Note de la fic :
Publié le 12/05/2011 à 19:12:23 par Sipro
Toutefois, avant de quitter la salle, une question vint à l’esprit d’Anthèlme. Le jeune héros n’avait pas mangé depuis deux jours, et il commençait à être épuisé de ses voyages. Car entre Miranoi et Garlach’ il y avait à peu près 5 jours à dos de cheval, mais à pied cela aurait pris bien plus de temps, le quadruple surement. Et voyager seul n’était jamais plaisant, malheureusement, c’est ce qu’avait fait le jeune Anthèlme ; Il avait voyagé seul pendant une semaine, à la recherche d’un travail.
Les travaux à sa portée étaient rares, il n’y avait plus maintenant que de l’extermination de colonies de troll, ou alors il fallait occire des dragons. Paladin n’était pas un métier à la portée de tout le monde, mais depuis peu, beaucoup de villageois avaient décidés de faire les petits travaux eux mêmes. Le problème n’était pas dans les exterminations intensives de monstres, que les paladins avaient appelés EIM, et la perte de travail des paladins, le problème résidait dans le fait que les villageois s’y prenaient mal pour les mines de charbons abritant les gobelins. En effet, envoyer du feu dans les mines de charbons n’était pas vraiment la meilleure des solutions : les villageois exterminaient les gobelins de la zone pour toujours, mais ils provoquaient des importants incendies dans leur ville, et il en résultait des pertes humaines conséquentes.
Toujours était-il que lorsqu’Anthlème se retourna, le seigneur sembla deviner ses intentions, et l’invita à loger au château, lui et ses compagnons de voyage, s’il en avait. Il lui promit aussi de la nourriture et de la boisson, et un domestique à son service afin qu’il ne lui manque de rien, si toute fois il réussissait à accomplir cette mission, et si il en revenait vivant. Il lui indiqua que le banquet était pour une heure du matin. Anthèlme avait donc plus ou moins 3 heures devant lui pour réduire à néant ce groupe de gobelins, et revenir au château.
Anthèlme retrouva l’écuyer à l'écurie, et ensemble ils se dirigèrent devant les portes de la cité. Une fois devant celles-ci, il attrapa les rênes de son cheval, et on lui ouvrit les portes. Il se mit en scelle et ordonna à son cheval de se mettre en route grâce à une talonnade, mais au lieu d’aller au trot, le cheval se mit au galop. Ce qui laissa aux gardes et au garçon d’écurie une bonne opinion de ce jeune paladin pressé d’en découdre avec les gobelins. Du point de vu d’Anthèlme, ce n’était qu’une misérable erreur, difficile à réparer car le cheval ne voulait pas se stopper, ou ralentir. C’est donc au galop qu’Anthèlme se dirigea vers les mines, du moins vers là où il les pensait être, car il n’avait aucune idée de l’endroit où elles auraient pu se trouver. Ajouté à cela, il faisait déjà nuit, et se repéré était devenu difficile quand on n’était pas nyctalope. Anthèlme aurait donné cher pour avoir cette faculté, comme les elfes et les nains, ou du moins avoir un compagnon nyctalope afin de se déplacer au mieux. A la place de cela, il avait un cheval têtu qui ne voulait pas ralentir, malgré les efforts d’Anthèlme.
Alors qu’il galopait, Anthèlme tira sur les rênes du cheval pour le faire stopper. Sur le côté de la route, il y avait une personne qui aurait sûrement pu l’aider à se repérer, il décida donc de descendre de son cheval et de s’approcher de cet individu.
Il s’avéra en fin de compte que cet individu était plus grand qu’Anthèlme, d’environ un ou deux centimètres, et que c’était une femme. Cette dernière avait les oreilles pointues, et le visage fin. Elle avait les yeux verts, assez grands, et ses pupilles étaient dilatées ; elle avait aussi les cheveux longs et relâchés, qui lui retombaient dans le bas du dos, la seule particularité de ces cheveux venait de leur couleur verte. Cet elfe avait une silhouette fine, comme tous les elfes, bien qu’elle fût plus jolie que la moyenne, et aussi bien plus dénudée : Une espèce de petite jupette, et une sorte de chemise taillée de façon à ce qu’elle épouse les formes du haut du corps de cette femme.
Anthèlme ne s’en étonna pas car les elfes avaient l’habitude de porter ce genre de vêtements, pour leur permettre une plus grande agilité, et une plus grande amplitude dans leurs mouvements. Bien que timide, il était perdu et ne se posa pas une seconde la question de savoir si oui, ou non, il allait aborder la jeune femme. Il était descendu de son cheval, venait de resalir ses bottes, car le sol était boueux, de plus il pleuvait à verse. D’un autre côté, cela ennuierait surement la femme de discuter avec lui par ce temps, mais il se jurait d’être bref. Prenant son courage à deux mains, il décida d’aborder l’étrangère.
Les travaux à sa portée étaient rares, il n’y avait plus maintenant que de l’extermination de colonies de troll, ou alors il fallait occire des dragons. Paladin n’était pas un métier à la portée de tout le monde, mais depuis peu, beaucoup de villageois avaient décidés de faire les petits travaux eux mêmes. Le problème n’était pas dans les exterminations intensives de monstres, que les paladins avaient appelés EIM, et la perte de travail des paladins, le problème résidait dans le fait que les villageois s’y prenaient mal pour les mines de charbons abritant les gobelins. En effet, envoyer du feu dans les mines de charbons n’était pas vraiment la meilleure des solutions : les villageois exterminaient les gobelins de la zone pour toujours, mais ils provoquaient des importants incendies dans leur ville, et il en résultait des pertes humaines conséquentes.
Toujours était-il que lorsqu’Anthlème se retourna, le seigneur sembla deviner ses intentions, et l’invita à loger au château, lui et ses compagnons de voyage, s’il en avait. Il lui promit aussi de la nourriture et de la boisson, et un domestique à son service afin qu’il ne lui manque de rien, si toute fois il réussissait à accomplir cette mission, et si il en revenait vivant. Il lui indiqua que le banquet était pour une heure du matin. Anthèlme avait donc plus ou moins 3 heures devant lui pour réduire à néant ce groupe de gobelins, et revenir au château.
Anthèlme retrouva l’écuyer à l'écurie, et ensemble ils se dirigèrent devant les portes de la cité. Une fois devant celles-ci, il attrapa les rênes de son cheval, et on lui ouvrit les portes. Il se mit en scelle et ordonna à son cheval de se mettre en route grâce à une talonnade, mais au lieu d’aller au trot, le cheval se mit au galop. Ce qui laissa aux gardes et au garçon d’écurie une bonne opinion de ce jeune paladin pressé d’en découdre avec les gobelins. Du point de vu d’Anthèlme, ce n’était qu’une misérable erreur, difficile à réparer car le cheval ne voulait pas se stopper, ou ralentir. C’est donc au galop qu’Anthèlme se dirigea vers les mines, du moins vers là où il les pensait être, car il n’avait aucune idée de l’endroit où elles auraient pu se trouver. Ajouté à cela, il faisait déjà nuit, et se repéré était devenu difficile quand on n’était pas nyctalope. Anthèlme aurait donné cher pour avoir cette faculté, comme les elfes et les nains, ou du moins avoir un compagnon nyctalope afin de se déplacer au mieux. A la place de cela, il avait un cheval têtu qui ne voulait pas ralentir, malgré les efforts d’Anthèlme.
Alors qu’il galopait, Anthèlme tira sur les rênes du cheval pour le faire stopper. Sur le côté de la route, il y avait une personne qui aurait sûrement pu l’aider à se repérer, il décida donc de descendre de son cheval et de s’approcher de cet individu.
Il s’avéra en fin de compte que cet individu était plus grand qu’Anthèlme, d’environ un ou deux centimètres, et que c’était une femme. Cette dernière avait les oreilles pointues, et le visage fin. Elle avait les yeux verts, assez grands, et ses pupilles étaient dilatées ; elle avait aussi les cheveux longs et relâchés, qui lui retombaient dans le bas du dos, la seule particularité de ces cheveux venait de leur couleur verte. Cet elfe avait une silhouette fine, comme tous les elfes, bien qu’elle fût plus jolie que la moyenne, et aussi bien plus dénudée : Une espèce de petite jupette, et une sorte de chemise taillée de façon à ce qu’elle épouse les formes du haut du corps de cette femme.
Anthèlme ne s’en étonna pas car les elfes avaient l’habitude de porter ce genre de vêtements, pour leur permettre une plus grande agilité, et une plus grande amplitude dans leurs mouvements. Bien que timide, il était perdu et ne se posa pas une seconde la question de savoir si oui, ou non, il allait aborder la jeune femme. Il était descendu de son cheval, venait de resalir ses bottes, car le sol était boueux, de plus il pleuvait à verse. D’un autre côté, cela ennuierait surement la femme de discuter avec lui par ce temps, mais il se jurait d’être bref. Prenant son courage à deux mains, il décida d’aborder l’étrangère.
Commentaires
- Sipro
13/05/2011 à 17:35:34
Au chapitre 30 j'ai décris un combat de furieux, le truc fait une page et demi
Le reste arrive rapidement - Sheyne
13/05/2011 à 00:03:05
C'est bien sympa. J'aimerais bien voir comment tu décris les combats.
Toutefois il faut Vraiment faire un truc pour les répétitions. Utilise "Le jeune homme", "le paladin", "Le guerrier" et autres plutôt que de citer toujours son nom. Ça allègera énormément le texte tu verras
En tous cas je réclame une suite à nouveau !