Note de la fic : Non notée
Metroid__L__enigme_RV7
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : L'attaque
Publié le 19/08/2013 à 01:13:06 par Pseudo supprimé
Les passants vaquaient paisiblement dans les rues, entre les vaisseaux des particuliers et les machines d’entretien de la ville. Les hauts buildings formaient un gigantesque slalom pour les différents appareils volants dans les airs. Le brouhaha que formait tout ceci était difficilement supportable, à moins d’y être habitué.
Et justement, un bruit inhabituel vint se glisser au milieu du chahut. Il semblait s’agir d’un cri, très aigu, très strident. Les passants s’arrêtèrent quelques instants pour savoir ce qui avait produit ce son désagréable, encore plus que le reste. Levant la tête, ils ne purent voir qu’une ombre à contre-jour qui descendait vers la ville. Même les moins renseignés purent reconnaître aussitôt la silhouette qui se détachait sur le disque solaire. On distinguait clairement un corps à la fois massif et svelte, soutenue par deux ailes très larges. Une petite tête allongée se tenait au bout d’un cou mince. La queue du monstre pendait plus ou moins dans les airs, tout en se terminant par une pointe. Ce monstre, tout le monde savait qui c’était : un Dragotournos RV7, et pas n’importe lequel...
D’abord, ce fut l’incompréhension. Aux dernières nouvelles, Ridley avait été défait plusieurs fois, et la dernière fois qu’il avait été vu, c’est-à-dire à bord de la station spatiale BSL, la fameuse chasseuse Samus Aran l’avait une nouvelle fois mis hors course. Alors, comment pouvait-il se trouver là, dans le ciel de Faria, cette petite ville sans histoire de la planète DT-54 jusque là miraculeusement épargnée par les agissements des Pirates de l’Espace ?
Ensuite, la panique vint interrompre toutes les pensées insensées des badauds. Trois boules de feu vinrent s’écraser au beau milieu de la rue, carbonisant sur le coup des véhicules et des innocents. Tout le monde se dispersa en criant et en hurlant, comme si Ridley venait de donner un coup de pied dans une fourmilière. Certains se réfugièrent dans les immeubles, d’autres prirent leur véhicule pour fuir. En trente secondes, la rue était déserte. Les sirènes des forces spéciales résonnaient déjà trois rues plus loin, visiblement alertées très rapidement. Ou simplement avaient-elles aperçues elles aussi le danger dans le ciel. Plusieurs camions chargés d’armes anti-aériennes arrivaient déjà sur les lieux de l’agression. Pendant ce temps, où la confusion générale régnait, où même les militaires avaient du mal à comprendre ce qui se passait vraiment, l’agresseur en question en avait profité pour mettre le feu à un immeuble proche, puis pour se poser sur le toit d’un immeuble voisin. Il semblait attendre que le feu se propage, pour voir combien de personnes il pourrait tuer juste par ce simple incendie. Les gens commençaient à descendre les étages en poussant, d’autres tentaient de trouver de l’air en montant sur le toit. Bref, c’était un formidable méli-mélo, et Ridley était le seul qui semblait trouver cela amusant.
Il fut tout à coup touché de plein fouet par une roquette lancée depuis le sol. Celle-ci avait traversé une de ses ailes, pour exploser juste après, le blessant ainsi au dos. Les forces spéciales avaient déjà préparés plusieurs tirs supplémentaires, pensant que ces missiles seraient des formalités pour ce monstre aussi redoutable que légendaire, et qu’il en faudrait plus que ça pour en venir à bout. A la surprise générale, Ridley essaya de décoller après avoir subi l’attaque, ce qui était bien sûr impossible… Le corps massif tomba du haut du building pour venir se fracasser lourdement dans une gigantesque explosion, suivie d’une gerbe de feu.
Une dizaine de minutes plus tard, le quartier était entièrement bouclé. L’incendie dans l’immeuble avait été maîtrisé. On évacuait les victimes, mortes ou simplement blessées, vers les différentes cliniques de la ville. Des militaires encerclaient toute la zone où s’était déroulée l’action. Il ne restait qu’un gros cratère à l’endroit où avait chuté Ridley, le reste de son corps étant dispersé un peu partout dans la rue. Un commandant des forces spéciales examinait les débris avec des experts, quand son attention fut attirée par une pièce métallique recouverte de sang et de chair. Il ordonna alors que l’on contacte au plus vite la personne qui connaissait le mieux le problème…
A quelques centaines de milliers de kilomètres de là, dans l’espace, Samus venait de recevoir un message :
« Attaque de Ridley dans la ville de Faria, sur DT-54. Combativité inhabituellement faible de l’ennemi. Adversaire défait trop facilement. Demandons avis d’une experte en la matière. Coordonnées situées en fin de message. Terminé. »
Une attaque de Ridley ? Samus était aussi bouleversée que l’avaient été les passants. Elle le pensait mort, mais il réapparaissait sans cesse. Etait-il donc immortel ? Elle était fatiguée de devoir toujours l’affronter, d’autant plus qu’un jour, il pourrait très bien l’emporter… Il fallait qu’elle se rende là-bas, c’était obligé. Elle pourrait apprendre quelque chose d’important. Et vu que Ridley était déjà mort, elle ne risquait vraiment rien !
Samus arriva sur les lieux le lendemain matin. Le site avait été conservé tel quel en attendant son arrivée. Le vaisseau à la forme caractéristique se posa non loin du lieu de l’agression, sous les yeux des passants émerveillés, qui allaient avoir la chance d’apercevoir en vrai la légendaire Samus Aran. Cette notoriété plaisait bien à Samus, même si ce qu’elle faisait, elle ne le faisait pas pour l’argent ou la célébrité.
Les réacteurs du vaisseau étaient encore fumants que Samus était déjà descendue, dans son costume flamboyant sur lequel se réfléchissait la lumière du matin. Une sorte d’aura se dégageait de Samus, de telle sorte que le temps était comme figé : les gens la regardaient, les militaires aussi, les scientifiques également. Ce genre de situation la gênait terriblement, et elle pressa le pas, pour aller retrouver sur le site le commandant qui avait lancé le message la veille, accompagné de militaires et de scientifiques.
« - Bonjour, commandant. Je suis venu aussi vite que possible, dit-elle.
- Ne vous en faîtes pas, nous avons maintenu le site comme nous l’avons trouvé hier. Je me présente : commandant Smith. Voici le chef de l’équipe chargée de l’enquête, Stanley Purl.
- Enchanté ! dit Stanley. C’est un grand honneur de vous rencontrer, mademoiselle Aran !
- Appelez-moi Samus, je vous en prie… Bien, alors, qu’y avait-il de particulier, commandant ?
- Les passants racontent que Ridley a lancé trois boules de feu dans la rue, avant de mettre le feu à un immeuble, puis de se poser sur le toit d’un building à proximité. Il semblait ensuite attendre quelque chose…
- Etrange…
- Et ce n’est pas le plus étrange ! Il a subi un tir de missile anti-aérien, qui lui a transpercé l’aile droite. On s’attendait à ce qu’il nous tire dessus à l’aide de ses boules de feu, mais il a préféré essayer de s’envoler ! C’était voué à l’échec, et il s’est donc écrasé juste là, dit-il en désignant le cratère noirâtre.
- Effectivement, j’ai connu Ridley plus malin, répondit Samus, dubitative. Mais ce cratère, il a été provoqué par une explosion violente. Or, un être vivant n’est pas censé exploser !
- C’est pourquoi nous vous avons appelé : cette affaire cache quelque chose. Nous pensons que ce Ridley était un robot, car nous avons découvert des morceaux métalliques au milieu du cratère, n’appartenant à aucun véhicule ou bâtiment présent dans la zone. Stan, montrez donc la pièce à conviction à Samus. »
Stanley partit chercher la pièce dans un véhicule non loin. Elle était emballée dans un sac plastique. Samus l’examina de plus près, et semblait très surprise :
« - On dirait un os, mais en métal ! En tout cas, la forme me fait penser à un os, peut-être un tibia ou un os du bras.
- Oui, c’est exactement ce que nous avons conclu.
- Cela signifierait que ce Ridley n’était pas un robot, mais un cyborg : il y a des terminaisons nerveuses et des portions de muscles encore fixées à l’os. Un robot n’a besoin que de vérins et de circuits électroniques.
- Effectivement, nous n’avions pas envisagé la situation sous cet angle… rétorqua Stanley, la tête basse. En fait, je pensais que ces tissus biologiques appartenaient à… des victimes se trouvant dans la zone d’explosion…
- Pas très scientifique, tout ça… rétorqua Smith, d’un air méchant.
- Il semble évident qu’il ne s’agissait pas du vrai Ridley, reprit Samus. Tout d’abord, parce que je l’ai éliminé il y a déjà longtemps sur Zebes. A partir de ce jour, tous les Ridley que j’ai affronté n’étaient que des copies. Ensuite, parce que Ridley était un être vivant à part entière, et pas un cyborg.
- Mais alors, qu’est-ce que c’est que ce truc ? s’énerva Smith. On retrouve des morceaux biologiques, et des boulons ! C’était quoi, ce que mes gars ont abattu ?
- Sans doute un clone, mais pas n’importe lequel : un clone dont le squelette a été entièrement modifié afin d’améliorer sa résistance. Il faudrait d’ailleurs vérifier si ce Ridley possédait un cerveau, un cœur, etc. Enfin, tout ce qu’on trouve chez un être vivant normal.
- Mais attendez, cela signifierait donc que…
- … Que les Pirates de l’Espace ont repris leur activité de clonage, oui. C’est quasiment obligé, et je dirai même qu’il est peu probable qu’ils aient arrêté à un moment… Et peut-être même que ce n’est pas le code génétique de Ridley qui a servi… mais bien Ridley lui-même. »
Et justement, un bruit inhabituel vint se glisser au milieu du chahut. Il semblait s’agir d’un cri, très aigu, très strident. Les passants s’arrêtèrent quelques instants pour savoir ce qui avait produit ce son désagréable, encore plus que le reste. Levant la tête, ils ne purent voir qu’une ombre à contre-jour qui descendait vers la ville. Même les moins renseignés purent reconnaître aussitôt la silhouette qui se détachait sur le disque solaire. On distinguait clairement un corps à la fois massif et svelte, soutenue par deux ailes très larges. Une petite tête allongée se tenait au bout d’un cou mince. La queue du monstre pendait plus ou moins dans les airs, tout en se terminant par une pointe. Ce monstre, tout le monde savait qui c’était : un Dragotournos RV7, et pas n’importe lequel...
D’abord, ce fut l’incompréhension. Aux dernières nouvelles, Ridley avait été défait plusieurs fois, et la dernière fois qu’il avait été vu, c’est-à-dire à bord de la station spatiale BSL, la fameuse chasseuse Samus Aran l’avait une nouvelle fois mis hors course. Alors, comment pouvait-il se trouver là, dans le ciel de Faria, cette petite ville sans histoire de la planète DT-54 jusque là miraculeusement épargnée par les agissements des Pirates de l’Espace ?
Ensuite, la panique vint interrompre toutes les pensées insensées des badauds. Trois boules de feu vinrent s’écraser au beau milieu de la rue, carbonisant sur le coup des véhicules et des innocents. Tout le monde se dispersa en criant et en hurlant, comme si Ridley venait de donner un coup de pied dans une fourmilière. Certains se réfugièrent dans les immeubles, d’autres prirent leur véhicule pour fuir. En trente secondes, la rue était déserte. Les sirènes des forces spéciales résonnaient déjà trois rues plus loin, visiblement alertées très rapidement. Ou simplement avaient-elles aperçues elles aussi le danger dans le ciel. Plusieurs camions chargés d’armes anti-aériennes arrivaient déjà sur les lieux de l’agression. Pendant ce temps, où la confusion générale régnait, où même les militaires avaient du mal à comprendre ce qui se passait vraiment, l’agresseur en question en avait profité pour mettre le feu à un immeuble proche, puis pour se poser sur le toit d’un immeuble voisin. Il semblait attendre que le feu se propage, pour voir combien de personnes il pourrait tuer juste par ce simple incendie. Les gens commençaient à descendre les étages en poussant, d’autres tentaient de trouver de l’air en montant sur le toit. Bref, c’était un formidable méli-mélo, et Ridley était le seul qui semblait trouver cela amusant.
Il fut tout à coup touché de plein fouet par une roquette lancée depuis le sol. Celle-ci avait traversé une de ses ailes, pour exploser juste après, le blessant ainsi au dos. Les forces spéciales avaient déjà préparés plusieurs tirs supplémentaires, pensant que ces missiles seraient des formalités pour ce monstre aussi redoutable que légendaire, et qu’il en faudrait plus que ça pour en venir à bout. A la surprise générale, Ridley essaya de décoller après avoir subi l’attaque, ce qui était bien sûr impossible… Le corps massif tomba du haut du building pour venir se fracasser lourdement dans une gigantesque explosion, suivie d’une gerbe de feu.
Une dizaine de minutes plus tard, le quartier était entièrement bouclé. L’incendie dans l’immeuble avait été maîtrisé. On évacuait les victimes, mortes ou simplement blessées, vers les différentes cliniques de la ville. Des militaires encerclaient toute la zone où s’était déroulée l’action. Il ne restait qu’un gros cratère à l’endroit où avait chuté Ridley, le reste de son corps étant dispersé un peu partout dans la rue. Un commandant des forces spéciales examinait les débris avec des experts, quand son attention fut attirée par une pièce métallique recouverte de sang et de chair. Il ordonna alors que l’on contacte au plus vite la personne qui connaissait le mieux le problème…
A quelques centaines de milliers de kilomètres de là, dans l’espace, Samus venait de recevoir un message :
« Attaque de Ridley dans la ville de Faria, sur DT-54. Combativité inhabituellement faible de l’ennemi. Adversaire défait trop facilement. Demandons avis d’une experte en la matière. Coordonnées situées en fin de message. Terminé. »
Une attaque de Ridley ? Samus était aussi bouleversée que l’avaient été les passants. Elle le pensait mort, mais il réapparaissait sans cesse. Etait-il donc immortel ? Elle était fatiguée de devoir toujours l’affronter, d’autant plus qu’un jour, il pourrait très bien l’emporter… Il fallait qu’elle se rende là-bas, c’était obligé. Elle pourrait apprendre quelque chose d’important. Et vu que Ridley était déjà mort, elle ne risquait vraiment rien !
Samus arriva sur les lieux le lendemain matin. Le site avait été conservé tel quel en attendant son arrivée. Le vaisseau à la forme caractéristique se posa non loin du lieu de l’agression, sous les yeux des passants émerveillés, qui allaient avoir la chance d’apercevoir en vrai la légendaire Samus Aran. Cette notoriété plaisait bien à Samus, même si ce qu’elle faisait, elle ne le faisait pas pour l’argent ou la célébrité.
Les réacteurs du vaisseau étaient encore fumants que Samus était déjà descendue, dans son costume flamboyant sur lequel se réfléchissait la lumière du matin. Une sorte d’aura se dégageait de Samus, de telle sorte que le temps était comme figé : les gens la regardaient, les militaires aussi, les scientifiques également. Ce genre de situation la gênait terriblement, et elle pressa le pas, pour aller retrouver sur le site le commandant qui avait lancé le message la veille, accompagné de militaires et de scientifiques.
« - Bonjour, commandant. Je suis venu aussi vite que possible, dit-elle.
- Ne vous en faîtes pas, nous avons maintenu le site comme nous l’avons trouvé hier. Je me présente : commandant Smith. Voici le chef de l’équipe chargée de l’enquête, Stanley Purl.
- Enchanté ! dit Stanley. C’est un grand honneur de vous rencontrer, mademoiselle Aran !
- Appelez-moi Samus, je vous en prie… Bien, alors, qu’y avait-il de particulier, commandant ?
- Les passants racontent que Ridley a lancé trois boules de feu dans la rue, avant de mettre le feu à un immeuble, puis de se poser sur le toit d’un building à proximité. Il semblait ensuite attendre quelque chose…
- Etrange…
- Et ce n’est pas le plus étrange ! Il a subi un tir de missile anti-aérien, qui lui a transpercé l’aile droite. On s’attendait à ce qu’il nous tire dessus à l’aide de ses boules de feu, mais il a préféré essayer de s’envoler ! C’était voué à l’échec, et il s’est donc écrasé juste là, dit-il en désignant le cratère noirâtre.
- Effectivement, j’ai connu Ridley plus malin, répondit Samus, dubitative. Mais ce cratère, il a été provoqué par une explosion violente. Or, un être vivant n’est pas censé exploser !
- C’est pourquoi nous vous avons appelé : cette affaire cache quelque chose. Nous pensons que ce Ridley était un robot, car nous avons découvert des morceaux métalliques au milieu du cratère, n’appartenant à aucun véhicule ou bâtiment présent dans la zone. Stan, montrez donc la pièce à conviction à Samus. »
Stanley partit chercher la pièce dans un véhicule non loin. Elle était emballée dans un sac plastique. Samus l’examina de plus près, et semblait très surprise :
« - On dirait un os, mais en métal ! En tout cas, la forme me fait penser à un os, peut-être un tibia ou un os du bras.
- Oui, c’est exactement ce que nous avons conclu.
- Cela signifierait que ce Ridley n’était pas un robot, mais un cyborg : il y a des terminaisons nerveuses et des portions de muscles encore fixées à l’os. Un robot n’a besoin que de vérins et de circuits électroniques.
- Effectivement, nous n’avions pas envisagé la situation sous cet angle… rétorqua Stanley, la tête basse. En fait, je pensais que ces tissus biologiques appartenaient à… des victimes se trouvant dans la zone d’explosion…
- Pas très scientifique, tout ça… rétorqua Smith, d’un air méchant.
- Il semble évident qu’il ne s’agissait pas du vrai Ridley, reprit Samus. Tout d’abord, parce que je l’ai éliminé il y a déjà longtemps sur Zebes. A partir de ce jour, tous les Ridley que j’ai affronté n’étaient que des copies. Ensuite, parce que Ridley était un être vivant à part entière, et pas un cyborg.
- Mais alors, qu’est-ce que c’est que ce truc ? s’énerva Smith. On retrouve des morceaux biologiques, et des boulons ! C’était quoi, ce que mes gars ont abattu ?
- Sans doute un clone, mais pas n’importe lequel : un clone dont le squelette a été entièrement modifié afin d’améliorer sa résistance. Il faudrait d’ailleurs vérifier si ce Ridley possédait un cerveau, un cœur, etc. Enfin, tout ce qu’on trouve chez un être vivant normal.
- Mais attendez, cela signifierait donc que…
- … Que les Pirates de l’Espace ont repris leur activité de clonage, oui. C’est quasiment obligé, et je dirai même qu’il est peu probable qu’ils aient arrêté à un moment… Et peut-être même que ce n’est pas le code génétique de Ridley qui a servi… mais bien Ridley lui-même. »