Note de la fic :
Publié le 14/09/2011 à 18:58:17 par BeABadMan
C'est vraiment beau ici.
- Bon ! Tu viens ou quoi ?! me cria elle en commençant à courir.
J'ai voulu la rattraper, mais elle a accélerer, comme si elle cherchait à fuir pour que je m'amuse à l'attraper.
Elle ne courait pas très vite, mais juste assez pour qu'elle me tienne à distance. Après quelques minutes de course, je n'en pouvais plus. Je fais pas de l'endurance, moi ! J'ai pas cette condition physique.
Elle me voit m'assoir et s'approche de moi. Elle tend la joue pour que je l'embrasse, ce que j'essaye de faire. Elle me baisse la tête, me soulève par la nuque et me met un coup de genoux dans le ventre. Puis elle reprend sa course en étant morte de rire. Putain, c'est tout elle ça. Quand certains couplent dinent autour d'une table en buvant un champagne, moi je me fais taper par ma copine. Mais je dois vous avouer que c'est peut être mieux comme ça ...
Ça me fait rire. Etre naturel. Je fonce aussitôt à sa poursuite pour l'attraper, je ne suis qu'à quelques centimètres, je tends le bras et ... Elle accélère ! Je me serai cru dans Bipbip et le Coyotte, quand ce dernier croit qu'il va l'attraper mais au dernier moment, l'oiseau accélère.
C'était pareil. Épuisé, je me laisse tomber dans l'herbe. Elle vient, essouflée, s'allonge et pose sa tête sur mon torse.
C'est mignon hein ? Mais ma fierté vaut plus que ça ! Je l'attrape par la taille et l'envoi rouler dans l'herbe. Elle me saute dessus et une bagarre de roulé-boulé commence !
Ouf ! Mon orgueil reste intact, lui prouvant que j'ai gagné en étant sur elle. Alors que j'allais l'embrasser, elle me fit une clé de bras et me mit sur le dos en une fraction de seconde.
- Tu vas voir ! ricana elle en ouvrant les lèvres.
Horrifié, je vis un épais filet de bave commencer à couler de ses lèvres.
- Oh mon dieu ! Pitié ! Ne fais pas ça ! Tu serai la dernière des truies ! criai-je en me débattant.
Elle explosa de rire, laissant une goutte de salive atteindre ma joue.
- Je sors avec une gueunon, dis je en m'essuyant la joue d'un revers de la manche. Je me vengerai.
Puis j'éclate de rire, prenant compte du comique de la situation.
- Des menaces, Monsieur Thomas ? Sans blague ! Tu crois que ça va m'empêcher de dormir ?
Puis on se mit à rire à nouveau.
- Bon ! Tu viens ou quoi ?! me cria elle en commençant à courir.
J'ai voulu la rattraper, mais elle a accélerer, comme si elle cherchait à fuir pour que je m'amuse à l'attraper.
Elle ne courait pas très vite, mais juste assez pour qu'elle me tienne à distance. Après quelques minutes de course, je n'en pouvais plus. Je fais pas de l'endurance, moi ! J'ai pas cette condition physique.
Elle me voit m'assoir et s'approche de moi. Elle tend la joue pour que je l'embrasse, ce que j'essaye de faire. Elle me baisse la tête, me soulève par la nuque et me met un coup de genoux dans le ventre. Puis elle reprend sa course en étant morte de rire. Putain, c'est tout elle ça. Quand certains couplent dinent autour d'une table en buvant un champagne, moi je me fais taper par ma copine. Mais je dois vous avouer que c'est peut être mieux comme ça ...
Ça me fait rire. Etre naturel. Je fonce aussitôt à sa poursuite pour l'attraper, je ne suis qu'à quelques centimètres, je tends le bras et ... Elle accélère ! Je me serai cru dans Bipbip et le Coyotte, quand ce dernier croit qu'il va l'attraper mais au dernier moment, l'oiseau accélère.
C'était pareil. Épuisé, je me laisse tomber dans l'herbe. Elle vient, essouflée, s'allonge et pose sa tête sur mon torse.
C'est mignon hein ? Mais ma fierté vaut plus que ça ! Je l'attrape par la taille et l'envoi rouler dans l'herbe. Elle me saute dessus et une bagarre de roulé-boulé commence !
Ouf ! Mon orgueil reste intact, lui prouvant que j'ai gagné en étant sur elle. Alors que j'allais l'embrasser, elle me fit une clé de bras et me mit sur le dos en une fraction de seconde.
- Tu vas voir ! ricana elle en ouvrant les lèvres.
Horrifié, je vis un épais filet de bave commencer à couler de ses lèvres.
- Oh mon dieu ! Pitié ! Ne fais pas ça ! Tu serai la dernière des truies ! criai-je en me débattant.
Elle explosa de rire, laissant une goutte de salive atteindre ma joue.
- Je sors avec une gueunon, dis je en m'essuyant la joue d'un revers de la manche. Je me vengerai.
Puis j'éclate de rire, prenant compte du comique de la situation.
- Des menaces, Monsieur Thomas ? Sans blague ! Tu crois que ça va m'empêcher de dormir ?
Puis on se mit à rire à nouveau.