Note de la fic :
Publié le 14/09/2011 à 19:02:31 par BeABadMan
On s'barre du Macdo, en laissant bien évidemment l'enveloppe du sandwich et la canette sur la table. On est que deux sur des millions de personnes à faire ça sur terre, donc j'en ai aucuns remords.
On visite encore un peu le centre commercial, mais nous en sommes vite lassé. Nous rentrons donc chez Solenne.
Sur la route, elle me parle. D'elle, de ses amis, de ses anciens amours ... On s'assoit par terre, à l'entrée d'un bâtiment.
Elle continue à parler. Je pourrai l'écouter pendant des heures et des journées entières sans me lasser. Elle a ce ton de voix que peu de personne ont ... où elle pourrait te lire une notice de médicaments ou les ingrédients qu'il y a dans un shampoing, ce serait intéressant. Ou bien est ce que je pense ça car je suis amoureux ? Aucunes idées. Après tout, je la décris uniquement avec mon avis, qui est on ne peut plus subjectif.
Elle ouvre son répertoire de téléphone et me montre quels garçons voulaient sortir avec. Au moins un sur deux, sans exagérer. Et je la crois.
Pas parce que c'est mon petit côté soumis qui ressort, mais car c'est forcémment la vérité. Elle est vraiment sublime, elle a tout pour plaire et pour faire craquer un mec.
Alors qu'elle était en train d'énumérer l'énième garçon, je prends sa tête et je l'embrasse. Le plus longtemps que je ne l'ai jamais fais à une fille. En même temps, je me disais que énormément de garçons la trouvent magnifique et veulent sortir avec et ... Je suis là. Assis à côté d'elle, en l'embrassant. Je suis "l'élu". Cette pensée me fait sourire. Solenne sourit aussi, car on est toujours en train de s'embrasser.
Puis elle éclate de rire, et bien sûr, moi aussi. J'adore. Je suis plus le garçon timide qui ne savait pas comment aborder, il y a quelques mois, à l'auberge des Eyssauts. Elle m'a fait grandir, devenir quelqu'un d'autre. Je sors avec elle, la fille que j'aime.
Ce n'est pas comme toutes les autres histoires d'amours. Je ne l'aime pas, non. J'en suis fou amoureux. C'est bien au delà d'aimer. Je ne suis pas attiré par une attirance physique, ou une attirance morale. J'ai ces deux facteurs en même temps, et ça, c'est vachement rare.
Raaah, fais chier, j'ai pas les mots pour expliquer ce genre de truc.
Elle ouvre la porte de sa chambre, j'enlève mes chaussures et je saute sur son lit. On allume l'ordinateur et on écoute de la musique calme, couché l'un à moitié sur l'autre. Elle me tient la main. J'expire à nouveau comme si tout mes soucis partaient. Il fait déja nuit, dehors. Comment, à UNE seule seconde dans ma vie, aurai-je pu penser que ce serait arriver ?
Cette fille, qui était assise avec son portable, à l'auberge. Comment aurai-je pu croire que je serai là, à côté d'elle, dans un lit, comme deux amoureux ? Comment aurai-je fait si je n'étais pas venu ce jour là, aux soixante ans de mariage, et que je ne l'aurai jamais rencontré ?
Je préfère ne pas y penser, c'est trop dur. Ses parents ne sont pas là. Sa mère est partie à l'esthéticienne, et son père est allé voir ses potes. Je l'embrasse. Mais cette fois ci, c'est étrange ... Ça devient un peu plus ... torride. Que d'habitude. Elle se lève comme une furie, ferme sa porte à clé, et me saute aussi.
- Haha, qu'est ce que tu fais ?
On visite encore un peu le centre commercial, mais nous en sommes vite lassé. Nous rentrons donc chez Solenne.
Sur la route, elle me parle. D'elle, de ses amis, de ses anciens amours ... On s'assoit par terre, à l'entrée d'un bâtiment.
Elle continue à parler. Je pourrai l'écouter pendant des heures et des journées entières sans me lasser. Elle a ce ton de voix que peu de personne ont ... où elle pourrait te lire une notice de médicaments ou les ingrédients qu'il y a dans un shampoing, ce serait intéressant. Ou bien est ce que je pense ça car je suis amoureux ? Aucunes idées. Après tout, je la décris uniquement avec mon avis, qui est on ne peut plus subjectif.
Elle ouvre son répertoire de téléphone et me montre quels garçons voulaient sortir avec. Au moins un sur deux, sans exagérer. Et je la crois.
Pas parce que c'est mon petit côté soumis qui ressort, mais car c'est forcémment la vérité. Elle est vraiment sublime, elle a tout pour plaire et pour faire craquer un mec.
Alors qu'elle était en train d'énumérer l'énième garçon, je prends sa tête et je l'embrasse. Le plus longtemps que je ne l'ai jamais fais à une fille. En même temps, je me disais que énormément de garçons la trouvent magnifique et veulent sortir avec et ... Je suis là. Assis à côté d'elle, en l'embrassant. Je suis "l'élu". Cette pensée me fait sourire. Solenne sourit aussi, car on est toujours en train de s'embrasser.
Puis elle éclate de rire, et bien sûr, moi aussi. J'adore. Je suis plus le garçon timide qui ne savait pas comment aborder, il y a quelques mois, à l'auberge des Eyssauts. Elle m'a fait grandir, devenir quelqu'un d'autre. Je sors avec elle, la fille que j'aime.
Ce n'est pas comme toutes les autres histoires d'amours. Je ne l'aime pas, non. J'en suis fou amoureux. C'est bien au delà d'aimer. Je ne suis pas attiré par une attirance physique, ou une attirance morale. J'ai ces deux facteurs en même temps, et ça, c'est vachement rare.
Raaah, fais chier, j'ai pas les mots pour expliquer ce genre de truc.
Elle ouvre la porte de sa chambre, j'enlève mes chaussures et je saute sur son lit. On allume l'ordinateur et on écoute de la musique calme, couché l'un à moitié sur l'autre. Elle me tient la main. J'expire à nouveau comme si tout mes soucis partaient. Il fait déja nuit, dehors. Comment, à UNE seule seconde dans ma vie, aurai-je pu penser que ce serait arriver ?
Cette fille, qui était assise avec son portable, à l'auberge. Comment aurai-je pu croire que je serai là, à côté d'elle, dans un lit, comme deux amoureux ? Comment aurai-je fait si je n'étais pas venu ce jour là, aux soixante ans de mariage, et que je ne l'aurai jamais rencontré ?
Je préfère ne pas y penser, c'est trop dur. Ses parents ne sont pas là. Sa mère est partie à l'esthéticienne, et son père est allé voir ses potes. Je l'embrasse. Mais cette fois ci, c'est étrange ... Ça devient un peu plus ... torride. Que d'habitude. Elle se lève comme une furie, ferme sa porte à clé, et me saute aussi.
- Haha, qu'est ce que tu fais ?