Note de la fic :
Ma coloc', cette folle
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Sayks
Statut : C'est compliqué
Chapitre 33
Publié le 07/08/2014 à 02:17:30 par LePatriarche
Le reste de la journée, j'étais resté seul avec Sabrina, Cécilia étant parti travailler au salon de coiffure. Ensuite, plus rien.
Les jours qui ont suivis, je n'ai plus reçu de message de la part d'Alexia, une bonne chose. Cécilia a hissée les voiles pour aller en Egypte et bronzer le plus possible, ça la rend folle d'être "trop blanche" comme elle dit. Ca va laisser un vide dans la maison, on s'était habitué à sa présence, son sérieux, sa légère timidité dans quelques situations, ses rougissements incontrolés, et... Sa cuisine follement diverse.
Mais c'est son choix, et puis, après avoir bossé pendant le mois de juillet, c'était des vacances bien méritées. J'allais resté avec Sabrina, comme avant. Il ne se passait pas un jour sans qu'on sorte se dégourdir les jambes, se promener, aller au cinéma. On a découvert au kebab du coin un client toujours là, que ce soit le matin ou encore le soir, il restait là à manger avec passion. Intriguée, Sabrina partit lui parler, il se prénomme Jean, le "tueur de bebab" ( ). Il se perfectionne et s'entraine sans relache pour atteindre son objectif : En manger 5 en un jour. Y'a vraiment des fous par ici.
Nos jours commençaient un peu à tourner en rond, ça fait déjà presque deux semaines que je suis ici. Il m'est arrivé de sortir à plusieurs reprises pour rejoindre des potes, le "trio des footeux" avec Abdel, Nassim et Bilal ( ), toujours au top pour organiser des après midi déjantés et hautement sportives, c'est fou.
On était toujours une vingtaine, on faisait 3 équipes, c'était cool. A plusieurs reprises, je sortais exténué, alors qu'ils avaient encore des jambes après trois heures et restaient encore là à jouer après mon départ, c'est dingue.
Ce qui me consolait juste après, c'était les massages de Sabrina. Je m'asseyais au sol, le dos contre le canapé, et elle était assise juste au dessus de moi, à presser ces douces mains sur mes douleurs, ma nuque. Je m'allongeais ensuite sur mon lit, elle assise juste au dessus de moi, sur mes fesses, à taper contre mon dos de ses mains frêles et douces pour me soulager. La douleur et l'excitation se confondait en même temps, mais Fidélité ne pouvait se manifester, écraser contre le lit, il peinait à prendre forme.
A chaque fois, j'avais le droit à un baiser de sa part juste après, puis on redevenait "potes". Pourtant, on fait tout comme un couple, les sorties, la bouffe, le rangement... A plusieurs reprises, j'avais voulu contacter ma mère, mais Sabrina m'en dissuadait, me disant que si ma mère a insisté pour que je sois ici, c'était pas pour rien, je devais me changer de mes idées "casser un peu" avec mon passé etc...
- Dis, tu sais pourquoi je suis là en fait ?
- Parce que t'es mon coloc, débile comme question...
- Non mais pourquoi ma mère a voulu que je vienne ?
- Euh bah non... Et on s'en fiche un peu, tu es là, c'est le principal.
- Ma mère a du te contacter ? Dis moi comment ça s'est passé, si elle t'a dit des trucs ou je sais pas. Pourquoi elle me répond pas ? J'étais parti chez moi y'a quelques jours y'avait personne...
-...
- On se connait maintenant, tu peux tout me dire.
-...
- Arrête de rester silencieuse comme ça, j'aime pas ( ça a le don de me péter les couilles en fait ).
Ok. Là je pense au pire. ScénarMan, une autre partie de moi ( ouais c'est le bordel à l'intérieur ), commence à s'imaginer un tas de scénarios catastrophes. Après tout, je suis en droit de me poser des questions, c'est MA MERE putain ! Et le silence de Sabrina ne fait rien pour m'apaiser, ça me fait juste douter d'un truc. Elle est pas douée pour mentir celle-là, une vraie petite fille.
- Je te promets que je t'en voudrais pas. C'est humain de vouloir savoir comment vont ces proches hein ? ( coté affectif pour la sensibiliser : fait. ) Avec Cécilia, j'ai tout fait pour que vous retrouviez votre relation d'antan, alors, pour mon bien, s'il se passe quelque chose dans mon dos, il faut que je sois au courant ( la faire paniquer + culpabiliser à la fois : fait. )
- Promis tu te fâche pas hein....
- Oui...
- En fait, elle...
- Oui...
- Ta mère elle...
- Oui...
C'est catwoman ou quoi bordel réponds !!! Je déteste ces putains de moments d'attente flippant !
Les jours qui ont suivis, je n'ai plus reçu de message de la part d'Alexia, une bonne chose. Cécilia a hissée les voiles pour aller en Egypte et bronzer le plus possible, ça la rend folle d'être "trop blanche" comme elle dit. Ca va laisser un vide dans la maison, on s'était habitué à sa présence, son sérieux, sa légère timidité dans quelques situations, ses rougissements incontrolés, et... Sa cuisine follement diverse.
Mais c'est son choix, et puis, après avoir bossé pendant le mois de juillet, c'était des vacances bien méritées. J'allais resté avec Sabrina, comme avant. Il ne se passait pas un jour sans qu'on sorte se dégourdir les jambes, se promener, aller au cinéma. On a découvert au kebab du coin un client toujours là, que ce soit le matin ou encore le soir, il restait là à manger avec passion. Intriguée, Sabrina partit lui parler, il se prénomme Jean, le "tueur de bebab" ( ). Il se perfectionne et s'entraine sans relache pour atteindre son objectif : En manger 5 en un jour. Y'a vraiment des fous par ici.
Nos jours commençaient un peu à tourner en rond, ça fait déjà presque deux semaines que je suis ici. Il m'est arrivé de sortir à plusieurs reprises pour rejoindre des potes, le "trio des footeux" avec Abdel, Nassim et Bilal ( ), toujours au top pour organiser des après midi déjantés et hautement sportives, c'est fou.
On était toujours une vingtaine, on faisait 3 équipes, c'était cool. A plusieurs reprises, je sortais exténué, alors qu'ils avaient encore des jambes après trois heures et restaient encore là à jouer après mon départ, c'est dingue.
Ce qui me consolait juste après, c'était les massages de Sabrina. Je m'asseyais au sol, le dos contre le canapé, et elle était assise juste au dessus de moi, à presser ces douces mains sur mes douleurs, ma nuque. Je m'allongeais ensuite sur mon lit, elle assise juste au dessus de moi, sur mes fesses, à taper contre mon dos de ses mains frêles et douces pour me soulager. La douleur et l'excitation se confondait en même temps, mais Fidélité ne pouvait se manifester, écraser contre le lit, il peinait à prendre forme.
A chaque fois, j'avais le droit à un baiser de sa part juste après, puis on redevenait "potes". Pourtant, on fait tout comme un couple, les sorties, la bouffe, le rangement... A plusieurs reprises, j'avais voulu contacter ma mère, mais Sabrina m'en dissuadait, me disant que si ma mère a insisté pour que je sois ici, c'était pas pour rien, je devais me changer de mes idées "casser un peu" avec mon passé etc...
- Dis, tu sais pourquoi je suis là en fait ?
- Parce que t'es mon coloc, débile comme question...
- Non mais pourquoi ma mère a voulu que je vienne ?
- Euh bah non... Et on s'en fiche un peu, tu es là, c'est le principal.
- Ma mère a du te contacter ? Dis moi comment ça s'est passé, si elle t'a dit des trucs ou je sais pas. Pourquoi elle me répond pas ? J'étais parti chez moi y'a quelques jours y'avait personne...
-...
- On se connait maintenant, tu peux tout me dire.
-...
- Arrête de rester silencieuse comme ça, j'aime pas ( ça a le don de me péter les couilles en fait ).
Ok. Là je pense au pire. ScénarMan, une autre partie de moi ( ouais c'est le bordel à l'intérieur ), commence à s'imaginer un tas de scénarios catastrophes. Après tout, je suis en droit de me poser des questions, c'est MA MERE putain ! Et le silence de Sabrina ne fait rien pour m'apaiser, ça me fait juste douter d'un truc. Elle est pas douée pour mentir celle-là, une vraie petite fille.
- Je te promets que je t'en voudrais pas. C'est humain de vouloir savoir comment vont ces proches hein ? ( coté affectif pour la sensibiliser : fait. ) Avec Cécilia, j'ai tout fait pour que vous retrouviez votre relation d'antan, alors, pour mon bien, s'il se passe quelque chose dans mon dos, il faut que je sois au courant ( la faire paniquer + culpabiliser à la fois : fait. )
- Promis tu te fâche pas hein....
- Oui...
- En fait, elle...
- Oui...
- Ta mère elle...
- Oui...
C'est catwoman ou quoi bordel réponds !!! Je déteste ces putains de moments d'attente flippant !