[ Apparemment le lundi s'annonçait riche en évènements... ]


En effet, j'appris au téléphone, par une de mes nouvelles amies (oui j'arrête les guillemets, vous savez qui ils sont ): Aurore, qu'Alisson avait cherché à me joindre et qu'elle pensait me voir à la soirée, chez sa correspondante d'ici, à Amiens, Marianne. Sauf que Samedi soir j'avais pas tellement le cœur à la fête. Et en plus j'étais pas invité

De toute façon je connais pas trop Marianne, si ce n'est qu'elle a des gros seins, un gros cul, une tête de sal*ppe mal baisée () et qu'elle attend désespérément que quelqu'un la dépucelle.
Et c'est d'ailleurs pour ça qu'elle aime allumer tout le monde avec ses décoltés plongeant sur ses bonnets D rempli de graisse. Elle abuse aussi du gloss et du rouge à lèvres : sa bouche double de volume, et elle ressemble au vagin d'une vache après pénétration.
Enfin bref, le genre de fille baisable dans le noir, sous l'eau, et après une bonne cuite !

Pourtant il fallait que je devienne ami avec si je voulais être invité aux soirées « entre-filles ».

Pour l'instant la seule chose qui m'intéressait vraiment c'était Alisson. J'ai pensé à elle durant tout le trajet de chez moi jusqu'au bahut. Je devais lui parler avant qu'elle ne retourne chez elle, en Australie, dans à peine 3 semaines.

Pour faire court : la mâtiné se passa bien. A la recréation je ne trainais plus qu'avec ma nouvelle bande d'amis, ayant abandonné mes anciens amis et ne cherchant plus à les revoir. Je leur demander s'ils n'avaient pas vu Alisson, apparemment elle était partie visité un mémorial d'anciens combattants australiens, et donc elle n'était pas là de la journée.

A midi, nous allâmes manger en ville.

Durant le repas, je discutai avec tout le monde, mais plus particulièrement avec Bastien et Simon : j'appris qu'ils faisaient de la guitare et qu'ils aimaient la musique de Jimi Hendrix. C'est la première fois que je rencontre quelqu'un qui en est fan autant que moi :
« Cool, ça nous fait un point commun dis-je
- Ouais, d'ailleurs samedi soir on répète pour le groupe, chez moi, dit Bastien, si tu veux tu peux venir ?
- Mais je sais pas jouer moi
- Pas grave, tu nous donneras ton avis.
- Ok, no problème. »

Le repas terminait, encore une longue après-midi de cours : la prof de math a capté que je fessais pas mes devoirs, et elle m'a collé 1h30 le vendredi soir. La p*te.
Puis de retour chez moi, je discutais encore au téléphone avec Aurore alors que je l'avais quasiment pas vu de la journée :
« Salut, alors comment ça va avec Alisson ?
- Bah bien écoute, même si ça fait 1 semaine que je ne lui ai pas parlé.
- Elle te manque ?
- Bah ouais un peu...
- Tu l'aimes ? »

Je ne répondis pas, je ne suis pas habitué à dévoiler mes sentiments pour quelqu'un comme ça, surtout au téléphone...

« Bah, euh, je sais pas, je l'aime bien quoi, pourquoi ?
- Ok, bon faut que je te laisse je dois aller manger. Bisous !
- Bisous... »

En réalité j'étais fou d'elle, mais incapable de l'avouer. Même seul face à elle je n'en n'étais pas capable. La drogue avait arrangé les choses entre elle et moi, mais qui dit que sans ça serait pareil ?

Tourmenté par ces pensées, je m'endormais une fois de plus en pensant à elle. J'étais aussi content d'aller à la soirée de Bastien samedi, ça me permettrai encore une fois, d'intégrer le groupe populaire de mon bahut


[ Tourmenté par ces pensées, je m'endormais une fois de plus en pensant à elle. J'étais aussi content d'aller à la soirée de Bastien samedi, ça me permettrai encore une fois, d'intégrer le groupe populaire de mon bahut ]


Le lendemain au bahut, j'apprenais à ma grande déception, qu'Alisson n'était toujours pas là : elle devait passait encore une journée ou deux à visiter ma région .

J'étais dégouté, me voilà encore tout seul comme un con pendant 2 jours et même 3 puisque le jeudi je partais avec tous les premières S dans le Familistère de Guise (une ancienne bâtisse qui date de la révolution industrielle, au programme des S )

Je relativise et je me dis que ça fera une bonne occasion pour sympathiser avec les amies (en ES) d'Alisson.

Ca tombe bien, Marianne et ses amies fréquentent les mêmes gens que moi.

Donc ce matin, je partis faire la bise à Marianne :
« Salut, ça va ?
- Salut, bien et toi ?
- Bah écoute ouais. Quoi de neuf ?
- Bah la routine : les amies, la fête  »

Je déteste ce genre de nana : les pétasses tout juste bonne à baiser ("> . Mais bon il faut avec si je veux être invité chez elle. Donc je lui parlai durant toute la récréation, en lançant un sujet sur Alisson, ce qui m'a permit d'obtenir le portable de Marianne et ainsi pouvoir appeler ma bien-aimée après les cours

Yeah au moins cette connasse de Marianne m'avait servit à quelque chose.
Je vous passe le reste de la journée : j'ai consolidé mes nouvelles amitié, et augmenté le nombre de mes amis sur facebook

Le mieux, se passa durant la soirée : A 20h00, j'ai appelé Marianne et je lui demandai si elle pouvait me passer Alisson (owned la p*ute ). :
« Euh, elle peut pas là, elle est au tél avec ses parents, ça va durer longtemps, apparemment sa sœur vient d'avoir un bébé donc elle peut pas te parler maintenant.

Merde, je suis maudit ou quoi, bordel, je pourrais jamais lui parler .

« Bon bah, à demain. Bisous. »


Le mercredi se passa de la manière que la veille : pote, facebook, nouveaux contacts, carnet d'adresse qui se remplit etc...


Le plus intéressant reste le Jeudi et la visite du Familistère...