Note de la fic :
Pour survivre, faut-il aller jusqu'à tuer ?
Par : LePtitChatFou
Genre : Action, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2
Publié le 10/11/2013 à 21:54:46 par LePtitChatFou
[c]Chapitre 2 : Une fille très étrange[/c]
Un cri avait retenti à l'étage du haut. C’était un cri fort, il provenait d’un homme, c’était comme si il se faisait frapper ou tuer carrément. Je me demandé ce qui se passé à l’étage du haut. C’est alors que j’entendis quelques portes du couloir s’ouvrir violement. Des profs et élèves sortaient dès salle car je les voyers passer devant les toilettes à vives allures. Je me disais à haute voix :
- Surement un entraînement pour une alerte incendie.
- T’es débile ou quoi mec, t’entends l’alarme incendie toi ?, me dit un élève que je ne connaissais pas mais qui m’avait entendu.
Il est vrai que l’alarme en cas d’incendie n’était pas active. C’était drôlement bizarre.
- Grouille-toi mec, je veux voir ce qu’il y a là-haut !, dit l’élève de façon colérique.
- Très bien j’arrive, moi aussi je veux savoir ce qu’il se passe !
« Tant pis ! » pensais-je, je finirai d’uriner plus tard.
Je me dépêchai de me laver les mains au lavabo et suivi ce mec que je venais de rencontrer. Je n’avais pas le choix, moi qui étais d’un naturel curieux également, je me hâtai de sortir des toilettes et d’aller en direction des escaliers pour me rendre au deuxième étage. J’avais quand même peur, si ça se trouve, quelqu’un qui avait été tué.
« C’est mon imagination. », me dis-je tout en rigolant dans ma tête.
Cela ne pouvait pas être possible au sein de notre lycée tout de même. C’est quand même un établissement qui est très bien surveillé. J’étais en train de monter les marches en compagnie de cet autre élève que je venais à peine de rencontrer. Mais on s’en foutaient, nous voulions absolument savoir ce qui était arrivé. Il y avait pas mal de monde, les gens se bousculaient pour monter les marches. Quand j’atteignis enfin le deuxième étage, j’entendis une voix dans le couloir, c'était celle de l'adjoint du proviseur, il disait :
- Reculer, reculer ! Et que quelqu’un appelle une ambulance, vite !
Il y avait pas mal de monde devant moi mais avec insistance, je réussi à me frayer un chemin. C’est alors que je vis au loin un corps allongé, ensanglanté au niveau du bas du corps. Il avait été poignardé au niveau de la jambe droite, un couteau était juste à coté de lui. C'était un garçon, et il avait l’air d’être dans un état critique. J’entendis des étudiants parler :
- Vous croyez qu’il est mort ?
- Pas possible…
- Je n’y crois pas, il s’est juste évanoui !
- Tu as vu la quantité de sang, il est mort, c’est obligé.
- Mais je le reconnais ! C’est Zac Eimerde !
- Oui c’est bien lui ! Pourquoi cela lui est-il arrivé ? Il a voulu se suicider ?
- Taisez-vous un peu, dit le directeur adjoint. Ne vous ai-je pas dit de reculer ? Partez maintenant !
Tout le monde était sous le choc. La plupart des étudiants avaient le regard figé sur le corps de Zac, leurs yeux écarquillés et personne ne voulez bouger. Le directeur adjoint repris :
- Et cette ambulance, elle arrive ?!
- Oui, monsieur, elle est route, elle arrive dans 5 minutes, répondit un élève.
D’ailleurs cet élève, je le connaissais, c’était Arthur. Un vieil ami d’enfance que je croisé de temps en temps dans l’établissement. Il est en terminal si je me rappelle bien, dans la section S. Il a les cheveux mi-longs noirs avec des yeux de la même couleur. Il est plutôt grand et a pour habitude de ne mettre que des chemises à carreaux mais cela lui va plutôt bien. J’allai vers lui mais à cet instant, le directeur dit d’un air dépité :
- Les cours de cette après-midi sont annulés pour aujourd'hui, veuillez tous rentrer chez vous.
Tout le monde s’exécuta. Arthur commençait également à prendre la direction de l’escalier pour descendre et ainsi sortir du bâtiment. Je voulais absolument lui parler, il était arrivé au deuxième étage avant moi et peut-être savait-il ce qu’il s’était passé. J’avais beau essayé de l’appeler en criant son prénom, il ne se retourné pas. Peut-être faisait t-il semblant de ne pas m’entendre ou peut-être qu’il ne m’entendait pas avec tout le vacarme que faisaient les élèves. Je n’avais pas non plus envie de gueuler car je ne voulais pas passer pour un abruti. Mais je ne pu aller vers lui à cause de la foule. Sachant que serai en incapacité total de le rattraper, je me résignai à le suivre. Au pire, je l’appellerai à la sortie. Je fis donc comme tout le monde et descendis les escaliers tant bien que mal. Je sorti enfin du bâtiment. Une brise d’air frais me fit du bien. J’avais l’impression de pouvoir enfin respirer. Tous les élèves se dirigeaient vers la sortie du lycée. Il y avait encore pas mal de bruit donc je décidai d’attendre encore un peu pour appeler Arthur. Personnellement, mon envie d’uriner me reprenait. Je n’avais pas fini totalement tout à l’heure. J’en profitai du coup pour aller dans le bâtiment B pour finir ma petite affaire.
J’entrai dans le bâtiment B, il n’y avait personne. Normal, il n’y avait pratiquement plus personnes au sein du lycée. J’allai en direction des toilettes, bien décider à terminer ce que j’avais commencé plus tôt.
- Ah…, dis-je tout en finissant. Cela fait du bien !
Voilà, j'avais fini, c'était mieux. J’allai vers le lavabo et me mis de l’eau sur le visage pour bien me réveiller. Je commençai à réaliser tout ce qui venait d’arriver. C’est alors que je me mis à trembler de partout. J’avais peur. Il est vrai que ce que pour pas mal d’élèves, ce qu’on avait vu plus tôt n’étaient pas banal. La preuve, personne ne s’imaginait que cela pourrait arriver. Mais les faits étaient là et il fallait s’y résoudre. Je ne pouvais pas me permettre de craquer pour ça.
« Je suis beaucoup plus fort que ça, je suis beaucoup plus fort que ça, je suis beaucoup plus fort que ça », me répétais-je sans cesse.
Il fallait que je sois un modèle exemplaire pour ma sœur, qu’elle puisse compter sur moi. Alors il était tout simplement hors de question de me laisser dominer par la peur. Et puis, si ça se trouve, Zac Eimerde comme il se prénomme n’était pas mort, cela pouvait être une éventualité.
Bref, je repris mes esprits 5 minutes plus tard. Je décidai alors de sortir des toilettes. C’est alors que je l’aperçu, elle qui se tenait debout devant moi. Elle avait les mains dans les poches d’une veste en coton de couleur vert qui recouvrait légèrement sa jupe plissée à carreaux rouge. Elle lui arrivait un peu au dessus de ses genoux. Elle avait également des bottines à lacets de couleurs marron et portée des collants noir opaques. Ses cheveux lui arrivaient jusqu’au milieu du dos. Brune, elle avait un peu maquillée ses yeux noir ce qui les mettaient en valeur. Elle faisait à peu près ma taille. Je ne distingué pas très bien son visage car le bâtiment dans lequel je me situé était très mal éclairé et qu’il n’y avait pas de fenêtres au loin pour que l’on puisse apercevoir le jour. Rien qu'en la regardant, elle m'a tout de suite attiré. Car en effet, elle était très jolie. Mais quelque chose me mettait mal à l'aise. Et j'avais justement l'impression que cela venait d'elle. D’ailleurs, je n'avais pas tord.
Un cri avait retenti à l'étage du haut. C’était un cri fort, il provenait d’un homme, c’était comme si il se faisait frapper ou tuer carrément. Je me demandé ce qui se passé à l’étage du haut. C’est alors que j’entendis quelques portes du couloir s’ouvrir violement. Des profs et élèves sortaient dès salle car je les voyers passer devant les toilettes à vives allures. Je me disais à haute voix :
- Surement un entraînement pour une alerte incendie.
- T’es débile ou quoi mec, t’entends l’alarme incendie toi ?, me dit un élève que je ne connaissais pas mais qui m’avait entendu.
Il est vrai que l’alarme en cas d’incendie n’était pas active. C’était drôlement bizarre.
- Grouille-toi mec, je veux voir ce qu’il y a là-haut !, dit l’élève de façon colérique.
- Très bien j’arrive, moi aussi je veux savoir ce qu’il se passe !
« Tant pis ! » pensais-je, je finirai d’uriner plus tard.
Je me dépêchai de me laver les mains au lavabo et suivi ce mec que je venais de rencontrer. Je n’avais pas le choix, moi qui étais d’un naturel curieux également, je me hâtai de sortir des toilettes et d’aller en direction des escaliers pour me rendre au deuxième étage. J’avais quand même peur, si ça se trouve, quelqu’un qui avait été tué.
« C’est mon imagination. », me dis-je tout en rigolant dans ma tête.
Cela ne pouvait pas être possible au sein de notre lycée tout de même. C’est quand même un établissement qui est très bien surveillé. J’étais en train de monter les marches en compagnie de cet autre élève que je venais à peine de rencontrer. Mais on s’en foutaient, nous voulions absolument savoir ce qui était arrivé. Il y avait pas mal de monde, les gens se bousculaient pour monter les marches. Quand j’atteignis enfin le deuxième étage, j’entendis une voix dans le couloir, c'était celle de l'adjoint du proviseur, il disait :
- Reculer, reculer ! Et que quelqu’un appelle une ambulance, vite !
Il y avait pas mal de monde devant moi mais avec insistance, je réussi à me frayer un chemin. C’est alors que je vis au loin un corps allongé, ensanglanté au niveau du bas du corps. Il avait été poignardé au niveau de la jambe droite, un couteau était juste à coté de lui. C'était un garçon, et il avait l’air d’être dans un état critique. J’entendis des étudiants parler :
- Vous croyez qu’il est mort ?
- Pas possible…
- Je n’y crois pas, il s’est juste évanoui !
- Tu as vu la quantité de sang, il est mort, c’est obligé.
- Mais je le reconnais ! C’est Zac Eimerde !
- Oui c’est bien lui ! Pourquoi cela lui est-il arrivé ? Il a voulu se suicider ?
- Taisez-vous un peu, dit le directeur adjoint. Ne vous ai-je pas dit de reculer ? Partez maintenant !
Tout le monde était sous le choc. La plupart des étudiants avaient le regard figé sur le corps de Zac, leurs yeux écarquillés et personne ne voulez bouger. Le directeur adjoint repris :
- Et cette ambulance, elle arrive ?!
- Oui, monsieur, elle est route, elle arrive dans 5 minutes, répondit un élève.
D’ailleurs cet élève, je le connaissais, c’était Arthur. Un vieil ami d’enfance que je croisé de temps en temps dans l’établissement. Il est en terminal si je me rappelle bien, dans la section S. Il a les cheveux mi-longs noirs avec des yeux de la même couleur. Il est plutôt grand et a pour habitude de ne mettre que des chemises à carreaux mais cela lui va plutôt bien. J’allai vers lui mais à cet instant, le directeur dit d’un air dépité :
- Les cours de cette après-midi sont annulés pour aujourd'hui, veuillez tous rentrer chez vous.
Tout le monde s’exécuta. Arthur commençait également à prendre la direction de l’escalier pour descendre et ainsi sortir du bâtiment. Je voulais absolument lui parler, il était arrivé au deuxième étage avant moi et peut-être savait-il ce qu’il s’était passé. J’avais beau essayé de l’appeler en criant son prénom, il ne se retourné pas. Peut-être faisait t-il semblant de ne pas m’entendre ou peut-être qu’il ne m’entendait pas avec tout le vacarme que faisaient les élèves. Je n’avais pas non plus envie de gueuler car je ne voulais pas passer pour un abruti. Mais je ne pu aller vers lui à cause de la foule. Sachant que serai en incapacité total de le rattraper, je me résignai à le suivre. Au pire, je l’appellerai à la sortie. Je fis donc comme tout le monde et descendis les escaliers tant bien que mal. Je sorti enfin du bâtiment. Une brise d’air frais me fit du bien. J’avais l’impression de pouvoir enfin respirer. Tous les élèves se dirigeaient vers la sortie du lycée. Il y avait encore pas mal de bruit donc je décidai d’attendre encore un peu pour appeler Arthur. Personnellement, mon envie d’uriner me reprenait. Je n’avais pas fini totalement tout à l’heure. J’en profitai du coup pour aller dans le bâtiment B pour finir ma petite affaire.
J’entrai dans le bâtiment B, il n’y avait personne. Normal, il n’y avait pratiquement plus personnes au sein du lycée. J’allai en direction des toilettes, bien décider à terminer ce que j’avais commencé plus tôt.
- Ah…, dis-je tout en finissant. Cela fait du bien !
Voilà, j'avais fini, c'était mieux. J’allai vers le lavabo et me mis de l’eau sur le visage pour bien me réveiller. Je commençai à réaliser tout ce qui venait d’arriver. C’est alors que je me mis à trembler de partout. J’avais peur. Il est vrai que ce que pour pas mal d’élèves, ce qu’on avait vu plus tôt n’étaient pas banal. La preuve, personne ne s’imaginait que cela pourrait arriver. Mais les faits étaient là et il fallait s’y résoudre. Je ne pouvais pas me permettre de craquer pour ça.
« Je suis beaucoup plus fort que ça, je suis beaucoup plus fort que ça, je suis beaucoup plus fort que ça », me répétais-je sans cesse.
Il fallait que je sois un modèle exemplaire pour ma sœur, qu’elle puisse compter sur moi. Alors il était tout simplement hors de question de me laisser dominer par la peur. Et puis, si ça se trouve, Zac Eimerde comme il se prénomme n’était pas mort, cela pouvait être une éventualité.
Bref, je repris mes esprits 5 minutes plus tard. Je décidai alors de sortir des toilettes. C’est alors que je l’aperçu, elle qui se tenait debout devant moi. Elle avait les mains dans les poches d’une veste en coton de couleur vert qui recouvrait légèrement sa jupe plissée à carreaux rouge. Elle lui arrivait un peu au dessus de ses genoux. Elle avait également des bottines à lacets de couleurs marron et portée des collants noir opaques. Ses cheveux lui arrivaient jusqu’au milieu du dos. Brune, elle avait un peu maquillée ses yeux noir ce qui les mettaient en valeur. Elle faisait à peu près ma taille. Je ne distingué pas très bien son visage car le bâtiment dans lequel je me situé était très mal éclairé et qu’il n’y avait pas de fenêtres au loin pour que l’on puisse apercevoir le jour. Rien qu'en la regardant, elle m'a tout de suite attiré. Car en effet, elle était très jolie. Mais quelque chose me mettait mal à l'aise. Et j'avais justement l'impression que cela venait d'elle. D’ailleurs, je n'avais pas tord.