Note de la fic :
Publié le 26/02/2015 à 21:37:55 par Bay
Chapitre 96
Un peu plus tard, en fin de soirée, je pris mon courage à deux mains, bien aidé par quelques verres envoyés en solitaire après ma virée avec Julie. Il le fallait, je le devais, je le devais pour moi et aussi pour enfin être débarrassé de ce sentiment de culpabilité latent qui venait s’interposer entre ma conscience et mes sentiments. Il était 23h, et je me trouvais en face de la maison de Laura.
Je ne savais pas comment faire. Je devais le faire, mais mon esprit était perdu. Se jeter à l'eau, et tout déballer à la fille qui nous plait est une des choses les plus difficiles à faire. Tu gagnes, ou tu perds tout. Quand la fille a une relation déjà intimes et amicales avec toi, c'est encore pire. J'aimais la relation que j'avais avec Laura, mais je voulais plus. Au départ, ce n'était qu'un fantasme, c'est devenu tellement plus avec le temps. Mes précédentes relations m'ont aidés à m'en apercevoir.
Je n'avais pas envie d’affronter ses parents et de devoir trouver une excuse pathétique pour pouvoir entrer voir Laura. Je pensais qu'il se douterait de quelque chose, pourtant je savais au fond que personne ne pouvait se douter de quelque chose comme ça. C'était trop fou, et c'était pour ça que c'était en train de me détruire de l'intérieur.
Je grimpais à l'arbre à côté de la maison de Laura puis montais sur la toiture avant d'accéder à la fenêtre. Laura avait un tout petit balcon qui débouchait de sa fenêtre, sur lequel je m'y posais. Ses rideaux étaient fermés, mais ils n'étaient pas totalement opaques et laissaient transparaitre un filet de lumière "Elle n'est pas couché, heureusement" pensais-je donc. J'attendais de voir une ombre apparaitre pour l'avertir doucement de ma présence, je ne voulais
pas prendre le risque que ses parents m'entendent, je ne voulais prendre aucun risque. C'était probablement ça mon problème, j'étais effrayé de tout, sans aucune lucidité.
Je la vis arriver. Ni une ni deux, je toquai à la porte, avant de voir sa tête à moitié surprise dépasser de sa fenêtre.
___________________________
2 semaines plus tôt
Une fois que j'avais fini de ranger le bordel, j'essayais de me mettre au lit pour m'endormir. Il était 4h du matin, et l'alcool m'était monté au cerveau. C'était sans compter la visite incongrue d'une personne inconnue. J'eus le temps de reconnaitre rapidement Laura, qui vint s'approcher de moi d'un pas lent avec un regard perçant.
Un peu plus tard, en fin de soirée, je pris mon courage à deux mains, bien aidé par quelques verres envoyés en solitaire après ma virée avec Julie. Il le fallait, je le devais, je le devais pour moi et aussi pour enfin être débarrassé de ce sentiment de culpabilité latent qui venait s’interposer entre ma conscience et mes sentiments. Il était 23h, et je me trouvais en face de la maison de Laura.
Je ne savais pas comment faire. Je devais le faire, mais mon esprit était perdu. Se jeter à l'eau, et tout déballer à la fille qui nous plait est une des choses les plus difficiles à faire. Tu gagnes, ou tu perds tout. Quand la fille a une relation déjà intimes et amicales avec toi, c'est encore pire. J'aimais la relation que j'avais avec Laura, mais je voulais plus. Au départ, ce n'était qu'un fantasme, c'est devenu tellement plus avec le temps. Mes précédentes relations m'ont aidés à m'en apercevoir.
Je n'avais pas envie d’affronter ses parents et de devoir trouver une excuse pathétique pour pouvoir entrer voir Laura. Je pensais qu'il se douterait de quelque chose, pourtant je savais au fond que personne ne pouvait se douter de quelque chose comme ça. C'était trop fou, et c'était pour ça que c'était en train de me détruire de l'intérieur.
Je grimpais à l'arbre à côté de la maison de Laura puis montais sur la toiture avant d'accéder à la fenêtre. Laura avait un tout petit balcon qui débouchait de sa fenêtre, sur lequel je m'y posais. Ses rideaux étaient fermés, mais ils n'étaient pas totalement opaques et laissaient transparaitre un filet de lumière "Elle n'est pas couché, heureusement" pensais-je donc. J'attendais de voir une ombre apparaitre pour l'avertir doucement de ma présence, je ne voulais
pas prendre le risque que ses parents m'entendent, je ne voulais prendre aucun risque. C'était probablement ça mon problème, j'étais effrayé de tout, sans aucune lucidité.
Je la vis arriver. Ni une ni deux, je toquai à la porte, avant de voir sa tête à moitié surprise dépasser de sa fenêtre.
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2 semaines plus tôt
Une fois que j'avais fini de ranger le bordel, j'essayais de me mettre au lit pour m'endormir. Il était 4h du matin, et l'alcool m'était monté au cerveau. C'était sans compter la visite incongrue d'une personne inconnue. J'eus le temps de reconnaitre rapidement Laura, qui vint s'approcher de moi d'un pas lent avec un regard perçant.