Note de la fic :
Ma coloc', cette folle
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Sayks
Statut : C'est compliqué
Chapitre 26
Publié le 04/08/2014 à 01:54:13 par LePatriarche
Là c'est fini. Je ne veux plus rien comprendre. Même si ça fait précisément 5 mois et 28 jours que je ne l'ai plus fait, j'ai l'habitude de l'exercice. Rapidement, on commence à s'enlever nos vêtements. Je me prends pas la tête, j'arrache limite sa petite veste pour l'envoyer hors de ma vue, la tigresse pose ces ongles sur mon torse nue et commence limite à me griffer, douloureusement et amoureusement à la fois.
Je sens de l'envie et de la rage chez elle, j'attrape ces hanches pour la basculer au sol, elle est dos à terre et je me retrouve en position dominant, la position préférée de Fidélité.
Je prends mon temps, pour faire durer le plaisir, posant mes lèvres contre les siennes, d'abord rapidement, puis lentement. Au même moment elle tire la fermeture éclair de ma braguette, voyant Fidélité sous son voile, le bougre décide enfin de monter sur ces grands chevaux ( ), je balade mes mains sur tout son corps, mon nez se colle à ces cheveux ondulants et chatoyants pour s'imprimer de leur senteur, ma respiration se saccade de plus en plus, alors que je n'ai encore rien fait...
Sans attendre plus longtemps, j'enlève directement mon calbut, la flemme de la laisser s'en charger lentement, y'a plus de "faire durer le plaisir", je veux en venir au fait maintenant, je m'abaisse vers son bassin pour y retirer son jean rapidement et efficacement avec mes mains, c'est fait. La voilà devant moi, en soutien-gorge et en string en dentelle rouge vif. Mes mains lui malaxent les seins, au même moment, mes dents se posent sur le noeud de son string, que je mordille doucement, prenant au passage quelques bouts de sa peau, je l'entend limite gémir... Mais Fidélité veut de la vitesse et de l'action, alors j'enlève ce drap me permettant d'avoir accès au sacre ultime, et le voilà...
Un minou adorablement dessiné et bien rasé, ces jambes se tortillent l'une contre l'autre pendant que son visage fait la mou, elle est à croquer comme ça, je ne comprends toujours pas pourquoi elle fait grise mine, mais dans ma tête les mots "Prends moi ! Prends moi ! Prends moi !!! " retentissent, m'otant toute volonté de comprendre. Sans réfléchir, je m'approche d'elle, doucement, caressant Fidélité sur son entrejambe, doucement, puis sans prévenir, elle le saisit d'une main, très fermement, et l'insère elle-même dans son entrejambe. Les va-et-viens sont rapides, Fidélité ne sait plus où donner de la tête...
Je suis là, dans le moment qui précéde une jouissance dantesque, je retire sa main pour prendre moi-même les rennes, j'enchaine les coups de reins moi-même sans l'aide de personne comme Robben pendant la coupe du monde sur les défenseurs, rapidement, puis lentement, tout en restant dans l'imprévisible. Je tente de lire ces réactions sur son visage, lorsque sa bouche s'arque vers le ciel, j'accélère le mouvement, lorsqu'elle gémit oralement, j'arrête, histoire de la mettre à bout.
Après plusieurs minutes où je me canalise tant bien que mal, j'aperçois Sabrina en sueur, fatiguée, toute nue, devant moi, son corps de rêve, excédée, elle a hurlé à maintes reprises, énervée de me voir jouer avec son désir en contrôlant ces envies, je pose deux doigts sur sa bouche pour l'empêcher de crier plus fort, et finalement, je laisse Fidélité exprimer sa grande gratitude à travers une multitudes jets très puissants, je le retire du nid dans lequel il venait de s'engouffrer pour envoyer la sauce blanche similaire à celle du maitre kébabier au loin, dispersant une grande partie du flot sur le carrelage au sol ( on aurait vraiment du prendre des préservatifs, mais sur le coup, je pensais à autre chose. )
A bout également, je m'effondre à coté d'elle, je transpire, mes mains sont moites, des gouttes de sueurs perlent sur mon front. Je distingue encore la respiration saccadée de Sabrina qui infiltre mes tympans, progressivement, elle se calme, moi aussi. La tension et l'exaltation disparaissent progressivement, Raison reprend sa place, Fidélité va au coin et se refait petit après son moment de gloire. ( )
Nue, au sol, à coté d'une bombe imprévisible capable d'exploser à tout moment, je pose ma main contre la sienne pour la réconforter, la rassurer. Je la connais depuis à peine une semaine, plusieurs choses me sont inconnues, pourtant j'y suis allé franco sans trop me poser de questions, une semaine très bizarre, il nous faudra clarifier les choses à ce sujet-là...
- Il s'est passée quoi tout à l'heure ? Pourquoi tu... Es devenu bizarre tout d'un coup... ? Dis-je dans une tentative de briser la glace, je profite de ce moment d'intimité intense pour en savoir plus, après tout, c'est le meilleur moment pour le faire.
Je tourne légèrement ma tête pour voir les yeux de Sabrina, elle sourit et ne pleure plus, Fidélité a vraiment une vertu thérapeutique pour redonner le sourire ( ), son regard me fait un bien fou, mais les mots qu'elle prononça juste après m'ont fait un effet très étrange...
- Cécilia... C'est ma copine.
- Oui je sais et ?
- Non. Je suis lesbienne, et là, je l'ai trompée... Je sais plus où j'en suis...
...
Je sens de l'envie et de la rage chez elle, j'attrape ces hanches pour la basculer au sol, elle est dos à terre et je me retrouve en position dominant, la position préférée de Fidélité.
Je prends mon temps, pour faire durer le plaisir, posant mes lèvres contre les siennes, d'abord rapidement, puis lentement. Au même moment elle tire la fermeture éclair de ma braguette, voyant Fidélité sous son voile, le bougre décide enfin de monter sur ces grands chevaux ( ), je balade mes mains sur tout son corps, mon nez se colle à ces cheveux ondulants et chatoyants pour s'imprimer de leur senteur, ma respiration se saccade de plus en plus, alors que je n'ai encore rien fait...
Sans attendre plus longtemps, j'enlève directement mon calbut, la flemme de la laisser s'en charger lentement, y'a plus de "faire durer le plaisir", je veux en venir au fait maintenant, je m'abaisse vers son bassin pour y retirer son jean rapidement et efficacement avec mes mains, c'est fait. La voilà devant moi, en soutien-gorge et en string en dentelle rouge vif. Mes mains lui malaxent les seins, au même moment, mes dents se posent sur le noeud de son string, que je mordille doucement, prenant au passage quelques bouts de sa peau, je l'entend limite gémir... Mais Fidélité veut de la vitesse et de l'action, alors j'enlève ce drap me permettant d'avoir accès au sacre ultime, et le voilà...
Un minou adorablement dessiné et bien rasé, ces jambes se tortillent l'une contre l'autre pendant que son visage fait la mou, elle est à croquer comme ça, je ne comprends toujours pas pourquoi elle fait grise mine, mais dans ma tête les mots "Prends moi ! Prends moi ! Prends moi !!! " retentissent, m'otant toute volonté de comprendre. Sans réfléchir, je m'approche d'elle, doucement, caressant Fidélité sur son entrejambe, doucement, puis sans prévenir, elle le saisit d'une main, très fermement, et l'insère elle-même dans son entrejambe. Les va-et-viens sont rapides, Fidélité ne sait plus où donner de la tête...
Je suis là, dans le moment qui précéde une jouissance dantesque, je retire sa main pour prendre moi-même les rennes, j'enchaine les coups de reins moi-même sans l'aide de personne comme Robben pendant la coupe du monde sur les défenseurs, rapidement, puis lentement, tout en restant dans l'imprévisible. Je tente de lire ces réactions sur son visage, lorsque sa bouche s'arque vers le ciel, j'accélère le mouvement, lorsqu'elle gémit oralement, j'arrête, histoire de la mettre à bout.
Après plusieurs minutes où je me canalise tant bien que mal, j'aperçois Sabrina en sueur, fatiguée, toute nue, devant moi, son corps de rêve, excédée, elle a hurlé à maintes reprises, énervée de me voir jouer avec son désir en contrôlant ces envies, je pose deux doigts sur sa bouche pour l'empêcher de crier plus fort, et finalement, je laisse Fidélité exprimer sa grande gratitude à travers une multitudes jets très puissants, je le retire du nid dans lequel il venait de s'engouffrer pour envoyer la sauce blanche similaire à celle du maitre kébabier au loin, dispersant une grande partie du flot sur le carrelage au sol ( on aurait vraiment du prendre des préservatifs, mais sur le coup, je pensais à autre chose. )
A bout également, je m'effondre à coté d'elle, je transpire, mes mains sont moites, des gouttes de sueurs perlent sur mon front. Je distingue encore la respiration saccadée de Sabrina qui infiltre mes tympans, progressivement, elle se calme, moi aussi. La tension et l'exaltation disparaissent progressivement, Raison reprend sa place, Fidélité va au coin et se refait petit après son moment de gloire. ( )
Nue, au sol, à coté d'une bombe imprévisible capable d'exploser à tout moment, je pose ma main contre la sienne pour la réconforter, la rassurer. Je la connais depuis à peine une semaine, plusieurs choses me sont inconnues, pourtant j'y suis allé franco sans trop me poser de questions, une semaine très bizarre, il nous faudra clarifier les choses à ce sujet-là...
- Il s'est passée quoi tout à l'heure ? Pourquoi tu... Es devenu bizarre tout d'un coup... ? Dis-je dans une tentative de briser la glace, je profite de ce moment d'intimité intense pour en savoir plus, après tout, c'est le meilleur moment pour le faire.
Je tourne légèrement ma tête pour voir les yeux de Sabrina, elle sourit et ne pleure plus, Fidélité a vraiment une vertu thérapeutique pour redonner le sourire ( ), son regard me fait un bien fou, mais les mots qu'elle prononça juste après m'ont fait un effet très étrange...
- Cécilia... C'est ma copine.
- Oui je sais et ?
- Non. Je suis lesbienne, et là, je l'ai trompée... Je sais plus où j'en suis...
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