Note de la fic :
Publié le 29/08/2016 à 21:42:07 par maKharena
L'immeuble où avait lieu la fête était au moins aussi pitoyable que le mien, avec ce que cela impliquait de poubelles non ramassées, de tags sur les murs, de vitres brisées et de jeunes en attente devant la porte, comme les videurs devant des boîtes fameuses.
D'un signe de la tête, Jérémy les salua puis nous mena dans la grande cage d'escalier jusqu'à son appartement, tout en haut de marches. Une petite porte en parfait état derrière laquelle résonnait déjà une musique battante nous accueillit.
-"Après vous" dit notre hôte en ouvrant la porte.
L'endroit était immense, bien trop grand pour un garçon de nos quartiers. Dans la partie visible de l'endroit, ce qui devait être le salon, on pouvait compter une cinquantaine de jeunes qui buvaient en groupes bien répartis et quelques uns qui dansaient, mais le spectacle le plus gênant avait lieu au fond, là où derrière deux piliers de bois, une jeune fille à moitié nue se faisait baiser par un garçon qui devait avoir quatre ans de plus qu'elle.
Immédiatement, je détournai le regard et posai les yeux sur Gwen pour m'apercevoir qu'elle m'avait déjà quittée pour rejoindre un groupe de buveurs.
Je me retrouvais seule, ne sachant que faire ni à qui parler. J'admirais l'aisance de mon amie à sympathiser, tous les regards s'étaient braqués sur elle à son entrée et cela semblait lui offrir un plaisir immense.
-"Léa, c'est ça ?" Demanda une voix qui me fit sursauter.
-"Oui, c'est ça" répondis-je machinalement.
Mon interlocuteur était un autre élève de seconde, habillé en chemise et jean noir, il était peut être l'un des plus chics de la soirée. Dans sa main, une bouteille de bière trônait fièrement, et il avait dans le sourire une sincérité qui me charma.
-"C'est la première fois que tu t'habilles comme ça, hein ?
-Possible, ouais. Pourquoi tu dis ça ?
-Tu rabaisse ton short en permanence et t'as l'air d'être complètement tétanisée. Je peux te passer un verre ?
-Euh... Oui..." Bégayai-je timidement.
Au lieu d'un verre, c'est sa bouteille de bière qu'il me tendit. Plus par politesse que par envie, j'en absorbais quelques gorgées avant de reposer mes yeux sur le garçon. Il avait mon âge, était d'origine européenne et arborait une tignasse noire qui lui allait à ravir. Je l'avais déjà croisé dans les couloirs du lycée, mais sans jamais y faire attention, peut être que comme moi il avait fait le choix d'être parfait pour cette soirée.
-"C'est marrant, ça te change du tout au tout cette tenue. T'as l'air plus libérée et à la fois plus coincée...
-C'est Gwendoline qui m'a fringuée comme ça, c'est pas trop mon genre d'habitude, comme tu l'as dit.
-Ouais, ça se voit. Tu viens pas trop aux soirées non plus, je me trompe ? Celles de Jérémy sont vraiment cool, tu vas voir.
-J'espère bien."
La discussion était complètement stagnante, je voyais bien qu'il essayait de me faire parler, mais je n'arrivais pas à sortir autre chose que des banalités affligeantes. Aussi remerciais-je le ciel lorsque Gwen nous tomba dessus, déjà à moitié ivre.
-"Alors Léa, on s'éclate ?" Demanda-t-elle en titubant. "C'est qui lui ? Tu vas le baiser ? Il est beau gosse.
-Euh bah...
-Toujours aussi bavarde hein ? Moi je me suis trouvé un mec, je te dis pas ! Bordel ça va être la nuit du siècle, il a des potes si tu veux. Ah tiens, d'ailleurs, t'en veux ?" M'interrogea-t-elle en pointant un joint dans ma direction.
Voyant que j'hésitais, mon prince charmant le récupéra lui même et pris quelques inspirations avant de me le tendre. Je ne consommais jamais de drogue, à part la cigarette si on pouvait la classer dans cette catégorie, mais à l'occasion je voyais mal ce qui pouvait m'empêcher de commencer.
Timidement, je pris quelques bouffées avant de le rendre à Gwen qui me tira vers un canapé où deux garçons discutaient avec une fille de terminale, une blonde aux formes plus que généreuses.
À partir de là, je vis la soirée défiler sous mes yeux, les verres s'enchaînaient avec les discussions idiotes et les crises de rires. À un moment, il n'y eut plus de bouteille sur la table et je fus désignée pour aller en récupérer. D'une démarche hésitante, je rejoignis l'endroit où elles étaient entassées, tout en voyant le monde tourner autour de moi.
Là, une fille me demanda mon nom avec un sourire malsain, elle me rappelait quelqu'un sans que je ne sache qui.
-"Léa, je me trompe ?" Me questionna-t-elle.
-"C'est ça, pourquoi ?
-Pour être sûre, tiens, t'as l'air assoiffée" dit-elle en me tendant un verre.
Ça n'était pas la stricte vérité, mais j'étais incapable de refuser le moindre alcool, j'avais le sentiment de m'éclater à un niveau inimaginable et ce nouveau verre ne pouvait que renforcer mon plaisir.
Sauf qu'en revenant à la table de Gwen, je me sentis légèrement partir. Mon amie se levait en compagnie de la blonde et d'un des garçons, me laissant seule avec le second. Ce dernier me fixa droit dans les yeux, un sourire sur le visage.
-"Bon, on va conclure ?"
Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait, mais j'acquiesçai stupidement et, l'instant d'après, je me retrouvais dans une chambre seule avec lui. Sa bouche courrait le long de mon corps alors qu'il ôtait mon short et, même si j'étais légèrement perdue, je savais que j'aimais ça. Je sentais des frissons de plaisir parcourir ma peau à chacun de ses baisers.
Lorsque qu'il eut finit de me dévêtir, ses yeux se posèrent sur mes pieds pour remonter le long de mes jambes et s'arrêter sur mon vagin. Inutilement, je serrais les jambes pour le lui cacher, mais il me poussa sur le lit et me força à les écarter, ce à quoi je n'opposais pas la moindre résistance.
En une seconde, lui aussi s'était déshabillé et j’eus à peine le temps de lever la tête pour regarder son sexe qu'il me retournait pour me plaquer le ventre contre le matelas. Sa main s'appuya sur ma tête, m'empêchant de la relever et forçant ma bouche à côtoyer les couvertures.
Là, je le sentis entrer en moi, il y eut d'abord un frisson mêlé à un gémissement de plaisir, puis ce fut la douleur. Son pénis se balançait en moi, il était le premier que j'accueillais et j'avais le sentiment qu'il détruisait tout sur son passage. C'était d'une étrange violence, plus le temps passait et plus il allait vite, plus c'était destructeur, plus je criais fort et plus la couette étouffait mes plaintes.
Je me sentais détruite de l'intérieur, la douleur était extrêmement intense, mais elle partageait sa place avec un plaisir nouveau. C'était étrange, mais derrière la souffrance se cachait un petite flamme qui naquit au niveau de mon sexe, puis commença à grandir.
Et alors, je ne sus plus si je criais à cause du plaisir ou de la souffrance. Le brasier grandissait en moi, j'avais le sentiment de quitter mon corps au fur et à mesure que le garçon me faisait de plus en plus mal. Incapable de bouger, étouffant presque collée au lit, je ne pouvais que subir les bons vouloirs de mon partenaire.
Puis enfin, ce fut l'explosion, mon corps se raidit avant de s'agiter en convulsions que même l'inconnu ne put retenir, comme si mon corps était sur le point d'exploser sous le coup d'un plaisir extrêmement intense, de la pointe de mes pieds aux racines de mes cheveux, tout n'était qu'un plaisir suprême et indescriptible qui se libéra dans un hurlement qui m'étonna moi-même, puis le brasier retomba.
Mais la flamme continuait à brûler au fond de moi, plus légère qu'avant mais bien présente, et tandis que la douleur s'atténuait, je le sentis sortir de moi. Je n'avais plus la force de bouger, seulement celle de sentir un liquide étrange se déverser sur mes fesses, puis je quittais mon esprit embrumé par l'alcool vers le sommeil...
D'un signe de la tête, Jérémy les salua puis nous mena dans la grande cage d'escalier jusqu'à son appartement, tout en haut de marches. Une petite porte en parfait état derrière laquelle résonnait déjà une musique battante nous accueillit.
-"Après vous" dit notre hôte en ouvrant la porte.
L'endroit était immense, bien trop grand pour un garçon de nos quartiers. Dans la partie visible de l'endroit, ce qui devait être le salon, on pouvait compter une cinquantaine de jeunes qui buvaient en groupes bien répartis et quelques uns qui dansaient, mais le spectacle le plus gênant avait lieu au fond, là où derrière deux piliers de bois, une jeune fille à moitié nue se faisait baiser par un garçon qui devait avoir quatre ans de plus qu'elle.
Immédiatement, je détournai le regard et posai les yeux sur Gwen pour m'apercevoir qu'elle m'avait déjà quittée pour rejoindre un groupe de buveurs.
Je me retrouvais seule, ne sachant que faire ni à qui parler. J'admirais l'aisance de mon amie à sympathiser, tous les regards s'étaient braqués sur elle à son entrée et cela semblait lui offrir un plaisir immense.
-"Léa, c'est ça ?" Demanda une voix qui me fit sursauter.
-"Oui, c'est ça" répondis-je machinalement.
Mon interlocuteur était un autre élève de seconde, habillé en chemise et jean noir, il était peut être l'un des plus chics de la soirée. Dans sa main, une bouteille de bière trônait fièrement, et il avait dans le sourire une sincérité qui me charma.
-"C'est la première fois que tu t'habilles comme ça, hein ?
-Possible, ouais. Pourquoi tu dis ça ?
-Tu rabaisse ton short en permanence et t'as l'air d'être complètement tétanisée. Je peux te passer un verre ?
-Euh... Oui..." Bégayai-je timidement.
Au lieu d'un verre, c'est sa bouteille de bière qu'il me tendit. Plus par politesse que par envie, j'en absorbais quelques gorgées avant de reposer mes yeux sur le garçon. Il avait mon âge, était d'origine européenne et arborait une tignasse noire qui lui allait à ravir. Je l'avais déjà croisé dans les couloirs du lycée, mais sans jamais y faire attention, peut être que comme moi il avait fait le choix d'être parfait pour cette soirée.
-"C'est marrant, ça te change du tout au tout cette tenue. T'as l'air plus libérée et à la fois plus coincée...
-C'est Gwendoline qui m'a fringuée comme ça, c'est pas trop mon genre d'habitude, comme tu l'as dit.
-Ouais, ça se voit. Tu viens pas trop aux soirées non plus, je me trompe ? Celles de Jérémy sont vraiment cool, tu vas voir.
-J'espère bien."
La discussion était complètement stagnante, je voyais bien qu'il essayait de me faire parler, mais je n'arrivais pas à sortir autre chose que des banalités affligeantes. Aussi remerciais-je le ciel lorsque Gwen nous tomba dessus, déjà à moitié ivre.
-"Alors Léa, on s'éclate ?" Demanda-t-elle en titubant. "C'est qui lui ? Tu vas le baiser ? Il est beau gosse.
-Euh bah...
-Toujours aussi bavarde hein ? Moi je me suis trouvé un mec, je te dis pas ! Bordel ça va être la nuit du siècle, il a des potes si tu veux. Ah tiens, d'ailleurs, t'en veux ?" M'interrogea-t-elle en pointant un joint dans ma direction.
Voyant que j'hésitais, mon prince charmant le récupéra lui même et pris quelques inspirations avant de me le tendre. Je ne consommais jamais de drogue, à part la cigarette si on pouvait la classer dans cette catégorie, mais à l'occasion je voyais mal ce qui pouvait m'empêcher de commencer.
Timidement, je pris quelques bouffées avant de le rendre à Gwen qui me tira vers un canapé où deux garçons discutaient avec une fille de terminale, une blonde aux formes plus que généreuses.
À partir de là, je vis la soirée défiler sous mes yeux, les verres s'enchaînaient avec les discussions idiotes et les crises de rires. À un moment, il n'y eut plus de bouteille sur la table et je fus désignée pour aller en récupérer. D'une démarche hésitante, je rejoignis l'endroit où elles étaient entassées, tout en voyant le monde tourner autour de moi.
Là, une fille me demanda mon nom avec un sourire malsain, elle me rappelait quelqu'un sans que je ne sache qui.
-"Léa, je me trompe ?" Me questionna-t-elle.
-"C'est ça, pourquoi ?
-Pour être sûre, tiens, t'as l'air assoiffée" dit-elle en me tendant un verre.
Ça n'était pas la stricte vérité, mais j'étais incapable de refuser le moindre alcool, j'avais le sentiment de m'éclater à un niveau inimaginable et ce nouveau verre ne pouvait que renforcer mon plaisir.
Sauf qu'en revenant à la table de Gwen, je me sentis légèrement partir. Mon amie se levait en compagnie de la blonde et d'un des garçons, me laissant seule avec le second. Ce dernier me fixa droit dans les yeux, un sourire sur le visage.
-"Bon, on va conclure ?"
Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait, mais j'acquiesçai stupidement et, l'instant d'après, je me retrouvais dans une chambre seule avec lui. Sa bouche courrait le long de mon corps alors qu'il ôtait mon short et, même si j'étais légèrement perdue, je savais que j'aimais ça. Je sentais des frissons de plaisir parcourir ma peau à chacun de ses baisers.
Lorsque qu'il eut finit de me dévêtir, ses yeux se posèrent sur mes pieds pour remonter le long de mes jambes et s'arrêter sur mon vagin. Inutilement, je serrais les jambes pour le lui cacher, mais il me poussa sur le lit et me força à les écarter, ce à quoi je n'opposais pas la moindre résistance.
En une seconde, lui aussi s'était déshabillé et j’eus à peine le temps de lever la tête pour regarder son sexe qu'il me retournait pour me plaquer le ventre contre le matelas. Sa main s'appuya sur ma tête, m'empêchant de la relever et forçant ma bouche à côtoyer les couvertures.
Là, je le sentis entrer en moi, il y eut d'abord un frisson mêlé à un gémissement de plaisir, puis ce fut la douleur. Son pénis se balançait en moi, il était le premier que j'accueillais et j'avais le sentiment qu'il détruisait tout sur son passage. C'était d'une étrange violence, plus le temps passait et plus il allait vite, plus c'était destructeur, plus je criais fort et plus la couette étouffait mes plaintes.
Je me sentais détruite de l'intérieur, la douleur était extrêmement intense, mais elle partageait sa place avec un plaisir nouveau. C'était étrange, mais derrière la souffrance se cachait un petite flamme qui naquit au niveau de mon sexe, puis commença à grandir.
Et alors, je ne sus plus si je criais à cause du plaisir ou de la souffrance. Le brasier grandissait en moi, j'avais le sentiment de quitter mon corps au fur et à mesure que le garçon me faisait de plus en plus mal. Incapable de bouger, étouffant presque collée au lit, je ne pouvais que subir les bons vouloirs de mon partenaire.
Puis enfin, ce fut l'explosion, mon corps se raidit avant de s'agiter en convulsions que même l'inconnu ne put retenir, comme si mon corps était sur le point d'exploser sous le coup d'un plaisir extrêmement intense, de la pointe de mes pieds aux racines de mes cheveux, tout n'était qu'un plaisir suprême et indescriptible qui se libéra dans un hurlement qui m'étonna moi-même, puis le brasier retomba.
Mais la flamme continuait à brûler au fond de moi, plus légère qu'avant mais bien présente, et tandis que la douleur s'atténuait, je le sentis sortir de moi. Je n'avais plus la force de bouger, seulement celle de sentir un liquide étrange se déverser sur mes fesses, puis je quittais mon esprit embrumé par l'alcool vers le sommeil...