Note de la fic :
Publié le 13/05/2011 à 18:02:52 par Sipro
Anthèlme et Ainarïel repartaient vers le château en galopant. Ils étaient pressés de prendre un bon repas, au chaud, et de pouvoir passer une bonne nuit, dans un vrai lit, sans payer quoi que ce soit. Le cheval aussi serait content de se reposer, car depuis quelques dizaines de minutes déjà, le garçon chevauchait à bride abattue, et le cheval avait du mal à supporter le poids de deux cavaliers. A cela s’ajoutait les affaires et l’armure d’Anthèlme, ainsi que l’arc et les flèches d’Ainariël. Le cheval était donc chargé comme un mulet, et courrait le plus vite possible. A vrai dire, il n’aurait pas couru aussi vite si Anthèlme ne lui mettait pas quelques coups sur la croupe avec son plat d’épée. Il le stimulait, lui faisant croire qu’il était poursuivi par une meute de loup. Ainsi ils arriveraient à temps au banquet, mais ils n’auraient pas forcément le temps de se changer. Seule Ainariël était présentable, Anthèlme voulait aller au diner avec son armure de fer, juste le buste, et son épée. Pour montrer qu’il était un « brave » guerrier.
-ça donne l’impression aux jeunes femmes que l’on est un brave soldat, prêt à tout pour elles, avait-il expliqué. Personnellement, je ne m’intéresse pas encore aux femmes, mais on ne sait jamais. Si ça se trouve, je verrais ma nymphe parmi les gens conviés à ce diner.
Ainariël s’était contenté d’hocher la tête, pour signifier qu’elle n’avait pas besoin d’une telle relation de suite, et pour signifier à Anthèlme que même si il savait tuer des trolls avec une seule main, il en faudrait plus pour l’impressionner. Ils continuèrent sur leur lancée pendant quelques minutes, avant d’apercevoir les remparts noirs de la ville. Une fois en ville, ils ralentirent le cheval et le firent marcher au pas ; ce même cheval faillit faire un arrêt cardiaque, car d’une course effrénée, il passait à un rythme de promenade au pas. Tout les gens qui étaient encore debout à cette heure de la soirée, il n’y en avait pas beaucoup car il était près d’une heure du matin, regardaient passer ces deux cavaliers avec leur cheval qui avait un certain gène respiratoire. Anthèlme flatta l’encolure de son cheval et le félicita, sous le regard complice d’Ainariël, puis ils se dirigèrent vers le château du seigneur local. Ils s’y rendirent assez vite et descendirent de leur cheval. Anthèlme chercha des yeux son jeune ami, et il le trouva. Il le siffla et ce dernier accouru, attrapa les rênes du cheval, et quelques pièces de bronze que lui donna Anthèlme, et alla prendre soin du cheval pendant qu’Anthèlme et Ainariël allaient manger.
Ils pénétrèrent dans le château, et rien n’avait changé pour le jeune homme, si ce n’est qu’il y avait bien plus de monde maintenant. Mais il y avait encore tous les riches très parés de richesses, et les moins riches, un peu moins drapés de richesse, mais bien plus qu’Anthèlme et Ainariël. Au loin, un homme en habit noirs dérobait les bijoux des invités sans que personne ne s’en soit aperçu. Anthèlme l’avait remarqué, mais préférait se taire, il ne voulait pas d’ennuie, et n’aurait pas du se trouver ici à cette heure, mais dans la mine à pourfendre les gobelins. Seulement, ces mêmes gobelins lui avaient facilité la tache en commettant un suicide/homicide collectif. Mais honnêtement, qui allait se plaindre ? Et puis, cela ferait une histoire à raconter pour Anthèlme. Se frayant un chemin dans la foule, Anthèlme et Ainariël firent connaissance de beaucoup de nobles, comme de bourgeois, et purent raconter comment ils avaient occis les gobelins. Enfin, Anthèlme le racontait, car Ainariël était trop timide, et ne voulait pas cacher la vérité. Mais quelle gloire auraient ils reçue ? Auraient ils seulement étés pris au sérieux ? En terrant la vérité, et en racontant qu’Ainariël et lui avaient tués les gobelins en les prenant par surprise et en ferraillant, ils avaient plus de chance de recevoir un nouveau travail, un peu plus dangereux que celui des gobelins. Mais personne ne leur en proposa, et quelques minutes après avoir traversé la moitié de la foule présente, on sonna le dîner. Tout le monde s’y dirigea, y compris Anthèlme et Ainariël, ainsi que le voleur de bijoux.
-ça donne l’impression aux jeunes femmes que l’on est un brave soldat, prêt à tout pour elles, avait-il expliqué. Personnellement, je ne m’intéresse pas encore aux femmes, mais on ne sait jamais. Si ça se trouve, je verrais ma nymphe parmi les gens conviés à ce diner.
Ainariël s’était contenté d’hocher la tête, pour signifier qu’elle n’avait pas besoin d’une telle relation de suite, et pour signifier à Anthèlme que même si il savait tuer des trolls avec une seule main, il en faudrait plus pour l’impressionner. Ils continuèrent sur leur lancée pendant quelques minutes, avant d’apercevoir les remparts noirs de la ville. Une fois en ville, ils ralentirent le cheval et le firent marcher au pas ; ce même cheval faillit faire un arrêt cardiaque, car d’une course effrénée, il passait à un rythme de promenade au pas. Tout les gens qui étaient encore debout à cette heure de la soirée, il n’y en avait pas beaucoup car il était près d’une heure du matin, regardaient passer ces deux cavaliers avec leur cheval qui avait un certain gène respiratoire. Anthèlme flatta l’encolure de son cheval et le félicita, sous le regard complice d’Ainariël, puis ils se dirigèrent vers le château du seigneur local. Ils s’y rendirent assez vite et descendirent de leur cheval. Anthèlme chercha des yeux son jeune ami, et il le trouva. Il le siffla et ce dernier accouru, attrapa les rênes du cheval, et quelques pièces de bronze que lui donna Anthèlme, et alla prendre soin du cheval pendant qu’Anthèlme et Ainariël allaient manger.
Ils pénétrèrent dans le château, et rien n’avait changé pour le jeune homme, si ce n’est qu’il y avait bien plus de monde maintenant. Mais il y avait encore tous les riches très parés de richesses, et les moins riches, un peu moins drapés de richesse, mais bien plus qu’Anthèlme et Ainariël. Au loin, un homme en habit noirs dérobait les bijoux des invités sans que personne ne s’en soit aperçu. Anthèlme l’avait remarqué, mais préférait se taire, il ne voulait pas d’ennuie, et n’aurait pas du se trouver ici à cette heure, mais dans la mine à pourfendre les gobelins. Seulement, ces mêmes gobelins lui avaient facilité la tache en commettant un suicide/homicide collectif. Mais honnêtement, qui allait se plaindre ? Et puis, cela ferait une histoire à raconter pour Anthèlme. Se frayant un chemin dans la foule, Anthèlme et Ainariël firent connaissance de beaucoup de nobles, comme de bourgeois, et purent raconter comment ils avaient occis les gobelins. Enfin, Anthèlme le racontait, car Ainariël était trop timide, et ne voulait pas cacher la vérité. Mais quelle gloire auraient ils reçue ? Auraient ils seulement étés pris au sérieux ? En terrant la vérité, et en racontant qu’Ainariël et lui avaient tués les gobelins en les prenant par surprise et en ferraillant, ils avaient plus de chance de recevoir un nouveau travail, un peu plus dangereux que celui des gobelins. Mais personne ne leur en proposa, et quelques minutes après avoir traversé la moitié de la foule présente, on sonna le dîner. Tout le monde s’y dirigea, y compris Anthèlme et Ainariël, ainsi que le voleur de bijoux.