Note de la fic :
Publié le 30/10/2013 à 01:19:16 par UnEtreVertueux
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CHAPITRE VIII
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Chatelet était immense, une véritable ruche. Des flux incessants de population s'entremêlait et les nombreuses nuisances sensorielles qui en découlaient rendait l'expérience difficile. Mais mon dévouement à la grqnde besogne était intacte, et j'était désormais fièrement accompagné. Le jeune Sopphocle continua de rechigner un peu à me suivre : l'anxiété de la bleusaille face aux dangers inhérents à toute aventure. Mais je le rassura, et il finit par se lancer :
- T'es lourd putain. J'ai un peu de temps à perdre, alors je t'aide un peu à te guider dans le métro. Mais cinq minutes, pas plus !
Le garnement n'était pas avare en compliments, un trait de sa personnalité qu'il m'avait facétieusement caché !
Nous nous engageâmes sur d'étranges tapis métalliques, qui par quelques enchantements se mouvait en avant tout seul. La populace restait là, stoïque, face à pareil abberation ! Je n'ai jamais aimé la sorcellerie, difficile de s'y fier. Et ce qui n'est pas fiable n'inspire pas bonne confiance. Peu confiant j'étais donc durant cette lente chevauchée. Méfiant même. Mais pas effrayé, ça jamais. Sopphocle engagea la conversation. J'était pris par surprise, mais je sût me ressaisir avec brio.
- Au fait, tu t'appelles comment ?
- Hé toi donc jeune compagnon, quel est ton nom ?
- Bah, Sopphocle, je te l'ai dé...
- Enchanté jeune Sopphocle.
- Oui mais ton nom à toi, c'est quoi ?
- Eh bien comment souhaiterais tu me nommer ?
- Je sais pas... Simplet t'irais bien.
- Hé bien qu'il en soit ainsi, tu t'adresseras désormais à moi en m'appellant Chef.
- Hein ?
- Pas "Hein ?", "Hein Chef ?".
Je le pensais vif d'esprit, m'étais-je fourvoyé ? Impensable. Il semblait plutôt troublé, et un allié troublé n'est pas de la meilleure augure. Je m'enquit au plus vite de savoir ce qui le perturbait.
- Cela fait longtemps que je te connais Sopphocle, et c'est la première fois que je te vois dans un tel état. Tu sembles fort agité. Peut-être puis-je t'apporter quelques sages réponses.
- Ouais, j'aimerais bien savoir où on va ?
- "Où on va - Chef ?"
- Ouais ouais, j'aimerais bien savoir où on va chef ?
- Pertinente question, jeune ami, car nous sommes engagés dans une longue et périlleuse quête, et de grands enjeux se jouent en ce moment même. Les étapes seront nombreuses. Les dangers auront multiples facettes, alors nous devont être paré à toute éventualité.
- Ouais enfin je reste avec toi une demi-heure max' hein ? J'ai une soirée chez Capucine à 20 heures, et faut que je me prépare avant.
- Je ne connais pas ta gourgandine, l'ami, et je ne te savais pas aussi friand des plaisirs de la chair. Nous n'aurons pas le temps de rendre visite à ta bourgeoise, mais que tes pulsions ne s'affolent point, car peut-être trouveront nous en chemin quelques catins que tu pourras saillir.
- Euh..... ouais. Mais tu veux aller OÙ ?
- N'ouïes-tu donc point ? Je viens de te dire que nous sommes engagé dans...
- Quelle la prochaine étape, si tu préfères ?
- Une question pertinente ma foi. Sacré Sopphocle, décidemment tu ne changeras jamais !
Je le rétribua d'une petite bourrade dans le dos. L'étrange tapis arrivait à son terme et s'enfonçait dans le sol. Nous continuâmes donc notre chemin sur nos deux jambes.
- Hé bien vois-tu l'ami, après avoir trouver de l'équipement en ces lieux, nous prendrons route vers B... Holà, que se passe t-il donc au loin ?!
- Hein ?
CHAPITRE VIII
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Chatelet était immense, une véritable ruche. Des flux incessants de population s'entremêlait et les nombreuses nuisances sensorielles qui en découlaient rendait l'expérience difficile. Mais mon dévouement à la grqnde besogne était intacte, et j'était désormais fièrement accompagné. Le jeune Sopphocle continua de rechigner un peu à me suivre : l'anxiété de la bleusaille face aux dangers inhérents à toute aventure. Mais je le rassura, et il finit par se lancer :
- T'es lourd putain. J'ai un peu de temps à perdre, alors je t'aide un peu à te guider dans le métro. Mais cinq minutes, pas plus !
Le garnement n'était pas avare en compliments, un trait de sa personnalité qu'il m'avait facétieusement caché !
Nous nous engageâmes sur d'étranges tapis métalliques, qui par quelques enchantements se mouvait en avant tout seul. La populace restait là, stoïque, face à pareil abberation ! Je n'ai jamais aimé la sorcellerie, difficile de s'y fier. Et ce qui n'est pas fiable n'inspire pas bonne confiance. Peu confiant j'étais donc durant cette lente chevauchée. Méfiant même. Mais pas effrayé, ça jamais. Sopphocle engagea la conversation. J'était pris par surprise, mais je sût me ressaisir avec brio.
- Au fait, tu t'appelles comment ?
- Hé toi donc jeune compagnon, quel est ton nom ?
- Bah, Sopphocle, je te l'ai dé...
- Enchanté jeune Sopphocle.
- Oui mais ton nom à toi, c'est quoi ?
- Eh bien comment souhaiterais tu me nommer ?
- Je sais pas... Simplet t'irais bien.
- Hé bien qu'il en soit ainsi, tu t'adresseras désormais à moi en m'appellant Chef.
- Hein ?
- Pas "Hein ?", "Hein Chef ?".
Je le pensais vif d'esprit, m'étais-je fourvoyé ? Impensable. Il semblait plutôt troublé, et un allié troublé n'est pas de la meilleure augure. Je m'enquit au plus vite de savoir ce qui le perturbait.
- Cela fait longtemps que je te connais Sopphocle, et c'est la première fois que je te vois dans un tel état. Tu sembles fort agité. Peut-être puis-je t'apporter quelques sages réponses.
- Ouais, j'aimerais bien savoir où on va ?
- "Où on va - Chef ?"
- Ouais ouais, j'aimerais bien savoir où on va chef ?
- Pertinente question, jeune ami, car nous sommes engagés dans une longue et périlleuse quête, et de grands enjeux se jouent en ce moment même. Les étapes seront nombreuses. Les dangers auront multiples facettes, alors nous devont être paré à toute éventualité.
- Ouais enfin je reste avec toi une demi-heure max' hein ? J'ai une soirée chez Capucine à 20 heures, et faut que je me prépare avant.
- Je ne connais pas ta gourgandine, l'ami, et je ne te savais pas aussi friand des plaisirs de la chair. Nous n'aurons pas le temps de rendre visite à ta bourgeoise, mais que tes pulsions ne s'affolent point, car peut-être trouveront nous en chemin quelques catins que tu pourras saillir.
- Euh..... ouais. Mais tu veux aller OÙ ?
- N'ouïes-tu donc point ? Je viens de te dire que nous sommes engagé dans...
- Quelle la prochaine étape, si tu préfères ?
- Une question pertinente ma foi. Sacré Sopphocle, décidemment tu ne changeras jamais !
Je le rétribua d'une petite bourrade dans le dos. L'étrange tapis arrivait à son terme et s'enfonçait dans le sol. Nous continuâmes donc notre chemin sur nos deux jambes.
- Hé bien vois-tu l'ami, après avoir trouver de l'équipement en ces lieux, nous prendrons route vers B... Holà, que se passe t-il donc au loin ?!
- Hein ?
Commentaires
- Pseudo supprimé
30/10/2013 à 18:06:29
Ah, zut.
- UnEtreVertueux
30/10/2013 à 16:41:20
La fic n'est pas de moi hélas, je n'ai fait que la poster au nom de l'auteur car je la trouvais amusante
- Pseudo supprimé
30/10/2013 à 12:11:12
Pas mal, c'est assez amusant malgré quelques fautes. Dommage que tu ne continues pas.