Note de la fic :
Publié le 05/03/2012 à 22:59:25 par GodeHatesUs
Coucou les gens
...
OMG stop me lancer des tronçonneuses, je sais j'écris pas souvent, mais que voulez-vous les cours m'occupent pas mal...
Voici en petit prix de consolation la chanson que j'ai la plus écoutée en écrivant ce chapitre (attention c'est pas écoutable pour tout le monde ) :
Allez, on lance le chapitre
----------------------------------------
Je m'approchai du garçon pendu à l'arbre, les yeux exorbités, des larmes et un filet de bave continuaient à goutter de son visage.
- Et si on lui tatouait...
- Non Loïc, ça suffit là
- Mais si, on pourrait lui dessiner un...
- Loïc, faut qu'on parte, on est pas vraiment cachés si on reste là. Allez, viens.
Mais OMG c'est quoi son problème j'avais l'impression d'être son gamin maintenant, surtout qu'elle m'engueulait alors qu'elle venait de m'embrasser sans raison. Je comprendrai jamais cette fille je crois
Elle s'éloigna plus avant dans les bois. De dépit, je découpai le Z du garçon pendu et lui lançai en l'insultant, mais elle ne répondit pas.
Bon...
J'allumai ma torche car il commençait à faire noir, et la rejoignis en esquivant ronces et branches gênantes. Mélanie avait trouvé un ruisseau dans lequel elle était en train de se laver le visage.
Elle était penchée comme ça vers l'eau, le derrière malicieusement tourné vers moi...
Un petit coup de pied bien placé la fit tomber dans le petit torrent, et j'explosai allégrement d'un rire parfaitement moqueur.
- Un problème d'équilibre, la blonde ?
Elle m'envoya un galet dans la gueule, ce qui eut pour effet de me chauffer un peu, je lui sautai donc dessus pour lui régler son compte, mais elle anticipa mon attaque et me mis un coup de genou dans les testicouilles Titubant, je réussis à lui attraper les chevilles et la fis tomber. Je tentai de lui faire une prise de soumission comme au catch que je regardais occasionnellement () mais ce fut un échec, Mélanie me retourna et me bloqua les mains, elle avait une force anormale n'empêche, je pouvais difficilement bouger
- C'est tout ?
Ah ok, elle avait retrouvé son sourire, juste pour me narguer Elle était en train de s'appuyer dangereusement au niveau de mon entre-jambe, ça me plaisait pas trop cette histoire, je libérai un bras avec difficulté et lui envoyai une droite, la plaquai au sol et pris un galet dans le but de lui éclater sur le front
Elle sortit un flingue de nulle part et me le pointa entre les deux yeux, ce qui bloqua mon mouvement et m'éclaircit l'esprit
- Calme-toi Loïc, on s'amuse c'est tout
- ... Désolé
Putain, j'en ai marre de ces crises de violence, j'étais prêt à défoncer Mélanie là, c'est clair... Elle me tendit la main pour me relever. On sortit du ruisseau et on remonta sur la rive de l'autre côté. Elle me regarda d'un air insistant.
- Ca va ?
Je l'attrapai et la serrai contre moi, comme si c'était la dernière chose à laquelle je pouvais m'accrocher pour ne pas complètement sombrer, c'était ce que je ressentais, elle me semblait être ma seule bouée
Même si c'était vraiment tentant de l'exploser sur le coup
Au bout d'une minute, je me détachai d'elle.
- Tout ça devient ridicule, avançons
- Oui
Je rallumai la torche et découvris ce qui ressemblait vaguement à un sentier grossièrement tracé qui remontait une sorte de colline très boisée.
- On va monter par là, passe devant, la blonde.
Elle acquiesça en silence, me prit la torche des mains et commença à grimper la pente en prenant appui sur les racines et en se tenant aux ronces. Je la suivis, en regardant derrière moi pour vérifier qu'on n'était pas suivis. J'avais toujours ces petites paranos la nuit, genre voir débarquer un putain de zombie à la RE4 ou un pedobear avec le cheat invincibilité, y'avait toujours cette probabilité qui flottait dans l'air et ça suffisait à me faire stresser
Avoir fait passer Mélanie devant me permettait de mater un peu, quoi vous la verriez vous me regarderiez pas avec ces regards outrés, c'est tout de même un joli morceau, et le fait qu'elle ait 14 ans n'y change rien, assurément
Observer ainsi son déhanché me fit repenser aux fesses tatouées de Julie, la bestah de ma défunte soeur, ce qui me fit éclater de rire.
- Hm ?
- Rien, t'occupes
Quel coup de maître ce fut, passer ma rage sur une gamine me manquait, dire que j'aurais pu le faire avec l'autre petite en ville si Mélanie ne l'avait pas explosée. J'aurais pu allumer les plaques de la cuisinière, la faire s'asseoir dessus, et...
- Loïc, on a quelque chose !
Je la rejoignis rapidement. Il n'y avait presque plus de pente et le sentier s'était grandement précisé. Elle éteignit la torche et me désigna une lueur derrière le feuillage des arbres.
- Je vois, y'a quelque chose là-bas.
- Oui, c'est pas loin du tout, allons-y
- GG
On marcha pendant 5 bonnes minutes, jusqu'à ce que Mélanie entende des voix lointaines. L'orée du bois que nous atteignirent donnait sur ce qui ressemblait dans la pénombre à un terrain de foot. De l'autre côté, un bâtiment énorme, comme un hôtel, pas haut mais vraiment très étendu. C'était réellement comparable à un paquebot.
- C'est quoi ça ?
Je me rendis compte que je parlais dans le vent, Mélanie avait avancé de l'autre côté du terrain et se tenait devant un grand panneau d'affichage. Elle alluma la torche et m'incita à la rejoindre. Je m'approchai et lus "Centre jeunesse n°69".
- Centre jeunesse ? WTF ?
- Tout ce que je sais c'est qu'on va pas dormir dehors
- Tu crois vraiment qu'on va dormir ?
Je voulais simplement dire qu'on allait sûrement visiter le bâtiment, mais d'après le regard de braise et le clin d'oeil qu'elle me lança, je me dis qu'elle avait pas mal compris de travers
- C'est pas ce que tu crois, pute
- T'es sûr ?
Ouais j'étais sûr, j'avais vraiment envie de voir ce que c'était réellement que ce truc, et d'après les voix qu'on entendait à l'intérieur, y'avait des gamins, j'allais pouvoir assouvir ma soif de cruauté.
Centre 69, nous voilà
...
OMG stop me lancer des tronçonneuses, je sais j'écris pas souvent, mais que voulez-vous les cours m'occupent pas mal...
Voici en petit prix de consolation la chanson que j'ai la plus écoutée en écrivant ce chapitre (attention c'est pas écoutable pour tout le monde ) :
Allez, on lance le chapitre
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Je m'approchai du garçon pendu à l'arbre, les yeux exorbités, des larmes et un filet de bave continuaient à goutter de son visage.
- Et si on lui tatouait...
- Non Loïc, ça suffit là
- Mais si, on pourrait lui dessiner un...
- Loïc, faut qu'on parte, on est pas vraiment cachés si on reste là. Allez, viens.
Mais OMG c'est quoi son problème j'avais l'impression d'être son gamin maintenant, surtout qu'elle m'engueulait alors qu'elle venait de m'embrasser sans raison. Je comprendrai jamais cette fille je crois
Elle s'éloigna plus avant dans les bois. De dépit, je découpai le Z du garçon pendu et lui lançai en l'insultant, mais elle ne répondit pas.
Bon...
J'allumai ma torche car il commençait à faire noir, et la rejoignis en esquivant ronces et branches gênantes. Mélanie avait trouvé un ruisseau dans lequel elle était en train de se laver le visage.
Elle était penchée comme ça vers l'eau, le derrière malicieusement tourné vers moi...
Un petit coup de pied bien placé la fit tomber dans le petit torrent, et j'explosai allégrement d'un rire parfaitement moqueur.
- Un problème d'équilibre, la blonde ?
Elle m'envoya un galet dans la gueule, ce qui eut pour effet de me chauffer un peu, je lui sautai donc dessus pour lui régler son compte, mais elle anticipa mon attaque et me mis un coup de genou dans les testicouilles Titubant, je réussis à lui attraper les chevilles et la fis tomber. Je tentai de lui faire une prise de soumission comme au catch que je regardais occasionnellement () mais ce fut un échec, Mélanie me retourna et me bloqua les mains, elle avait une force anormale n'empêche, je pouvais difficilement bouger
- C'est tout ?
Ah ok, elle avait retrouvé son sourire, juste pour me narguer Elle était en train de s'appuyer dangereusement au niveau de mon entre-jambe, ça me plaisait pas trop cette histoire, je libérai un bras avec difficulté et lui envoyai une droite, la plaquai au sol et pris un galet dans le but de lui éclater sur le front
Elle sortit un flingue de nulle part et me le pointa entre les deux yeux, ce qui bloqua mon mouvement et m'éclaircit l'esprit
- Calme-toi Loïc, on s'amuse c'est tout
- ... Désolé
Putain, j'en ai marre de ces crises de violence, j'étais prêt à défoncer Mélanie là, c'est clair... Elle me tendit la main pour me relever. On sortit du ruisseau et on remonta sur la rive de l'autre côté. Elle me regarda d'un air insistant.
- Ca va ?
Je l'attrapai et la serrai contre moi, comme si c'était la dernière chose à laquelle je pouvais m'accrocher pour ne pas complètement sombrer, c'était ce que je ressentais, elle me semblait être ma seule bouée
Même si c'était vraiment tentant de l'exploser sur le coup
Au bout d'une minute, je me détachai d'elle.
- Tout ça devient ridicule, avançons
- Oui
Je rallumai la torche et découvris ce qui ressemblait vaguement à un sentier grossièrement tracé qui remontait une sorte de colline très boisée.
- On va monter par là, passe devant, la blonde.
Elle acquiesça en silence, me prit la torche des mains et commença à grimper la pente en prenant appui sur les racines et en se tenant aux ronces. Je la suivis, en regardant derrière moi pour vérifier qu'on n'était pas suivis. J'avais toujours ces petites paranos la nuit, genre voir débarquer un putain de zombie à la RE4 ou un pedobear avec le cheat invincibilité, y'avait toujours cette probabilité qui flottait dans l'air et ça suffisait à me faire stresser
Avoir fait passer Mélanie devant me permettait de mater un peu, quoi vous la verriez vous me regarderiez pas avec ces regards outrés, c'est tout de même un joli morceau, et le fait qu'elle ait 14 ans n'y change rien, assurément
Observer ainsi son déhanché me fit repenser aux fesses tatouées de Julie, la bestah de ma défunte soeur, ce qui me fit éclater de rire.
- Hm ?
- Rien, t'occupes
Quel coup de maître ce fut, passer ma rage sur une gamine me manquait, dire que j'aurais pu le faire avec l'autre petite en ville si Mélanie ne l'avait pas explosée. J'aurais pu allumer les plaques de la cuisinière, la faire s'asseoir dessus, et...
- Loïc, on a quelque chose !
Je la rejoignis rapidement. Il n'y avait presque plus de pente et le sentier s'était grandement précisé. Elle éteignit la torche et me désigna une lueur derrière le feuillage des arbres.
- Je vois, y'a quelque chose là-bas.
- Oui, c'est pas loin du tout, allons-y
- GG
On marcha pendant 5 bonnes minutes, jusqu'à ce que Mélanie entende des voix lointaines. L'orée du bois que nous atteignirent donnait sur ce qui ressemblait dans la pénombre à un terrain de foot. De l'autre côté, un bâtiment énorme, comme un hôtel, pas haut mais vraiment très étendu. C'était réellement comparable à un paquebot.
- C'est quoi ça ?
Je me rendis compte que je parlais dans le vent, Mélanie avait avancé de l'autre côté du terrain et se tenait devant un grand panneau d'affichage. Elle alluma la torche et m'incita à la rejoindre. Je m'approchai et lus "Centre jeunesse n°69".
- Centre jeunesse ? WTF ?
- Tout ce que je sais c'est qu'on va pas dormir dehors
- Tu crois vraiment qu'on va dormir ?
Je voulais simplement dire qu'on allait sûrement visiter le bâtiment, mais d'après le regard de braise et le clin d'oeil qu'elle me lança, je me dis qu'elle avait pas mal compris de travers
- C'est pas ce que tu crois, pute
- T'es sûr ?
Ouais j'étais sûr, j'avais vraiment envie de voir ce que c'était réellement que ce truc, et d'après les voix qu'on entendait à l'intérieur, y'avait des gamins, j'allais pouvoir assouvir ma soif de cruauté.
Centre 69, nous voilà