Note de la fic :
Publié le 25/01/2010 à 18:35:24 par S-Turindo
* Connexion en cour *
Comme je le pensais, il est la, parfait.
Moi: Antho t'es la ?
Lui: Oui quesqui ya ?
Moi: J'ai un soucis la.
Lui: Euh ouai quoi ?
Moi: T'es au courant je suppose pour la fête de demain soir, pourquoi j'ai pas été prévenu ?
Lui: On à pensé que tu voudrais pas venir, comme d'habitude, pourquoi tu comptes venir ?
Moi: Ouai.
Lui: Nan sérieux ?
Moi: Ouai sérieux ouai
Lui: Nan mais tu viens vraiment ?
Moi: Bon putain oui j'viens sinon j'me f'rai pas chier à le répété cinquante fois t'es lourd la. J'y vais parce que Coralie y va, et quelle m'a proposé cette après midi, seulement je sais aps quoi faire du tout, chaud.
Lui: Ah donc t'a fait comme je t'avais dit ! Tu vois qu'il faut m'écouté !
Moi: Ouai bon bref, je fais comment moi maintenant, j'suis jamais aller à une fête. Et si jamais elle rencontre quelqu'un, et si ça ce passe mal ?
Lui: Ecoute, lâche l'affaire avec les si, ça ce passera bien, on se vois demain après midi si tu veux, avant d'y aller, comme ça on pourra en parler un peu, mais t'prend pas trop la tête avec ça mec d'accord ?
Moi: J'frai c'que j'peux, bon j'bouge.
* Déconnexion. *
Hmm, super. Bon, faisons un petit bilan de la situation, je ne suis jamais aller à une fête de ma vie, ma première fête à lieux demain soir, je ne sais ni comment m'habiller, ni quoi amener, ni comment engager des conversations, ni comment rigoler toute la soirée avec les gens, en gros je sais rien. J'ai jamais eu envie d'apprendre ce genre de conneries, puisque c'est pas mon genre de parler avec tout le monde, de rigoler comme un autiste avec les autres, etc etc.
Sauf que la, j'ai pas vraiment le choix. Va falloir que je me force un peu.
Quand j'y réfléchi, c'est fou ce qu'en quelque jour Coralie à pu me faire changer, première au niveau du caractère, je suis devenue nettement moins agressif, en tout cas avec elle , et deuxièmement je m'ouvre un peu plus aux chose, bien que ça me fasse chier, je le fais pour elle.
M'allumant une cigarette, et écoutant ma musique comme chaque soir, je viens à pensé à ce que représente réellement tout ce bordel? Ou je vais la ? Qu'est ce qui m'arrive, et pourquoi tout cela ? En définitive, pourquoi je fais tout ça, juste pour une fille ?
Un frissons m'envahis. Peut être que je tombe peu à peu amoureux. Non impossible, je ne veux pas, non surtout pas, mais je ne contrôle pas, et c'est peut être même déjà bien trop tard. Je ressens alors une terrible peur.
Il y à des jours, ou tout ne va pas pour le mieux, une vague de désespoir s'empare de mon être et l'envahi jusqu'au plus profond de mon âme. Il y à des jours ou les choses ne sont pas telles que je le souhaiterai, pourtant j'affronte ce quotidien avec courage et détermination, avec l'espoir du lendemain plus ensoleillé que la veille.
Les mots refusent d'avancer davantage, restent bloquer dans leur profonde mélancolie d'antan, et ma conscience elle, rêvasse trop.
Que m'est-il donc arrivé ? Pourquoi maintenant ? Qu'ai-je fait à la vie pour qu'elle me retire cet immense plaisir que représente ma solitude. Ce plaisir qui maintenant me nuit, et me conduit à ma perte. Pourquoi le sentiment amoureux que je ne connaissait pas jusqu'à présent change totalement ma vision des choses, allant même jusqu'à changé ma propre personnalité ?
L'amour, je n'ai jamais aimé cela, qu'importe que la relation sois belle, au fur et à mesure le temps l'emporte et la détruit, quoi qu'on puisse en dire. Au bout d'un certain temps, les sentiments ne sont plus aussi fort qu'au début, on se lasse, la relation perd de sa passion, pour finalement ne devenir que poussière.
Mais, il y à aussi l'avant. La période durant laquelle l'être nous obsède, mais nous avons peur, nous ne faisons qu'observer, sans dire un seul mot, de peur de perdre cette personne qui est à l'origine de notre sourire quotidien. Et puis, il y notre peur la plus profonde, celle qui nous ronge à chaque instants, cette peur qui nous plonge dans un brouillard obscur, qui nous vide de nos émotions, de notre unique sourire, de notre joie intérieur, la peur de la non-réciprocité.
En ce moment même, c'est ça que je ressens, très précisément. Oui, je m'intéresse à cette fille, oui j'en deviens accro petit à petit, et oui encore quand je ne suis pas prêt d'elle, il manque quelque chose. Je dois me rendre à l'évidence, Coralie deviens non pas une fille, mais la fille, celle que je veux.
Il y à en moi ce sentiment d'appartenance, ce sentiment d'amour et de compassion. Ces pensées sublimes que l'on éprouve, cette joie rafraichissante qui émane de notre esprit. Un monde de rêve, un monde idyllique et pur.
Un monde utopique.
Dans ce monde, Coralie est à mes cotés, dans ce monde il n'y à personne d'autre que nous, aucun soucis, pas de questions inutiles, non, juste elle et moi.
Ce monde, je rêve chaque soirs lorsque mes yeux se ferme, je rêve de m'y transporté, pour que le reste cesse enfin d'existé.
A présent je réalise pour de bon, je ne veux plus être seul, ce que je connais lorsque je suis avec elle, je ne le ressens jamais seul, je ne le ressens jamais lorsque je suis froid, lorsque je m'isole, non, jamais.
Pourtant je tiens à mon indépendance, et j'aime être " tranquille " la plus part du temps, cela ne changera pas, mais ce qui change, c'est mes sentiments.
Oui, cette fois je le sais, cette fois c'est indéniable, je l'aime.
Comme je le pensais, il est la, parfait.
Moi: Antho t'es la ?
Lui: Oui quesqui ya ?
Moi: J'ai un soucis la.
Lui: Euh ouai quoi ?
Moi: T'es au courant je suppose pour la fête de demain soir, pourquoi j'ai pas été prévenu ?
Lui: On à pensé que tu voudrais pas venir, comme d'habitude, pourquoi tu comptes venir ?
Moi: Ouai.
Lui: Nan sérieux ?
Moi: Ouai sérieux ouai
Lui: Nan mais tu viens vraiment ?
Moi: Bon putain oui j'viens sinon j'me f'rai pas chier à le répété cinquante fois t'es lourd la. J'y vais parce que Coralie y va, et quelle m'a proposé cette après midi, seulement je sais aps quoi faire du tout, chaud.
Lui: Ah donc t'a fait comme je t'avais dit ! Tu vois qu'il faut m'écouté !
Moi: Ouai bon bref, je fais comment moi maintenant, j'suis jamais aller à une fête. Et si jamais elle rencontre quelqu'un, et si ça ce passe mal ?
Lui: Ecoute, lâche l'affaire avec les si, ça ce passera bien, on se vois demain après midi si tu veux, avant d'y aller, comme ça on pourra en parler un peu, mais t'prend pas trop la tête avec ça mec d'accord ?
Moi: J'frai c'que j'peux, bon j'bouge.
* Déconnexion. *
Hmm, super. Bon, faisons un petit bilan de la situation, je ne suis jamais aller à une fête de ma vie, ma première fête à lieux demain soir, je ne sais ni comment m'habiller, ni quoi amener, ni comment engager des conversations, ni comment rigoler toute la soirée avec les gens, en gros je sais rien. J'ai jamais eu envie d'apprendre ce genre de conneries, puisque c'est pas mon genre de parler avec tout le monde, de rigoler comme un autiste avec les autres, etc etc.
Sauf que la, j'ai pas vraiment le choix. Va falloir que je me force un peu.
Quand j'y réfléchi, c'est fou ce qu'en quelque jour Coralie à pu me faire changer, première au niveau du caractère, je suis devenue nettement moins agressif, en tout cas avec elle , et deuxièmement je m'ouvre un peu plus aux chose, bien que ça me fasse chier, je le fais pour elle.
M'allumant une cigarette, et écoutant ma musique comme chaque soir, je viens à pensé à ce que représente réellement tout ce bordel? Ou je vais la ? Qu'est ce qui m'arrive, et pourquoi tout cela ? En définitive, pourquoi je fais tout ça, juste pour une fille ?
Un frissons m'envahis. Peut être que je tombe peu à peu amoureux. Non impossible, je ne veux pas, non surtout pas, mais je ne contrôle pas, et c'est peut être même déjà bien trop tard. Je ressens alors une terrible peur.
Il y à des jours, ou tout ne va pas pour le mieux, une vague de désespoir s'empare de mon être et l'envahi jusqu'au plus profond de mon âme. Il y à des jours ou les choses ne sont pas telles que je le souhaiterai, pourtant j'affronte ce quotidien avec courage et détermination, avec l'espoir du lendemain plus ensoleillé que la veille.
Les mots refusent d'avancer davantage, restent bloquer dans leur profonde mélancolie d'antan, et ma conscience elle, rêvasse trop.
Que m'est-il donc arrivé ? Pourquoi maintenant ? Qu'ai-je fait à la vie pour qu'elle me retire cet immense plaisir que représente ma solitude. Ce plaisir qui maintenant me nuit, et me conduit à ma perte. Pourquoi le sentiment amoureux que je ne connaissait pas jusqu'à présent change totalement ma vision des choses, allant même jusqu'à changé ma propre personnalité ?
L'amour, je n'ai jamais aimé cela, qu'importe que la relation sois belle, au fur et à mesure le temps l'emporte et la détruit, quoi qu'on puisse en dire. Au bout d'un certain temps, les sentiments ne sont plus aussi fort qu'au début, on se lasse, la relation perd de sa passion, pour finalement ne devenir que poussière.
Mais, il y à aussi l'avant. La période durant laquelle l'être nous obsède, mais nous avons peur, nous ne faisons qu'observer, sans dire un seul mot, de peur de perdre cette personne qui est à l'origine de notre sourire quotidien. Et puis, il y notre peur la plus profonde, celle qui nous ronge à chaque instants, cette peur qui nous plonge dans un brouillard obscur, qui nous vide de nos émotions, de notre unique sourire, de notre joie intérieur, la peur de la non-réciprocité.
En ce moment même, c'est ça que je ressens, très précisément. Oui, je m'intéresse à cette fille, oui j'en deviens accro petit à petit, et oui encore quand je ne suis pas prêt d'elle, il manque quelque chose. Je dois me rendre à l'évidence, Coralie deviens non pas une fille, mais la fille, celle que je veux.
Il y à en moi ce sentiment d'appartenance, ce sentiment d'amour et de compassion. Ces pensées sublimes que l'on éprouve, cette joie rafraichissante qui émane de notre esprit. Un monde de rêve, un monde idyllique et pur.
Un monde utopique.
Dans ce monde, Coralie est à mes cotés, dans ce monde il n'y à personne d'autre que nous, aucun soucis, pas de questions inutiles, non, juste elle et moi.
Ce monde, je rêve chaque soirs lorsque mes yeux se ferme, je rêve de m'y transporté, pour que le reste cesse enfin d'existé.
A présent je réalise pour de bon, je ne veux plus être seul, ce que je connais lorsque je suis avec elle, je ne le ressens jamais seul, je ne le ressens jamais lorsque je suis froid, lorsque je m'isole, non, jamais.
Pourtant je tiens à mon indépendance, et j'aime être " tranquille " la plus part du temps, cela ne changera pas, mais ce qui change, c'est mes sentiments.
Oui, cette fois je le sais, cette fois c'est indéniable, je l'aime.
Commentaires
- TheShovel
25/01/2010 à 20:46:50
Sweet même si j'ai trouvé ce passage un poil longuet
- Vanoob
25/01/2010 à 20:23:36
Need encore une suite.
- Pseudo supprimé
25/01/2010 à 19:31:36
Soumis à ses sentiments... quel nAAbz
- Sheyne
25/01/2010 à 19:01:42
Suite, j'aime bien la façon dont tu as fait évoluer la pensée de ton personnage