.
- C'est quoi ça ? D'où ça sort ?
- On s'en fiche, l'important c'est que ça marche Tu t'appelles Loïc c'est ça ?
La voix était vraiment aigue, une gamine était en train de me parler à travers une oreillette qu'on m'avait greffée près du tympan
- Ouais mais t'es qui ?
- Appelle-moi Lily, t'as pas à savoir mon vrai prénom, d'accord ?
- Et t'as quel âge ?
- Onze ans, bientôt douze je crois
Tu te fous de ma gueule, suis-je condamné à être harcelé par des gamines tout au long de cette putain d'histoire ?
- Ok, je vais t'expliquer deux-trois petites choses ! Premièrement, j'entends tout comme toi. Au début, on voulait que je sois capable de voir à travers tes yeux, mais c'était trop compliqué je crois. D'ailleurs j'ai entendu ta conversation au téléphone, la fille Mélanie là, tu veux lui faire l'amour non ?
- Va te faire foutre petite, c'est pas tes affaires
- Je vois, alors ça me servira de petite transition pour te montrer ceci
Un spasme fulgurant me parcourut et une douleur atroce sembla tordre mon muscle cardiaque le temps d'un battement, ce qui me fit hurler de surprise.
- Pas si fort Loïc, tu m'as fait sursauter
- C'était quoi ça ?!
- Y'a un petit bouton rouge devant moi, qui déclenche un truc qu'ils ont placé dans ton corps j'ai pas tout compris, enfin ça te fait mal quoi Genre si tu m'embêtes trop...
A nouveau je sentis cette douleur tranchante au niveau du coeur, mais celle-ci dura plus longtemps.
- A-ARRÊTE !
La douleur se calma, j'avais les larmes aux yeux.
- ... je peux appuyer sur ce bouton à loisir, d'accord ? Bon, on va bien s'entendre je crois
Commentaires
- Darkshi35
27/07/2012 à 23:39:50
ennnffiiiiiiiiiinnnnnnnn!!!!! écris plus!!! lol!!! je te suis depuis le tout debut je me manifeste enfin