Note de la fic : Non notée
Overwatch : Le monde aura toujours besoin de Héros.
Par : MarianCross
Genre : Action
Statut : En cours, sweet quotidienne
Chapitre 13 : Sacrifice
Publié le 18/07/2016 à 19:05:06 par MarianCross
CHOIX A LA FIN
( Soundtrack : )
- Excellent travail dans le Colorado, Commandant, félicita Lacroix alors Angela poussait les lourdes portes de son bureau. Il semblait l'attendre, attablé, une cigarette à la main. Il la tapota sur son cendrier mais la garda entre son index et son majeur plutôt que de la remettre en bouche. Vous avez organisé la capture de McCree d'une main de maître. Je suis impressionné, continua t-il, tout sourire, alors qu'elle s'approchait de lui. Elle s'arrêta net, sans un mot, écoutant ce qu'il avait à dire. Il va lui falloir un petit moment pour se remettre. Je dois avouer que je ne pensais pas que vous réussiriez à le ramener, admit t-il finalement, Angela ne se sentait pas blessée, elle-même n'aurait pas imaginée réussir, mais il fallait néanmoins admettre que ce fût facile.
- L'efficacité du pistolet à impulsion électromagnétique est remarquable. Je devrais peut-être l'utiliser sur vous, déclara soudain Angela en jetant sur le bureau les dossiers qu'elle avait reçue la veille. Le Directeur Général se saisit des documents et les parcourut rapidement.
- Je vois, soupira t'il en les refermant aussitôt.
- Je croyais que l'on devait se faire confiance.
- Ecoutez, rétorqua t-il en se levant, il se tourna vers la baie vitrée. C'était le blizzard dehors. Si je devais tout vous révéler, vous ne pourriez pas le supporter et douteriez de mes intentions, avoua t-il finalement.
- C'est malheureusement déjà le cas, Directeur, répondît Angela d'un ton neutre.
- Et C'est bien là le problème, vous vous plantez littéralement, Commandant ! Sur toute la ligne ! Explosa Lacroix pour aussitôt reprendre son calme. Il tira sur sa cigarette avant de relâcher un torrent de fumée.
- Vous ne pourrez pas jouer éternellement au bord des limites. Je doute que la Hiérarchie n'apprécie le fait que vous réduisiez les gens à l'état d'esclaves. Car c'est ce qu'ils sont, répondît Angela en parlant avec calme, elle voulait maîtriser cette discussion, prendre l'ascendant sur lui pour qu'il arrête de la baratiner.
- Vous êtes ridicule ... murmura t'il. Quant à la Hiérarchie ! s'exclama Lacroix en se retournant. Ce ramassis de corrompus incapable de prendre la moindre décision quant à cette guerre sans nous pousser à l'extinction ? Il tira une nouvelle fois sur sa cigarette, puis l'écrasa. Bon sang, Angela. J'en viens à regretter le Commandant Amari. Elle au moins, comprenait que la fin justifiait les moyens. Cette fois-ci, Angela fût blessée. Encore une fois, Ana était la meilleure. Vous êtes aveuglée par vos idéaux, Commandant. Mais ce n'est pas de votre faute ! s'exclama t-il. Vous êtes un médecin, pas un soldat. Vous ne voulez pas comprendre que l'on puisse franchir les limites ? Très bien. Je vous demanderai alors d'accomplir une dernière chose. Ramenez Amari, immédiatement. Alors vous n'aurez plus à subir toutes ces "horreurs".
- Ana ne supporterai pas non plus que l'on contraigne des hommes à agir contre leur volonté. N'oubliez pas que Morrison et elle ... Lacroix la coupa.
- Ecoutez, vous ne semblez pas bien connaître le Commandant Amari, et ce, malgré toutes ces années passées ensemble. La survie de l'Humanité, prime sur le reste, et croyez-moi. Ana l'a bien saisi, continua t-il en se rasseyant, il la chassa d'un geste de la main.
Sur le point d'exploser, Angela se retourna sans discuter, les poings serrés.
- Une dernière chose, Commandant, s'exclama Lacroix. Inutile de dire à Morrison qu'il a une fille. Il ne devrait même pas se souvenir qu'Ana et lui étaient mariés.
- Il se souvient d'Ana affirma Angela en se tournant vers lui.
- Quelqu'un a visiblement merdé, que ça ne se reproduise pas. Il n'y a pas de place pour les sentiments dans cette guerre.
- Vous voulez pourtant que je la ramène à la vie. Comment ça va se passer lorsqu'ils se verront ? demanda Ziegler, froide.
- Je vous l'ai dit, rétorqua Lacroix avec un sourire. Elle saura faire la part des choses.
Son interlocutrice hocha négativement la tête, puis tourna les talons avant de s'en aller d'un pas déterminé.
__________________________
(Soundtrack : )
Le son mélodieux de l'ouverture de la porte du laboratoire retentit tandis qu'Angela s'engouffrait dans la pièce baignée dans un silence absolu.
- Enf*iré ! hurla t'elle en balayant tout ce qui se trouvait sur son bureau, enragée. Elle tapa ensuite du poing avant de se laisser tomber sur son siège. C'était la première fois qu'elle perdait pied ainsi.
Au milieu de la pièce, sur la table d'opération, Ana était toujours piégée entre la vie et la mort. Angela se releva, puis fît le tour du corps, le Commandant jeta un coup d’œil à l'un des nombreux moniteurs. L'un affichait le rythme cardiaque de la patiente, était incroyablement faible, à peine perceptible. Mais son cœur battait. Le visage d'Angela se décomposa, sa surprise n'avait d'égal.
Elle s'attabla immédiatement à son bureau puis pianota sur le clavier de ce dernier. Tous les écrans s'illuminèrent simultanément tandis que les données de recherches du Docteur Ziegler se compilaient.
- Athéna, appela Angela, les yeux rivés sur le flux de données qui défilait devant ses yeux.
- Oui, Commandant, répondît l'Intelligence Artificielle de sa voix délicieuse.
- Je dois la ramener, déclara t'elle en continuant d'écrire.
- Vous avez déjà fait des miracles avec le Projet REAPER, Commandant. Mais je doute que cette fois-ci vous puissiez faire quoique ce soit, rétorqua Athéna tandis qu'Angela se retournait vers le corps d'Ana. Ses blessures sont trop graves.
- Et pourtant, son cœur continue de battre, répondît le Commandant d'Overwatch en détournant les yeux vers le moniteur. La vie l'habite encore, et même un simple souffle comme celui-ci, est une victoire.
Angela se leva et parcouru les étagères située à mi-hauteur. Elle en ouvrit une et saisit le Pacemaker qu'elle avait fabriquée.
- Cette option n'est pas recommandée, Commandant, lui conseilla l'Intelligence Artificielle, étonnant Angela au passage. Il était rare qu'elle émette une objection.
- Il le faut, Athéna, répondît t'elle, déterminée à ramener Ana à la vie.
- Malgré ce que cela vous coûtera ? rétorqua l'intelligence Artificielle. le doute s'installa subitement chez la suisse qui avait les yeux rivés sur l'appareil. L'appareil est alimenté par l'énergie biotique, cela vous tuera, Commandant.
- Bon sang, je le sais Athéna, j'ai conçu cet appareil.
- Je voulais m'assurer que vous aviez tous les éléments pour prendre votre décision, Commandant, répondît Athéna. Angela avait posé ses mains sur le ventre nu d'Ana.
- Le monde a besoin de Héros, Athéna. Elle doit revenir. Il le faut, expliqua t'elle tandis que sa mine s'assombrissait. J'ai sauvé des milliers de vie, continua Angela tandis qu'elle sentait les larmes monter. Il est désormais temps pour moi d'accomplir un dernier miracle. L'ultime.
Elle passa la nuit à implanter le Pacemaker dans le corps d'Ana, encore une nuit passées à tenter de lui sauver la vie. Le travail fût long, mais assisté d'Athéna, il fût presque récompensé.
L'air triste, Angela regardait les paupières fermées de son amie, elle avait consacrée sa vie à sauver la vie des autres, c'était pour sauver des vies qu'elle avait choisie la médecine. Aujourd'hui, son abnégation allait être mise à l'épreuve. Sa vie avait t-elle plus de valeur que celle d'Ana ? C'était là une question qu'Angela ne s'était jamais posée, car jamais, non, jamais sa propre vie n'avait été le prix à payer pour en sauver une autre.
Néanmoins, elle avait construit cet appareil, dans un but bien précis. Il ne devait servir qu'en cas de dernier recours, pour une personne jugée exceptionnelle. Ana, était exceptionnelle. C'était une femme de caractère, avec une autorité suffisante pour faire ployer Reyes lui-même sans que ce dernier ne discute. Elle avait le charisme et l'assurance qu'Angela n'avait jamais eu. Elle était meilleure qu'elle, en tout point.
Sa connaissance de la médecine était le seul domaine dans lequel elle excellait. Elle n'était ni doué pour le combat, ni pour le commandement. Elle ne pourrait pas mener Overwatch à la victoire, et encore moins l'Humanité. L'idée d'être à sa tête l'effrayait même, elle avait peur. Peur de l'échec.
Lacroix avait raison, Ana saurait prendre les décisions qu'elle-même n'a jamais osée prendre.
- Oh mon Dieu, sanglota Angela tandis que ses mains s'illuminaient d'une douce lueur dorée, consciente de l'acte qu'elle s'apprêter à accomplir.
Un flux d'énergie biotique se transmettait en elle et Ana. Angela se sentait faiblir. Elle sentait la vie la quitter.
- Commandant, sembla s'inquiéter Athéna tandis qu'Angela hurlait. Le lien était difficile à tenir, et lui faisait effroyalement mal, ses mains brûlaient du fait de l'abondance d'énergie biotique qu'elle déversait. Il était encore temps pour elle d'abandonner, sa volonté était rudement mise à l'épreuve et la souffrance trop intense.
(ENDING & VOTE THEME : )
LIEN DU VOTE: http://www.strawpoll.me/10775468
Si égalité dans les votes, ça ne va pas vous plaire.
ATTENTION : Désormais, vos décisions auront un poids considérable sur le reste de l'histoire, notamment quant à la survie des personnages. Les choix seront donc pleinement assumés.
( Soundtrack : )
- Excellent travail dans le Colorado, Commandant, félicita Lacroix alors Angela poussait les lourdes portes de son bureau. Il semblait l'attendre, attablé, une cigarette à la main. Il la tapota sur son cendrier mais la garda entre son index et son majeur plutôt que de la remettre en bouche. Vous avez organisé la capture de McCree d'une main de maître. Je suis impressionné, continua t-il, tout sourire, alors qu'elle s'approchait de lui. Elle s'arrêta net, sans un mot, écoutant ce qu'il avait à dire. Il va lui falloir un petit moment pour se remettre. Je dois avouer que je ne pensais pas que vous réussiriez à le ramener, admit t-il finalement, Angela ne se sentait pas blessée, elle-même n'aurait pas imaginée réussir, mais il fallait néanmoins admettre que ce fût facile.
- L'efficacité du pistolet à impulsion électromagnétique est remarquable. Je devrais peut-être l'utiliser sur vous, déclara soudain Angela en jetant sur le bureau les dossiers qu'elle avait reçue la veille. Le Directeur Général se saisit des documents et les parcourut rapidement.
- Je vois, soupira t'il en les refermant aussitôt.
- Je croyais que l'on devait se faire confiance.
- Ecoutez, rétorqua t-il en se levant, il se tourna vers la baie vitrée. C'était le blizzard dehors. Si je devais tout vous révéler, vous ne pourriez pas le supporter et douteriez de mes intentions, avoua t-il finalement.
- C'est malheureusement déjà le cas, Directeur, répondît Angela d'un ton neutre.
- Et C'est bien là le problème, vous vous plantez littéralement, Commandant ! Sur toute la ligne ! Explosa Lacroix pour aussitôt reprendre son calme. Il tira sur sa cigarette avant de relâcher un torrent de fumée.
- Vous ne pourrez pas jouer éternellement au bord des limites. Je doute que la Hiérarchie n'apprécie le fait que vous réduisiez les gens à l'état d'esclaves. Car c'est ce qu'ils sont, répondît Angela en parlant avec calme, elle voulait maîtriser cette discussion, prendre l'ascendant sur lui pour qu'il arrête de la baratiner.
- Vous êtes ridicule ... murmura t'il. Quant à la Hiérarchie ! s'exclama Lacroix en se retournant. Ce ramassis de corrompus incapable de prendre la moindre décision quant à cette guerre sans nous pousser à l'extinction ? Il tira une nouvelle fois sur sa cigarette, puis l'écrasa. Bon sang, Angela. J'en viens à regretter le Commandant Amari. Elle au moins, comprenait que la fin justifiait les moyens. Cette fois-ci, Angela fût blessée. Encore une fois, Ana était la meilleure. Vous êtes aveuglée par vos idéaux, Commandant. Mais ce n'est pas de votre faute ! s'exclama t-il. Vous êtes un médecin, pas un soldat. Vous ne voulez pas comprendre que l'on puisse franchir les limites ? Très bien. Je vous demanderai alors d'accomplir une dernière chose. Ramenez Amari, immédiatement. Alors vous n'aurez plus à subir toutes ces "horreurs".
- Ana ne supporterai pas non plus que l'on contraigne des hommes à agir contre leur volonté. N'oubliez pas que Morrison et elle ... Lacroix la coupa.
- Ecoutez, vous ne semblez pas bien connaître le Commandant Amari, et ce, malgré toutes ces années passées ensemble. La survie de l'Humanité, prime sur le reste, et croyez-moi. Ana l'a bien saisi, continua t-il en se rasseyant, il la chassa d'un geste de la main.
Sur le point d'exploser, Angela se retourna sans discuter, les poings serrés.
- Une dernière chose, Commandant, s'exclama Lacroix. Inutile de dire à Morrison qu'il a une fille. Il ne devrait même pas se souvenir qu'Ana et lui étaient mariés.
- Il se souvient d'Ana affirma Angela en se tournant vers lui.
- Quelqu'un a visiblement merdé, que ça ne se reproduise pas. Il n'y a pas de place pour les sentiments dans cette guerre.
- Vous voulez pourtant que je la ramène à la vie. Comment ça va se passer lorsqu'ils se verront ? demanda Ziegler, froide.
- Je vous l'ai dit, rétorqua Lacroix avec un sourire. Elle saura faire la part des choses.
Son interlocutrice hocha négativement la tête, puis tourna les talons avant de s'en aller d'un pas déterminé.
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(Soundtrack : )
Le son mélodieux de l'ouverture de la porte du laboratoire retentit tandis qu'Angela s'engouffrait dans la pièce baignée dans un silence absolu.
- Enf*iré ! hurla t'elle en balayant tout ce qui se trouvait sur son bureau, enragée. Elle tapa ensuite du poing avant de se laisser tomber sur son siège. C'était la première fois qu'elle perdait pied ainsi.
Au milieu de la pièce, sur la table d'opération, Ana était toujours piégée entre la vie et la mort. Angela se releva, puis fît le tour du corps, le Commandant jeta un coup d’œil à l'un des nombreux moniteurs. L'un affichait le rythme cardiaque de la patiente, était incroyablement faible, à peine perceptible. Mais son cœur battait. Le visage d'Angela se décomposa, sa surprise n'avait d'égal.
Elle s'attabla immédiatement à son bureau puis pianota sur le clavier de ce dernier. Tous les écrans s'illuminèrent simultanément tandis que les données de recherches du Docteur Ziegler se compilaient.
- Athéna, appela Angela, les yeux rivés sur le flux de données qui défilait devant ses yeux.
- Oui, Commandant, répondît l'Intelligence Artificielle de sa voix délicieuse.
- Je dois la ramener, déclara t'elle en continuant d'écrire.
- Vous avez déjà fait des miracles avec le Projet REAPER, Commandant. Mais je doute que cette fois-ci vous puissiez faire quoique ce soit, rétorqua Athéna tandis qu'Angela se retournait vers le corps d'Ana. Ses blessures sont trop graves.
- Et pourtant, son cœur continue de battre, répondît le Commandant d'Overwatch en détournant les yeux vers le moniteur. La vie l'habite encore, et même un simple souffle comme celui-ci, est une victoire.
Angela se leva et parcouru les étagères située à mi-hauteur. Elle en ouvrit une et saisit le Pacemaker qu'elle avait fabriquée.
- Cette option n'est pas recommandée, Commandant, lui conseilla l'Intelligence Artificielle, étonnant Angela au passage. Il était rare qu'elle émette une objection.
- Il le faut, Athéna, répondît t'elle, déterminée à ramener Ana à la vie.
- Malgré ce que cela vous coûtera ? rétorqua l'intelligence Artificielle. le doute s'installa subitement chez la suisse qui avait les yeux rivés sur l'appareil. L'appareil est alimenté par l'énergie biotique, cela vous tuera, Commandant.
- Bon sang, je le sais Athéna, j'ai conçu cet appareil.
- Je voulais m'assurer que vous aviez tous les éléments pour prendre votre décision, Commandant, répondît Athéna. Angela avait posé ses mains sur le ventre nu d'Ana.
- Le monde a besoin de Héros, Athéna. Elle doit revenir. Il le faut, expliqua t'elle tandis que sa mine s'assombrissait. J'ai sauvé des milliers de vie, continua Angela tandis qu'elle sentait les larmes monter. Il est désormais temps pour moi d'accomplir un dernier miracle. L'ultime.
Elle passa la nuit à implanter le Pacemaker dans le corps d'Ana, encore une nuit passées à tenter de lui sauver la vie. Le travail fût long, mais assisté d'Athéna, il fût presque récompensé.
L'air triste, Angela regardait les paupières fermées de son amie, elle avait consacrée sa vie à sauver la vie des autres, c'était pour sauver des vies qu'elle avait choisie la médecine. Aujourd'hui, son abnégation allait être mise à l'épreuve. Sa vie avait t-elle plus de valeur que celle d'Ana ? C'était là une question qu'Angela ne s'était jamais posée, car jamais, non, jamais sa propre vie n'avait été le prix à payer pour en sauver une autre.
Néanmoins, elle avait construit cet appareil, dans un but bien précis. Il ne devait servir qu'en cas de dernier recours, pour une personne jugée exceptionnelle. Ana, était exceptionnelle. C'était une femme de caractère, avec une autorité suffisante pour faire ployer Reyes lui-même sans que ce dernier ne discute. Elle avait le charisme et l'assurance qu'Angela n'avait jamais eu. Elle était meilleure qu'elle, en tout point.
Sa connaissance de la médecine était le seul domaine dans lequel elle excellait. Elle n'était ni doué pour le combat, ni pour le commandement. Elle ne pourrait pas mener Overwatch à la victoire, et encore moins l'Humanité. L'idée d'être à sa tête l'effrayait même, elle avait peur. Peur de l'échec.
Lacroix avait raison, Ana saurait prendre les décisions qu'elle-même n'a jamais osée prendre.
- Oh mon Dieu, sanglota Angela tandis que ses mains s'illuminaient d'une douce lueur dorée, consciente de l'acte qu'elle s'apprêter à accomplir.
Un flux d'énergie biotique se transmettait en elle et Ana. Angela se sentait faiblir. Elle sentait la vie la quitter.
- Commandant, sembla s'inquiéter Athéna tandis qu'Angela hurlait. Le lien était difficile à tenir, et lui faisait effroyalement mal, ses mains brûlaient du fait de l'abondance d'énergie biotique qu'elle déversait. Il était encore temps pour elle d'abandonner, sa volonté était rudement mise à l'épreuve et la souffrance trop intense.
(ENDING & VOTE THEME : )
LIEN DU VOTE: http://www.strawpoll.me/10775468
Si égalité dans les votes, ça ne va pas vous plaire.
ATTENTION : Désormais, vos décisions auront un poids considérable sur le reste de l'histoire, notamment quant à la survie des personnages. Les choix seront donc pleinement assumés.