Note de la fic :
Publié le 21/03/2014 à 12:20:12 par Bay
Chapitre 91
Mélanie décida de prendre les choses en main ( ni voyez aucune allusion ) pour remettre un peu d'ambiance. Elle se dirigea dans la cuisine, pour prendre quelque chose dans que je n'arrivais pas à apercevoir d'où j'étais. Après avoir sorti un vieux cadavre qui trainait près de la poubelle, elle nous balança, tout sourire "Bon, ça vous dit un bon vieux jeu de la bouteille ? " , idée à laquelle je n'étais pas du tout chaud. Ça va encore foutre le bordel cette histoire.
On avait quoi, 14 ans ? C'était une pyjama party ou quoi le truc ? Ca ne m'emballait pas. Peu importe l'issu, je n'étais pas satisfait. Devoir embrasser Cassandra allait me mettre plus mal à l'aise qu'autre chose, concernant notre passif. Pour Mélanie, c'est un peu compliqué sachant que c'était toujours ambigu nous concernant. Et pour Laura, je n'en parle même pas. Et surtout, si cette enflure de Benjamin tombait sur Laura, je ne sais pas comment j'allais réagir. Par contre, les filles entre elles, nice !
- Ah ouais tu me fais plaisir ma Méloche ! balanca Benjamin avec une tête de
- Ahah c'est con mais c'est toujours marrant ce genre de truc quand on a un peu bu, non ?
- Bof, moi ça me fait chier.
- Rooooh Vincent, on s'en fout, ça va être marrant, non ?
Elle me dit ça avec un petit regard malicieux. Peu importe ce qu'elle disait, peu importe la manière, son regard arrivait toujours à me calmer, et surtout à me faire accepter n'importe quoi. Ça m’énervait, et en même temps elle arrivait à m'apaiser. Comme si elle lisait en moi. Chacune de ses répliques était une page qu'elle énonçait à haute voix, comme une récitation pour laquelle je n'avais aucun pouvoir et à laquelle j'assistais, impuissant. J'étais totalement hors de contrôle à ses paroles, et je me contentais d’acquiescer, un sourire niais dessiné sur ma bouche en guise de réponse.
Mais en même temps, j'étais heureux. Heureux de voir que quelqu'un arrivait à me mettre autant à l'aise, et arrivait à me comprendre de cette manière. Le plus étrange, c'est qu'il y a encore quelque mois, nous n'étions pratiquement plus en contact. Cette proximité c'était installée naturellement, pour mon plus grand plaisir.
Mélanie s'empara de la bouteille, et décida de commencer. Je haussai les épaules, l'air complaisant, et décidai de les rejoindre, assis en tailleur, en cercle. La bouteille lançait, elle s'arrêta en direction de Laura. Cela me plaisait, et mon rire résonnait dans la salle.
- AH bah, tu vois que c'est pas si mal comme jeu mon p'tit Vince Allez, la galoche les coquines !
- Non, non, c'est juste un smack espèce de con, tu croyais quoi !
- Roh, c'est nul
Mélanie s'avançait lentement vers Laura, qui était en face de moi. Mélanie se trouvant à ma droite, je pu reluquer tranquillement son postérieur pendant qu'elle se dirigeait vers Laura. Cette vue ne me déplaisait pas, et son slim assez moulant, mettant ses attributs en valeur. Je me remémorais alors les moments passait avec elle, notamment les plus intimes, et cette pensait me fit presque avoir une demi-molle Parce que malgré tout, Mélanie était vachement bien foutue.
Une fois arrivait près de Laura, elle l'agrippait par le cou, mit lentement ses lèvres contre les siennes, et après 2 petites secondes, les enlevait. Elles se regardèrent fixement, puis se mirent à rire à gorge déployée.
- Oh putain, comment ça m'excite ces conneries
- Roh tu vas arrêter oui, sinon tu joues pas ! Lui dit Mélanie, en lui tapant légèrement le bras. Bon, à toi Laura !
C'étiat au tour de Laura. J'entrais dans une profonde réflexion, encore et toujours sur elle, sur nous, sur tout ce qu'on avait véçu ces derniers mois. A peine avais-je eu le temps de penser à ça, que je vis le bouchon de la bouteille, pointé face à moi. Je ne savais pas quoi faire. Un coup de chaud vint directement m'envahir, cette terrible sensation de ne plus savoir où se mettre, de ne plus savoir quoi faire tellement on est submergé par une situation honteuse. C'est exactement ce que je ressentais, je ne savais clairement pas comment agir. Je devais aller vers elle ? La laisser venir vers moi ? Dire que je ne le ferais pas ? Quelle réaction avoir, et surtout quelle réaction pour satisfaire tout le monde, et ne pas passer pour une fiente aux yeux de Laura ? Il fallait que je parle, je devais intervenir pour mettre fin à ce silence pesant.
- Heu, on est cencé faire quoi ?
- Bof tu sais moi je m'en fiche, ça me dérange pas, et puis on est même pas cousin par le sang donc
Ce dernier argument vint me clouer sur place. "On est même pas cousin par le sang", le truc que je me répétais sans cesse depuis des mois pour justifier mes fantasmes tordus. Y avait-elle aussi pensé ? Cependant, le ton qu'elle avait employé ne me confirmait pas cette hypothèse. C'était un ton légèrement condescendant, comme si elle se fichait clairement de le faire ou non, alors que dasn ma tête je bouillais d'envie de la prendre par la hanche, l'embrasser, la caresser, la serrer fort contre moi, et tout lui déballer.
Je me levais, me mis dos la fenêtre grande ouverte avant d'allumer une cigarette. Les autres firent de même, comme pour faire une pause à ce jeu stupide. Cependant, Laura commenca à se diriger vers moi, le regard perçant. Une fois suffisament près, elle commença à fermer les yeux, rapprochant doucement ses lèvres contre les miennes avant de les poser délicatement. Ses mains bras étaient pendus dans le vide, avant que je ne les lui tienne, sous les yeux étonnés des autres. Ce baiser était différent de celui échangé avec Mélanie, il semblait plus sincère, et surtout plus charnel. Après quelques secondes de bonheur, je sentis Laura ouvrir délicatement ses lèvres, puis frotter légèrement sa douce langue contre la mienne.
Mélanie décida de prendre les choses en main ( ni voyez aucune allusion ) pour remettre un peu d'ambiance. Elle se dirigea dans la cuisine, pour prendre quelque chose dans que je n'arrivais pas à apercevoir d'où j'étais. Après avoir sorti un vieux cadavre qui trainait près de la poubelle, elle nous balança, tout sourire "Bon, ça vous dit un bon vieux jeu de la bouteille ? " , idée à laquelle je n'étais pas du tout chaud. Ça va encore foutre le bordel cette histoire.
On avait quoi, 14 ans ? C'était une pyjama party ou quoi le truc ? Ca ne m'emballait pas. Peu importe l'issu, je n'étais pas satisfait. Devoir embrasser Cassandra allait me mettre plus mal à l'aise qu'autre chose, concernant notre passif. Pour Mélanie, c'est un peu compliqué sachant que c'était toujours ambigu nous concernant. Et pour Laura, je n'en parle même pas. Et surtout, si cette enflure de Benjamin tombait sur Laura, je ne sais pas comment j'allais réagir. Par contre, les filles entre elles, nice !
- Ah ouais tu me fais plaisir ma Méloche ! balanca Benjamin avec une tête de
- Ahah c'est con mais c'est toujours marrant ce genre de truc quand on a un peu bu, non ?
- Bof, moi ça me fait chier.
- Rooooh Vincent, on s'en fout, ça va être marrant, non ?
Elle me dit ça avec un petit regard malicieux. Peu importe ce qu'elle disait, peu importe la manière, son regard arrivait toujours à me calmer, et surtout à me faire accepter n'importe quoi. Ça m’énervait, et en même temps elle arrivait à m'apaiser. Comme si elle lisait en moi. Chacune de ses répliques était une page qu'elle énonçait à haute voix, comme une récitation pour laquelle je n'avais aucun pouvoir et à laquelle j'assistais, impuissant. J'étais totalement hors de contrôle à ses paroles, et je me contentais d’acquiescer, un sourire niais dessiné sur ma bouche en guise de réponse.
Mais en même temps, j'étais heureux. Heureux de voir que quelqu'un arrivait à me mettre autant à l'aise, et arrivait à me comprendre de cette manière. Le plus étrange, c'est qu'il y a encore quelque mois, nous n'étions pratiquement plus en contact. Cette proximité c'était installée naturellement, pour mon plus grand plaisir.
Mélanie s'empara de la bouteille, et décida de commencer. Je haussai les épaules, l'air complaisant, et décidai de les rejoindre, assis en tailleur, en cercle. La bouteille lançait, elle s'arrêta en direction de Laura. Cela me plaisait, et mon rire résonnait dans la salle.
- AH bah, tu vois que c'est pas si mal comme jeu mon p'tit Vince Allez, la galoche les coquines !
- Non, non, c'est juste un smack espèce de con, tu croyais quoi !
- Roh, c'est nul
Mélanie s'avançait lentement vers Laura, qui était en face de moi. Mélanie se trouvant à ma droite, je pu reluquer tranquillement son postérieur pendant qu'elle se dirigeait vers Laura. Cette vue ne me déplaisait pas, et son slim assez moulant, mettant ses attributs en valeur. Je me remémorais alors les moments passait avec elle, notamment les plus intimes, et cette pensait me fit presque avoir une demi-molle Parce que malgré tout, Mélanie était vachement bien foutue.
Une fois arrivait près de Laura, elle l'agrippait par le cou, mit lentement ses lèvres contre les siennes, et après 2 petites secondes, les enlevait. Elles se regardèrent fixement, puis se mirent à rire à gorge déployée.
- Oh putain, comment ça m'excite ces conneries
- Roh tu vas arrêter oui, sinon tu joues pas ! Lui dit Mélanie, en lui tapant légèrement le bras. Bon, à toi Laura !
C'étiat au tour de Laura. J'entrais dans une profonde réflexion, encore et toujours sur elle, sur nous, sur tout ce qu'on avait véçu ces derniers mois. A peine avais-je eu le temps de penser à ça, que je vis le bouchon de la bouteille, pointé face à moi. Je ne savais pas quoi faire. Un coup de chaud vint directement m'envahir, cette terrible sensation de ne plus savoir où se mettre, de ne plus savoir quoi faire tellement on est submergé par une situation honteuse. C'est exactement ce que je ressentais, je ne savais clairement pas comment agir. Je devais aller vers elle ? La laisser venir vers moi ? Dire que je ne le ferais pas ? Quelle réaction avoir, et surtout quelle réaction pour satisfaire tout le monde, et ne pas passer pour une fiente aux yeux de Laura ? Il fallait que je parle, je devais intervenir pour mettre fin à ce silence pesant.
- Heu, on est cencé faire quoi ?
- Bof tu sais moi je m'en fiche, ça me dérange pas, et puis on est même pas cousin par le sang donc
Ce dernier argument vint me clouer sur place. "On est même pas cousin par le sang", le truc que je me répétais sans cesse depuis des mois pour justifier mes fantasmes tordus. Y avait-elle aussi pensé ? Cependant, le ton qu'elle avait employé ne me confirmait pas cette hypothèse. C'était un ton légèrement condescendant, comme si elle se fichait clairement de le faire ou non, alors que dasn ma tête je bouillais d'envie de la prendre par la hanche, l'embrasser, la caresser, la serrer fort contre moi, et tout lui déballer.
Je me levais, me mis dos la fenêtre grande ouverte avant d'allumer une cigarette. Les autres firent de même, comme pour faire une pause à ce jeu stupide. Cependant, Laura commenca à se diriger vers moi, le regard perçant. Une fois suffisament près, elle commença à fermer les yeux, rapprochant doucement ses lèvres contre les miennes avant de les poser délicatement. Ses mains bras étaient pendus dans le vide, avant que je ne les lui tienne, sous les yeux étonnés des autres. Ce baiser était différent de celui échangé avec Mélanie, il semblait plus sincère, et surtout plus charnel. Après quelques secondes de bonheur, je sentis Laura ouvrir délicatement ses lèvres, puis frotter légèrement sa douce langue contre la mienne.