Note de la fic : Non notée
Overwatch : Le monde aura toujours besoin de Héros.
Par : MarianCross
Genre : Action
Statut : En cours, sweet quotidienne
Chapitre 4
Publié le 23/06/2016 à 22:51:59 par MarianCross
Entrée du Codex N°2 : La Crise des Omniacs - La guerre du Premier Contact, chute de la Russie.
(Soundtrack : )
Malgré la psychologie dont ils font preuves, aux yeux de la lois, les Omniacs n'ont jamais vraiment étés considérés comme des êtres vivants à part entière. Tout du moins, ils n'ont jamais été l'égal de l'Homme, malgré que ce dernier ne les aient façonnés à son image.
En effet, les Omniacs servaient les humains, et là était leur fonction première, assurer aux Hommes une vie plus agréable, plus confortable. Malgré l'exploitation de ces derniers, il n'était pas dans la nature des Omniacs de se plaindre et tous, ne vivaient pas un calvaire. Certains Omniacs parvenaient à s'intégrer au sein d'une famille ou d'une entreprise, à tel point qu'il devenait un véritable membre de la famille, ou accédait à des fonctions professionnelles incluant de grandes responsabilité.
D'autres furent rejetés, abandonnés, vivant en parias, hors de la société. Il n'était pas rare de trouver un Omniac massacré le long d'un caniveau, lynché par des racailles, ou tout simplement détruit par un propriétaire insatisfait.
Souffrant de leur statut à part de la société, certains Omniacs disparurent, afin de mener leur propre vie. C'est alors que des messages étranges apparurent sur certains forums de discussion, sonnant comme des menaces. Très vite, Internet fût utilisé par les Omniacs pour témoigner et se plaindre de leur condition. Sur un réseau comme Internet, la censure ne pouvait servir la volonté des Gouvernement d'étouffer cette fracture sociale à l'égard de laquelle les populations n'étaient pas toutes insensibles.
La cause Omniaque trouva ses détracteurs, mais également ses défenseurs. Des associations furent fondées, luttant pour défendre les libertés des machines. Un parti politique vu également le jour, composé d'organiques et de synthétiques, leur but était la revalorisation du statut d'Omniac, afin de parvenir à un consensus humano-synthétique. Un compromis fût "négocié", et la création des Omniums fût actée par l'Organisation des Nations-Unies. Néanmoins, tous les pays ne ratifièrent pas ce traité et beaucoup le rejetèrent. Les Omniacs eux-même n'étaient pas satisfaits, considérant cette décision comme une mise à l'écart de la société. Une vie de parias les attendaient.
En effet, les Omniums consistaient certes en des parcelles de terrain cédées aux Omniacs afin d'y construire leurs propres infrastructures. De même que l'homme n'y aurait qu'un accès limité et que seuls les observateurs de l'ONU ne seraient autorisé à pénétrer. Néanmoins, cela excluait tout relation avec les humains, et ce n'était pas ce que désiraient les machines. L'équilibre précaire des choses repris malgré tout son cours durant une année.
Mais le parti Omniac se divisa très vite en son propre sein. Face au refus catégorique de certaines autorités gouvernementales à concéder la création d'Omnium, le désir de mener une guerre ouverte contre l'humanité grandissait, considérant les pratiques humaines à l'égard des Omniac comme de l'esclavage.
Lors de la première assemblée exceptionnelle du parti, cette faction pro-Omniac obtint les pleins pouvoirs sur les décisions exécutives du groupe politique. Le tollé médiatique que cela provoqua eu un impact tel que pour la première fois, les humains songèrent à se débarrasser de leurs créations.
Sentant la trahison venir, une Task Force fût créer par l'ONU afin de se débarrasser de cette épine dans le pied. Cette Task Force, une équipe d'intervention rapide et internationale, fût constituée de plusieurs éléments opérationnels des différents services de renseignements mondiaux les plus influents. (DGSE, MI6, CIA, SVR entre autres.). Leur mission : éliminer les dirigeants de ce parti politique. Ils n'eurent qu'une seule occasion de passer à l'acte, et ce fût un échec cuisant. Plusieurs agents furent capturés par le contre-espionnage Omniac. C'était la goutte d'eau qu'attendait les machines pour que le vase déborde.
Le premier pas vers la guerre contre les créateurs était amorcé.
Les Omniacs piratèrent massivement les réseaux Internet mondiaux globaux, les sites gouvernementaux du monde entier furent particulièrement touchés. Plusieurs rapports d'arrestation mentionnèrent un nouveau modèle d'Omniac capable de connecter sa plateforme physique à un réseau entier afin d'en contrôler le flux de données. Très vite, les humains n'eurent plus accès à Internet et des billions d'octets d'informations classées secret-défense furent volées.
Les Omniacs accédèrent ensuite aux communications , et les coupèrent. En l'espace d'une semaine, les pays du monde entier furent isolés les uns des autres et plongés dans un Blackout réseau total. Pendant ce temps-ci, les agences de renseignements étaient sur la piste du PDG de Synthetic Insights, Thomas Wayne, le créateur des Omniac. Néanmoins, aucune trace ne permirent de mener jusque lui, il disparu totalement et les rumeurs allèrent bon train quant à son implication dans cette rébellion.
Très vite, l'on raconta que la Russie fût le premier pays à tomber. Ce qui s'avéra être la vérité. Profondément raciste envers les Omniacs, le Kremlin s'opposa tout d'abord aux Omniums. Mais les américains exercèrent une pression considérable sur le gouvernement russe pour que celui qui consente à contrecœur la création d'un seul et unique Omnium, dans les lointaines terres sibériennes.
Les Omniacs n'y virent qu'une manière de les expulser avec les formes, ce qui n'était pas complètement faux compte tenu des relations humano-synthétique au sein de ce pays. Les machines furent chassées, et celles qui refusèrent l'exil furent traquées et détruites. La rancœur enhardit les Omniacs rescapés et après des mois de préparations durant lesquels ils adaptèrent leurs blindages et mécanismes de fonctionnement au froid sibérien pour survivre, les Omniacs furent les premiers à attaquer lorsque l'ordre en fût donné.
L'occasion extérioriser et de libérer des années de frustration suite à la ségrégation dont ils avaient été les victimes. L'occasion de combattre pour leur liberté. Pour la première fois, Omniacs et humains s’entre tuèrent en masse.
Deux jours plus tard, les Omniacs se trouvaient aux portes de Moscou. Les humains ne s'y attentèrent jamais. Les radars ne détectèrent aucunes signatures pour la simple de bonne raison que les Omniacs la camouflait. Il ne fallut que quelques heures pour que la capitale n'abdique face à l'imminence de l'attaque. Les machines exécutèrent les dirigeants russes sur la Place Rouge. La vidéo fût diffusé très largement sur toute la surface du globe sans que toutefois les humains ne puissent utiliser Internet autrement que pour regarder ladite vidéo. Cela sonna comme un avertissement pour l'Humanité.
L'armée russe n'avait eu aucune chance face à la puissance de feu Omniaque. Ces derniers avaient en effet un coup d'avance, car ils étaient parvenus à produire de nouvelles unités de combat dévastatrices dont l'Homme ne savait rien. Ainsi, les Omniacs s'étaient doté de blindés, de mécas ainsi que de chasseurs aériens embarqués à la puissance de feu considérable.
La récolte de renseignement avait été impossible pour le SVR, le service de renseignement russe car toutes les données recueillies tant bien que mal étaient cryptées et les différents interrogatoires suites aux enlèvements ne menèrent à rien car les machines ne ressentaient pas la douleur malgrés tout ce qui pouvait les rapprocher des humains sur le plan émotionnel.
Démographiquement, les robots ne firent pas la distinction entre civils et soldats, femmes et enfants. Ils massacraient systématiquement, détruisant tout sur leur passage. Cela força les populations à un exode massif vers l'Ouest. Néanmoins, le patriotisme des russes n'avait d'égal que leur capacité à tenir l'alcool, de ce fait, la résistance s'organisa. Difficilement, mais avait-elle au moins le mérite d'exister.
Les frontières des pays limitrophes avec la Russie étant fermées suite à la nouvelle de l'invasion Omniaque, rien ne pût néanmoins empêcher les millions de russes sinistrés à fuir leur pays.
La guerre du Premier Contact avait débuté, et avec elle, la guerre totale approchait.
Avec son lot de gloire ...
... et d'atrocités.
(Soundtrack : )
Malgré la psychologie dont ils font preuves, aux yeux de la lois, les Omniacs n'ont jamais vraiment étés considérés comme des êtres vivants à part entière. Tout du moins, ils n'ont jamais été l'égal de l'Homme, malgré que ce dernier ne les aient façonnés à son image.
En effet, les Omniacs servaient les humains, et là était leur fonction première, assurer aux Hommes une vie plus agréable, plus confortable. Malgré l'exploitation de ces derniers, il n'était pas dans la nature des Omniacs de se plaindre et tous, ne vivaient pas un calvaire. Certains Omniacs parvenaient à s'intégrer au sein d'une famille ou d'une entreprise, à tel point qu'il devenait un véritable membre de la famille, ou accédait à des fonctions professionnelles incluant de grandes responsabilité.
D'autres furent rejetés, abandonnés, vivant en parias, hors de la société. Il n'était pas rare de trouver un Omniac massacré le long d'un caniveau, lynché par des racailles, ou tout simplement détruit par un propriétaire insatisfait.
Souffrant de leur statut à part de la société, certains Omniacs disparurent, afin de mener leur propre vie. C'est alors que des messages étranges apparurent sur certains forums de discussion, sonnant comme des menaces. Très vite, Internet fût utilisé par les Omniacs pour témoigner et se plaindre de leur condition. Sur un réseau comme Internet, la censure ne pouvait servir la volonté des Gouvernement d'étouffer cette fracture sociale à l'égard de laquelle les populations n'étaient pas toutes insensibles.
La cause Omniaque trouva ses détracteurs, mais également ses défenseurs. Des associations furent fondées, luttant pour défendre les libertés des machines. Un parti politique vu également le jour, composé d'organiques et de synthétiques, leur but était la revalorisation du statut d'Omniac, afin de parvenir à un consensus humano-synthétique. Un compromis fût "négocié", et la création des Omniums fût actée par l'Organisation des Nations-Unies. Néanmoins, tous les pays ne ratifièrent pas ce traité et beaucoup le rejetèrent. Les Omniacs eux-même n'étaient pas satisfaits, considérant cette décision comme une mise à l'écart de la société. Une vie de parias les attendaient.
En effet, les Omniums consistaient certes en des parcelles de terrain cédées aux Omniacs afin d'y construire leurs propres infrastructures. De même que l'homme n'y aurait qu'un accès limité et que seuls les observateurs de l'ONU ne seraient autorisé à pénétrer. Néanmoins, cela excluait tout relation avec les humains, et ce n'était pas ce que désiraient les machines. L'équilibre précaire des choses repris malgré tout son cours durant une année.
Mais le parti Omniac se divisa très vite en son propre sein. Face au refus catégorique de certaines autorités gouvernementales à concéder la création d'Omnium, le désir de mener une guerre ouverte contre l'humanité grandissait, considérant les pratiques humaines à l'égard des Omniac comme de l'esclavage.
Lors de la première assemblée exceptionnelle du parti, cette faction pro-Omniac obtint les pleins pouvoirs sur les décisions exécutives du groupe politique. Le tollé médiatique que cela provoqua eu un impact tel que pour la première fois, les humains songèrent à se débarrasser de leurs créations.
Sentant la trahison venir, une Task Force fût créer par l'ONU afin de se débarrasser de cette épine dans le pied. Cette Task Force, une équipe d'intervention rapide et internationale, fût constituée de plusieurs éléments opérationnels des différents services de renseignements mondiaux les plus influents. (DGSE, MI6, CIA, SVR entre autres.). Leur mission : éliminer les dirigeants de ce parti politique. Ils n'eurent qu'une seule occasion de passer à l'acte, et ce fût un échec cuisant. Plusieurs agents furent capturés par le contre-espionnage Omniac. C'était la goutte d'eau qu'attendait les machines pour que le vase déborde.
Le premier pas vers la guerre contre les créateurs était amorcé.
Les Omniacs piratèrent massivement les réseaux Internet mondiaux globaux, les sites gouvernementaux du monde entier furent particulièrement touchés. Plusieurs rapports d'arrestation mentionnèrent un nouveau modèle d'Omniac capable de connecter sa plateforme physique à un réseau entier afin d'en contrôler le flux de données. Très vite, les humains n'eurent plus accès à Internet et des billions d'octets d'informations classées secret-défense furent volées.
Les Omniacs accédèrent ensuite aux communications , et les coupèrent. En l'espace d'une semaine, les pays du monde entier furent isolés les uns des autres et plongés dans un Blackout réseau total. Pendant ce temps-ci, les agences de renseignements étaient sur la piste du PDG de Synthetic Insights, Thomas Wayne, le créateur des Omniac. Néanmoins, aucune trace ne permirent de mener jusque lui, il disparu totalement et les rumeurs allèrent bon train quant à son implication dans cette rébellion.
Très vite, l'on raconta que la Russie fût le premier pays à tomber. Ce qui s'avéra être la vérité. Profondément raciste envers les Omniacs, le Kremlin s'opposa tout d'abord aux Omniums. Mais les américains exercèrent une pression considérable sur le gouvernement russe pour que celui qui consente à contrecœur la création d'un seul et unique Omnium, dans les lointaines terres sibériennes.
Les Omniacs n'y virent qu'une manière de les expulser avec les formes, ce qui n'était pas complètement faux compte tenu des relations humano-synthétique au sein de ce pays. Les machines furent chassées, et celles qui refusèrent l'exil furent traquées et détruites. La rancœur enhardit les Omniacs rescapés et après des mois de préparations durant lesquels ils adaptèrent leurs blindages et mécanismes de fonctionnement au froid sibérien pour survivre, les Omniacs furent les premiers à attaquer lorsque l'ordre en fût donné.
L'occasion extérioriser et de libérer des années de frustration suite à la ségrégation dont ils avaient été les victimes. L'occasion de combattre pour leur liberté. Pour la première fois, Omniacs et humains s’entre tuèrent en masse.
Deux jours plus tard, les Omniacs se trouvaient aux portes de Moscou. Les humains ne s'y attentèrent jamais. Les radars ne détectèrent aucunes signatures pour la simple de bonne raison que les Omniacs la camouflait. Il ne fallut que quelques heures pour que la capitale n'abdique face à l'imminence de l'attaque. Les machines exécutèrent les dirigeants russes sur la Place Rouge. La vidéo fût diffusé très largement sur toute la surface du globe sans que toutefois les humains ne puissent utiliser Internet autrement que pour regarder ladite vidéo. Cela sonna comme un avertissement pour l'Humanité.
L'armée russe n'avait eu aucune chance face à la puissance de feu Omniaque. Ces derniers avaient en effet un coup d'avance, car ils étaient parvenus à produire de nouvelles unités de combat dévastatrices dont l'Homme ne savait rien. Ainsi, les Omniacs s'étaient doté de blindés, de mécas ainsi que de chasseurs aériens embarqués à la puissance de feu considérable.
La récolte de renseignement avait été impossible pour le SVR, le service de renseignement russe car toutes les données recueillies tant bien que mal étaient cryptées et les différents interrogatoires suites aux enlèvements ne menèrent à rien car les machines ne ressentaient pas la douleur malgrés tout ce qui pouvait les rapprocher des humains sur le plan émotionnel.
Démographiquement, les robots ne firent pas la distinction entre civils et soldats, femmes et enfants. Ils massacraient systématiquement, détruisant tout sur leur passage. Cela força les populations à un exode massif vers l'Ouest. Néanmoins, le patriotisme des russes n'avait d'égal que leur capacité à tenir l'alcool, de ce fait, la résistance s'organisa. Difficilement, mais avait-elle au moins le mérite d'exister.
Les frontières des pays limitrophes avec la Russie étant fermées suite à la nouvelle de l'invasion Omniaque, rien ne pût néanmoins empêcher les millions de russes sinistrés à fuir leur pays.
La guerre du Premier Contact avait débuté, et avec elle, la guerre totale approchait.
Avec son lot de gloire ...
... et d'atrocités.