Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

L'inconnue de la vie


Par : Fhurai
Genre : Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 17


Publié le 24/02/2010 à 10:10:39 par Fhurai

Nicolas : _ C'était pas ton père, n'est-ce pas ?
Désirée : _ Non!...
Nicolas : _ M**de, je suis un abruti. C'est normal, qu'ils nous aient pas lâché comme ça !

A peine fit il quelques pas vers Désirée, que des coups se firent entendre sur la porte.

??? : _ Rendez vous ! Nous sommes plus nombreux et armés contrairement à vous !

Nicolas sourit en sortant son portable.

Nicolas : _ C'est ce qu'on va voir...

Il tapota rapidement sur son portable, reçut un message puis le rangea.

Nicolas : _ Désirée, désolé de te commander mais c'est une occasion d'urgence, cache toi dans la salle de bain et n'ouvre que si c'est moi !

Pendant qu'elle marcha vers la salle de bain, Nicolas fonça dans sa chambre, mit sa main derrière son bureau et en sortit son pistolet-mitrailleur à billes. Il le savait, il devrait avoir beaucoup de chance pour survivre à de vraies balles avec une arme à billes. Mais bon, il n'avait que ça et pas le choix d'agir autrement. Il fila à une fenêtre du premier étage et observa. Ils étaient six, armés d'armes de poing diverses. Il fallait qu'il se déplace sinon, il ne réussirais pas. Un des six homme le vit et le désigna aux autres. Ensemble, ils tirèrent mais aucun tir ne toucha Nicolas car il s'était couché sur le sol. Il profita même que les balles aient explosé la fenêtre pour tirer sur un des hommes. Dans sa tête, il se disait « Headshot ». L'homme touché était assommé pour un bon moment. Les autres jurèrent avant de répliquer. Nicolas changea de fenêtre et attendit. Un autre homme le vit et tira. Nicolas évita et tira dans la tête d'un qui s'évanouit sous le choc. De chaque coté, les coups partaient. En voulant viser un des hommes, Nicolas fut touché au bras droit.

Nicolas : _ Aie... Enf**ré...

Vu qu'il était droitier, il ne pouvait plus tirer. C'est alors que retentirent des tirs mais ne venant pas d'en face. Deux des hommes tombèrent. Nicolas savait d'où ça venait. Les renforts venaient d'arriver. D'autres tirs retentirent et les deux derniers hommes furent vaincus. Nicolas appela la police et demanda à Désirée de sortir. Celle-ci fut consternée de voir qu'il avait été blessé. Il dit que ce n'était rien malgré qu'il souffrait affreusement. Un quart d'heure plus tard, la police et les pompiers étaient arrivés. Le groupe d'hommes fut arrêté et Désirée put souffler. Les parents de Désirée et de Nicolas étaient arrivés. Désirée se blottit dans les bras de ses parents à leur arrivée. Ceux de Nicolas étaient essoufflés car ils avaient couru en apprenant que Nicolas avait été blessé. Après les explications, ils restèrent avec lui. Quand une policière prit la déposition de Nicolas, deux garçons approchèrent de Nicolas.

Nicolas : _ J'ai eu de la chance à mort !
Mickaël : _ C'est vrai, tu as eu beaucoup de chance que je sois chez Brice quand tu as envoyé ton message. Tu as eu aussi du bol que la balle n'ait pas trop endommagé ton bras.
Nicolas : _ Un mois dans le plâtre car ça la balle a touché l'os. C'est pas cher payé pour avoir sauvé une jolie fille.
Brice : _ Au moins, ça prouve que les armes à billes servent à quelque chose d'autres que de trophées.
Mickaël : _ On a surtout bien fait d'améliorer les viseurs...


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