Note de la fic :
Pour survivre, faut-il aller jusqu'à tuer ?
Par : LePtitChatFou
Genre : Action, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7
Publié le 11/11/2013 à 21:08:02 par LePtitChatFou
[c] Chapitre 7 : Je te protègerai [/c]
Elle sorti un couteau. Elle s’apprêta à le planté. Elle avait l’air d’une folle. J’essayai de la maitriser tant bien que mal. Elle avait un regard déterminé, elle fixé sa cible tel un chasseur chassant sa proie. Je lui attrapai son bras et je réussi enfin à la maitriser. Le couteau tomba au sol. C’est alors qu’elle s’agenouilla par terre. Elle commençait à pleurer :
- Pourquoi ? Pourquoi tu ne me laisses pas le tuer ?
- Parce qu’on m’a toujours appris à protéger les autres.
- C’est…c’est pour ma sœur que je fais ça, dit-elle en sanglotant.
- Ta sœur ?
- Oui, cet enfoiré l’a violé et l’a tué.
- Zac ?
- Ma petite sœur de 14 ans, je l’ai vu se faire enlever par lui à la sortie de son collège et après je ne l’ai jamais revue.
- Pourquoi il n’est pas en prison dans ce cas ?
- Manque de preuve. Manque de preuve. Manque de preuve ! Le juge n’a cessé de me le répéter. Si je ne peux pas faire justice à ma sœur alors je ne mérite pas de vivre. Je vais me suicider, ce sera beaucoup mieux.
Elle commença à prendre son couteau. C’est à ce moment que je l’a pris dans mes bras. Elle n’apercevait pas mes yeux, juste des larmes qui coulaient le long de mes joues. J’avais l’air triste. Elle me repoussa et me dit :
- Ne me touche pas ! Laisse-moi tranquille.
- Alors pourquoi tu m’as demandé de venir ici pour t’aider ou t’arrêter ?
- Parce que… parce que…
- Parce que tu voulais que je t’arrête depuis le début. Tu savais très bien que je n’accepterai pas de coopérer avec toi.
- C’est faux ! Ce n’est pas…
Je l’a repris dans mes bras une seconde fois. Elle avait les larmes aux yeux :
- C’est fini maintenant, tu n’as plus besoin de t’en faire. Je suis là.
- C’est vrai, dit-elle d’un air surpris.
- Oui, ne t’inquiètes pas, je te protègerais.
On sorti de l’hôpital tout les deux. J’avais évité la mort de Zac et avais réussi à percer la vraie personnalité de Lyme. Je savais que tant que je serai auprès d’elle, elle pourra agir comme une fille normale. Lyme me dit :
- Dis.
- Oui ?
- Il est tard. Je peux dormir chez toi ce soir ?
- Quoi ? Euh oui okay, ma sœur a prévue des pommes de terre sauté avec de la viande ce soir.
- Ta sœur ? Tu as une sœur, dit-elle d’un air intéressé.
- Oui, elle s’appelle Kaya et…
Je réfléchi un instant. Comment cela se faisait-il qu’elle ne savait pas que j’avais une sœur alors qu’elle avait réussi à avoir pleins d’informations sur moi comme mon numéro de portable par exemple. Je lui demandai sans plus tarder :
- Mais attends. Comment cela se fait-il que tu ne le saches pas ? Toi qui me connaissais si bien avant même que je ne te connaisse.
- Euh et bien en fait, je me suis renseigner juste sur toi, pas sur tes fréquentations.
- Et tu n’es même pas à mon lycée, tu m’expliques ?
- J’ai menti. Mais si tu le veux tant que ça, je peux m’y inscrire, dit-elle en regardant autre part, comme si elle avait l’air gênée.
- Arf bref, on verra tout ça plus tard. J’ai faim alors allons chez moi !
- Ouiiii, me dit-elle en ayant pour la première fois réellement heureuse.
Elle sorti un couteau. Elle s’apprêta à le planté. Elle avait l’air d’une folle. J’essayai de la maitriser tant bien que mal. Elle avait un regard déterminé, elle fixé sa cible tel un chasseur chassant sa proie. Je lui attrapai son bras et je réussi enfin à la maitriser. Le couteau tomba au sol. C’est alors qu’elle s’agenouilla par terre. Elle commençait à pleurer :
- Pourquoi ? Pourquoi tu ne me laisses pas le tuer ?
- Parce qu’on m’a toujours appris à protéger les autres.
- C’est…c’est pour ma sœur que je fais ça, dit-elle en sanglotant.
- Ta sœur ?
- Oui, cet enfoiré l’a violé et l’a tué.
- Zac ?
- Ma petite sœur de 14 ans, je l’ai vu se faire enlever par lui à la sortie de son collège et après je ne l’ai jamais revue.
- Pourquoi il n’est pas en prison dans ce cas ?
- Manque de preuve. Manque de preuve. Manque de preuve ! Le juge n’a cessé de me le répéter. Si je ne peux pas faire justice à ma sœur alors je ne mérite pas de vivre. Je vais me suicider, ce sera beaucoup mieux.
Elle commença à prendre son couteau. C’est à ce moment que je l’a pris dans mes bras. Elle n’apercevait pas mes yeux, juste des larmes qui coulaient le long de mes joues. J’avais l’air triste. Elle me repoussa et me dit :
- Ne me touche pas ! Laisse-moi tranquille.
- Alors pourquoi tu m’as demandé de venir ici pour t’aider ou t’arrêter ?
- Parce que… parce que…
- Parce que tu voulais que je t’arrête depuis le début. Tu savais très bien que je n’accepterai pas de coopérer avec toi.
- C’est faux ! Ce n’est pas…
Je l’a repris dans mes bras une seconde fois. Elle avait les larmes aux yeux :
- C’est fini maintenant, tu n’as plus besoin de t’en faire. Je suis là.
- C’est vrai, dit-elle d’un air surpris.
- Oui, ne t’inquiètes pas, je te protègerais.
On sorti de l’hôpital tout les deux. J’avais évité la mort de Zac et avais réussi à percer la vraie personnalité de Lyme. Je savais que tant que je serai auprès d’elle, elle pourra agir comme une fille normale. Lyme me dit :
- Dis.
- Oui ?
- Il est tard. Je peux dormir chez toi ce soir ?
- Quoi ? Euh oui okay, ma sœur a prévue des pommes de terre sauté avec de la viande ce soir.
- Ta sœur ? Tu as une sœur, dit-elle d’un air intéressé.
- Oui, elle s’appelle Kaya et…
Je réfléchi un instant. Comment cela se faisait-il qu’elle ne savait pas que j’avais une sœur alors qu’elle avait réussi à avoir pleins d’informations sur moi comme mon numéro de portable par exemple. Je lui demandai sans plus tarder :
- Mais attends. Comment cela se fait-il que tu ne le saches pas ? Toi qui me connaissais si bien avant même que je ne te connaisse.
- Euh et bien en fait, je me suis renseigner juste sur toi, pas sur tes fréquentations.
- Et tu n’es même pas à mon lycée, tu m’expliques ?
- J’ai menti. Mais si tu le veux tant que ça, je peux m’y inscrire, dit-elle en regardant autre part, comme si elle avait l’air gênée.
- Arf bref, on verra tout ça plus tard. J’ai faim alors allons chez moi !
- Ouiiii, me dit-elle en ayant pour la première fois réellement heureuse.