Note de la fic :
Publié le 30/04/2014 à 01:52:06 par Bay
Chapitre 94
Cette rencontre m'avait au moins permis d'atteindre mon but. Une fois arrivée sur place, nous rentrions dans la maison que je connaissais si bien, puis après s'être installé sur le canapé, je demandai à Julie où était Mélanie. Julie ne répondit pas, vint s'asseoir près de moi, avant de poser sa main sur ma cuisse, en approchant lentement ses lèvres, collées sur les miennes.
Je lui rendais ce baiser. Elle semblait surprise, mais fit comme si de rien n'était, et continua. Cela dura plusieurs dizaines de secondes qui me parurent très rapides. Je me sentais tellement bien à l'embrasser, j'avais oublié à quel point j'avais aimé ça la première fois. Elle s'écarta de moi pour se mettre debout, se poser à la fenêtre.
- Tu aurais une cigarette ?
- Tu fumes toi ?
- Seulement quand je me sens bien
Je lui donnais une cigarette en tirant un peu la gueule ( J'aime pas ceux qui taxent ), puis je la regardais. Elle était habillée très sobrement, une légère chemise à carreau noire et bleu marine avec short noir assez court, qui laissait entrevoir ses cuisses. Cette vue ne me laissait pas indifférent, et cela me fit remémorer ce qui s'était passé la dernière fois. Bien que cela avait crée plein d'histoires, notamment avec Mélanie et Laura, j'avais du mal à m'en vouloir. J'avais agis à l'instinct, et j'avais foutrement apprécié, je ne regrettais pas le geste. Je regrettais juste de ne pas avoir lâché Mélanie avant de le faire, car de toute évidence je ne l'aimais plus. Parfois, je me demandais même si je l'avais déjà réellement aimé.
- Alors, elle est où Mel ?
- ... mais t'es vraiment con ou quoi ?
- Comment ça ?
- Elle est pas là. T'as pas compris quand je t'ai embrassé ?
- Hmmmmmh. D'ailleurs, tu peux m'expliquer ?
- T'expliquer quoi ? A toi de m'expliquer pourquoi tu m'as pas repoussé
"Parce que j'ai envie de te baiser". Voilà ce que mon esprit à immédiatement pensé. J'en avais tellement envie, mais ce que ça avait provoqué la première fois me refroidissait un peu. Et puis, le voulait-elle ? Je n'en savais rien, j'avais du mal à la cerner. Déjà l'autre fois, elle me faisait cette impression. Pourquoi avait-elle voulu coucher avec moi comme ça, pour sa première fois, moi qui était le copain de sa sœur, alors qu'elle même était dans la maison ? Ça me paraissait tellement louche, je ne trouvais aucune explication rationnelle.
- Je peux savoir ce que je fais-là alors, s'il n'y a pas ta sœur ?
- Bah je sais pas, c'est toi qui voulait voir du monde, non ? Et puis, on s'est pas revu depuis un moment.
- Et donc ?
- Ha bah dis donc t'es un vrai mec toi, tu couches avec quelqu'un et tu l'oublies comme ça ? Je te rappelle que je me suis donné à toi.
- Bref, tu ne réponds pas à ma question.
- Ça me parait évident, t'es vraiment nul.
Je me levais alors à mon tour, pour me diriger vers elle, qui était encore adossé au barreau de la fenêtre grande ouverte. Sans attendre, je mis une main sur sa hanche, l'autre sur sa joue, pour l'embrasser à nouveau. Celui-là était plus fougueux, plus charnel. Le genre de baiser qui veut tout dire, celui qu'on partage plus rarement, dans des moments supposés plus intimes. C'était clairement ce qu'elle voulait, son sourire lorsque je me suis approché d'elle en était la confirmation.
J'avais envie de faire l'homme viril, entreprenant, j’eus donc l'excellente idée de la soulever, lui agrippant ses cuisses qui étaient en tailleur autour de ma taille, pour l'emmener à l'étage. Je n'étais pas venu souvent ici, mais j'avais l'impression de connaitre la maison par cœur, de savoir parfaitement ce que j'y faisais.
Arrivé dans sa chambre, je la posais doucement sur son lit, tout en continuant à l'embrasser. Je n'étais pas concentré, et j'avais l'image de sa chambre en tête, en essayant de me rappeler comment j'avais fait la première fois. Rapidement, je me repris, tout en m'en voulant d'être aussi stupide "Mec, t'es avec une meuf et tout ce que tu penses c'est à l'architecture de la chambre ?". Pour oublier tout ça, je commençais à lui déboutonner sa chemise jusqu'au nombril, avant d’apercevoir sa petite poitrine, et son nombril que je m'empressais d'embrasser.
Cette rencontre m'avait au moins permis d'atteindre mon but. Une fois arrivée sur place, nous rentrions dans la maison que je connaissais si bien, puis après s'être installé sur le canapé, je demandai à Julie où était Mélanie. Julie ne répondit pas, vint s'asseoir près de moi, avant de poser sa main sur ma cuisse, en approchant lentement ses lèvres, collées sur les miennes.
Je lui rendais ce baiser. Elle semblait surprise, mais fit comme si de rien n'était, et continua. Cela dura plusieurs dizaines de secondes qui me parurent très rapides. Je me sentais tellement bien à l'embrasser, j'avais oublié à quel point j'avais aimé ça la première fois. Elle s'écarta de moi pour se mettre debout, se poser à la fenêtre.
- Tu aurais une cigarette ?
- Tu fumes toi ?
- Seulement quand je me sens bien
Je lui donnais une cigarette en tirant un peu la gueule ( J'aime pas ceux qui taxent ), puis je la regardais. Elle était habillée très sobrement, une légère chemise à carreau noire et bleu marine avec short noir assez court, qui laissait entrevoir ses cuisses. Cette vue ne me laissait pas indifférent, et cela me fit remémorer ce qui s'était passé la dernière fois. Bien que cela avait crée plein d'histoires, notamment avec Mélanie et Laura, j'avais du mal à m'en vouloir. J'avais agis à l'instinct, et j'avais foutrement apprécié, je ne regrettais pas le geste. Je regrettais juste de ne pas avoir lâché Mélanie avant de le faire, car de toute évidence je ne l'aimais plus. Parfois, je me demandais même si je l'avais déjà réellement aimé.
- Alors, elle est où Mel ?
- ... mais t'es vraiment con ou quoi ?
- Comment ça ?
- Elle est pas là. T'as pas compris quand je t'ai embrassé ?
- Hmmmmmh. D'ailleurs, tu peux m'expliquer ?
- T'expliquer quoi ? A toi de m'expliquer pourquoi tu m'as pas repoussé
"Parce que j'ai envie de te baiser". Voilà ce que mon esprit à immédiatement pensé. J'en avais tellement envie, mais ce que ça avait provoqué la première fois me refroidissait un peu. Et puis, le voulait-elle ? Je n'en savais rien, j'avais du mal à la cerner. Déjà l'autre fois, elle me faisait cette impression. Pourquoi avait-elle voulu coucher avec moi comme ça, pour sa première fois, moi qui était le copain de sa sœur, alors qu'elle même était dans la maison ? Ça me paraissait tellement louche, je ne trouvais aucune explication rationnelle.
- Je peux savoir ce que je fais-là alors, s'il n'y a pas ta sœur ?
- Bah je sais pas, c'est toi qui voulait voir du monde, non ? Et puis, on s'est pas revu depuis un moment.
- Et donc ?
- Ha bah dis donc t'es un vrai mec toi, tu couches avec quelqu'un et tu l'oublies comme ça ? Je te rappelle que je me suis donné à toi.
- Bref, tu ne réponds pas à ma question.
- Ça me parait évident, t'es vraiment nul.
Je me levais alors à mon tour, pour me diriger vers elle, qui était encore adossé au barreau de la fenêtre grande ouverte. Sans attendre, je mis une main sur sa hanche, l'autre sur sa joue, pour l'embrasser à nouveau. Celui-là était plus fougueux, plus charnel. Le genre de baiser qui veut tout dire, celui qu'on partage plus rarement, dans des moments supposés plus intimes. C'était clairement ce qu'elle voulait, son sourire lorsque je me suis approché d'elle en était la confirmation.
J'avais envie de faire l'homme viril, entreprenant, j’eus donc l'excellente idée de la soulever, lui agrippant ses cuisses qui étaient en tailleur autour de ma taille, pour l'emmener à l'étage. Je n'étais pas venu souvent ici, mais j'avais l'impression de connaitre la maison par cœur, de savoir parfaitement ce que j'y faisais.
Arrivé dans sa chambre, je la posais doucement sur son lit, tout en continuant à l'embrasser. Je n'étais pas concentré, et j'avais l'image de sa chambre en tête, en essayant de me rappeler comment j'avais fait la première fois. Rapidement, je me repris, tout en m'en voulant d'être aussi stupide "Mec, t'es avec une meuf et tout ce que tu penses c'est à l'architecture de la chambre ?". Pour oublier tout ça, je commençais à lui déboutonner sa chemise jusqu'au nombril, avant d’apercevoir sa petite poitrine, et son nombril que je m'empressais d'embrasser.