Note de la fic : Non notée
Overwatch : Le monde aura toujours besoin de Héros.
Par : MarianCross
Genre : Action
Statut : En cours, sweet quotidienne
Chapitre 8 : Entrée du Codex 03 : Le cas allemand
Publié le 28/06/2016 à 22:19:53 par MarianCross
Entrée du Codex N°3 : La Crise des Omniacs - La cas particulier de l'Allemagne.
(Soundtrack : )
Tandis que les pays européens tombaient les uns après les autres sous le putsch Omniac. L'Allemagne, elle, résiste encore et toujours aux machines, et ce, depuis des années. Ses habitants auront vus les pays frontaliers, ainsi qu'une majeure partie de la planète tomber les uns après les autres face à l'avancée Omniaque.
La Pologne fût le premier voisin à tomber. Confiant en leur blietzkrieg, les Omniac continuèrent vers l'ouest, droit sur l'Allemagne. Leur surprise fût totale lorsqu'ils se heurtèrent à une formidable force de frappe. Les machines furent balayées et connurent leur premier revers à Francfort.
En effet, les allemands, à cette époque, avaient trois avantages conséquents sur leurs homologues robotiques : l'intelligence leurs services de renseignements, leur avancée technologique significative et l'absence d'Omnium en Allemagne. Lorsque les premières rumeurs d'une rébellion Omniaque naquirent, le Reichstag envoya une flopée d'agents à travers le monde dans le but de vérifier l'exactitude des rumeurs. Dès lors, ils furent les premiers au courant du soulèvement en Russie.
Zoé Von Hammersmarck, à l'époque Directrice Générale du Service Fédéral de Renseignement, en informa immédiatement les hautes sphères gouvernementales qui se contentèrent d'entériner le dossier, préférant éviter que la nouvelle n'éclate au visage du peuple allemand. La rébellion de machines qui les avaient servis durant des années étaient un sujet extrêmement sensible. De ce fait, le Gouvernement Fédéral chargea Von Hammersmarck de surveiller l'évolution de la situation.
Avantage non négligeable dans la guerre, qui permit à l'Allemagne de tenir si longtemps tête aux machines, sa technologie avancée. Cet élan technologique commença bien avant la guerre, alors que les armées du monde entier banalisaient l'équipement de leurs soldats par de solides plaques dont le matériau pouvait varier en fonction de l'unité. En effet, les premières lignes se voyaient dotées de plaques en titanes ou en Zinc, tandis que les spécialités nécessitant plus de souplesse ou se voyaient moins souvent confrontés au combat privilégiant des alliages plus légers tels que l'aluminium, ou pour les unités d'élite, l'unobtanium.
A partir de ce moment là, la longévité des soldats s'accrut de manière phénoménale. Bien évidemment, les usines d'armements redoublaient d'efforts pour innover en terme de calibres de projectiles. Les balles perforantes firent notamment leur apparition. Mais l'Allemagne surclassa le haut du chapeau en maîtrisant le plasma chaud. En effet, les allemands étaient capable de produire des armes équipées de cœurs électromagnétiques miniature assemblées avec des bonbonnes de gaz. L'action électromagnétique sur le gaz va le faire changer d'état physique et le chauffer au delà des 2 000 degrés Celsius, créant ainsi du plasma chaud. Un accélérateur de particule se charge de projeter le plasma.
Le plasma ne faisait qu'une bouchées des troupes Omniaques. Mais au fil des ans, les machines apprirent à blinder leurs unités, réduisant l'efficacité des armes allemandes.
Très vite, l'Allemagne fût encerclée. En effet, les Omniacs apprenaient de leurs erreurs, et après maints échecs, il se résolurent à encercler leur ennemi qui bénéficiait des lignes de ravitaillement françaises et britanniques, car l'Allemagne faisait alors office de bouclier face à l'invasion. Tout en se heurtant aux défenses germaniques, ils s'occupèrent des cas de Londres et Paris. Bien évidemment, ces pays demandèrent l'aide des allemands, mais ces derniers refusèrent et quittèrent les Nations-Unies. Convaincus de pouvoir résister seuls, ce qu'ils firent durant près de quinze ans.
Aujourd'hui, c'est l'ancienne Directrice Générale du Service Fédéral de Renseignement qui dirige une Allemagne en proie au doute. Car les Omniacs, contrairement aux humains, ne connaissent ni fatigue, ni répit. Depuis quelques mois, l'Allemagne perds du terrain et lentement, mais sûrement, les Omniacs avancent vers la capitale.
(Soundtrack : )
Tandis que les pays européens tombaient les uns après les autres sous le putsch Omniac. L'Allemagne, elle, résiste encore et toujours aux machines, et ce, depuis des années. Ses habitants auront vus les pays frontaliers, ainsi qu'une majeure partie de la planète tomber les uns après les autres face à l'avancée Omniaque.
La Pologne fût le premier voisin à tomber. Confiant en leur blietzkrieg, les Omniac continuèrent vers l'ouest, droit sur l'Allemagne. Leur surprise fût totale lorsqu'ils se heurtèrent à une formidable force de frappe. Les machines furent balayées et connurent leur premier revers à Francfort.
En effet, les allemands, à cette époque, avaient trois avantages conséquents sur leurs homologues robotiques : l'intelligence leurs services de renseignements, leur avancée technologique significative et l'absence d'Omnium en Allemagne. Lorsque les premières rumeurs d'une rébellion Omniaque naquirent, le Reichstag envoya une flopée d'agents à travers le monde dans le but de vérifier l'exactitude des rumeurs. Dès lors, ils furent les premiers au courant du soulèvement en Russie.
Zoé Von Hammersmarck, à l'époque Directrice Générale du Service Fédéral de Renseignement, en informa immédiatement les hautes sphères gouvernementales qui se contentèrent d'entériner le dossier, préférant éviter que la nouvelle n'éclate au visage du peuple allemand. La rébellion de machines qui les avaient servis durant des années étaient un sujet extrêmement sensible. De ce fait, le Gouvernement Fédéral chargea Von Hammersmarck de surveiller l'évolution de la situation.
Avantage non négligeable dans la guerre, qui permit à l'Allemagne de tenir si longtemps tête aux machines, sa technologie avancée. Cet élan technologique commença bien avant la guerre, alors que les armées du monde entier banalisaient l'équipement de leurs soldats par de solides plaques dont le matériau pouvait varier en fonction de l'unité. En effet, les premières lignes se voyaient dotées de plaques en titanes ou en Zinc, tandis que les spécialités nécessitant plus de souplesse ou se voyaient moins souvent confrontés au combat privilégiant des alliages plus légers tels que l'aluminium, ou pour les unités d'élite, l'unobtanium.
A partir de ce moment là, la longévité des soldats s'accrut de manière phénoménale. Bien évidemment, les usines d'armements redoublaient d'efforts pour innover en terme de calibres de projectiles. Les balles perforantes firent notamment leur apparition. Mais l'Allemagne surclassa le haut du chapeau en maîtrisant le plasma chaud. En effet, les allemands étaient capable de produire des armes équipées de cœurs électromagnétiques miniature assemblées avec des bonbonnes de gaz. L'action électromagnétique sur le gaz va le faire changer d'état physique et le chauffer au delà des 2 000 degrés Celsius, créant ainsi du plasma chaud. Un accélérateur de particule se charge de projeter le plasma.
Le plasma ne faisait qu'une bouchées des troupes Omniaques. Mais au fil des ans, les machines apprirent à blinder leurs unités, réduisant l'efficacité des armes allemandes.
Très vite, l'Allemagne fût encerclée. En effet, les Omniacs apprenaient de leurs erreurs, et après maints échecs, il se résolurent à encercler leur ennemi qui bénéficiait des lignes de ravitaillement françaises et britanniques, car l'Allemagne faisait alors office de bouclier face à l'invasion. Tout en se heurtant aux défenses germaniques, ils s'occupèrent des cas de Londres et Paris. Bien évidemment, ces pays demandèrent l'aide des allemands, mais ces derniers refusèrent et quittèrent les Nations-Unies. Convaincus de pouvoir résister seuls, ce qu'ils firent durant près de quinze ans.
Aujourd'hui, c'est l'ancienne Directrice Générale du Service Fédéral de Renseignement qui dirige une Allemagne en proie au doute. Car les Omniacs, contrairement aux humains, ne connaissent ni fatigue, ni répit. Depuis quelques mois, l'Allemagne perds du terrain et lentement, mais sûrement, les Omniacs avancent vers la capitale.