Note de la fic :
Publié le 22/04/2013 à 21:50:23 par TKPicsou
Fier de sa dernière victoire, l'intrépide Jean Quichonche partit à la recherche de nouvelles aventures. Il erra dans le 93 à la recherche de nouveaux opprimés à sauver des forces du malin arrivées d'Arabie Saoudite, ou par là. Mais d'un coup, la nuit commença à tomber, et en moins de temps qu'il ne lui en faut pour dire "Par le saint Norsh, je suis fatigay", le ciel devint noir hydrocarbure comme les jeunes talents renois des cités.
Le noelliste errant partit donc à la recherche d'un lieu où passer la nuit. A l'instar d'Antoine de Maximy, il débuta en spammant tout le monde IRL de "Je peux dormir chez vous ce soir ?", puis se résigna à aller dans un hôtel. Par chance, le peu de raison qu'il restait au jeune homme lors de son départ lui avait suggéré de prendre un peu d'argent.
Entrant dans un établissement au hasard du 93, du type de ceux avec le néon qui s'allume et s'éteint en faisant un bruit électrique, il fut frappé par sa folie.
Il crut en effet qu'il était dans un de ces établissements dans lesquels les 15-18ens disaient se réfugier dans certains longs topics. Autrement dit, il croyait être dans un "Bunker 2000 places" réservé aux 2000 premiers noellistes qui arriveraient.
Il tint alors ce langage au type de la réception :
"Brave noelliste, je viens m'abriter dans votre bunker, même si j'ignore si celui-ci est un bunker anti-screamer, anti fin du monde, anti happiste, anti fishiste, anti pfiste. Tout ce que je sais, c'est que je ne compte rester qu'une nuit, moi, Jean Quichonche du Limousin, alors préparez pour l'hôte de qualitay que je suis la meilleure chambre que vous ayez et dormez paisiblement ce soir, vous ma 349 dague est là pour vous protéger des invasions happisto-maghrébistes pendant la nuit".
Le type ne comprit rien mais lui accorda toutefois une chambre, c'était 42€. L'ingénieux Don Quichonche monta.
En chemin, il rencontra un jeune homme qui, d'après la conversation qu'il surprit entre lui et une jeune femme, s'appelait Kevin.
Jean Quichonche lui déclara amèrement :
"Kevin, j'ignore comment tu es entré dans ce bunker, mais tu n'es pas le bienvenu. Sache tout de même que le grand Jean Quichonche ne châtie pas sans raisons, mais du fait que tu sois un Kevin, je t'ai à l'oeil plus qu'un autre, compris !
Quant à vous, jolie noelliste, évitez de trop fréquenter ce genre de membres sous crainte de devenir comme ces jeunes gens bizarres du -15".
Kevin n'y entendit rien, et se contenta d'ignorer le jeune Jean Quichonche. Il lâcha tout de même un léger "Bolosse", et la fille qui l'accompagnait déclara "Putain tu l'as détruiiiiit !" en ricanant.
Enfin, les deux partirent, jetèrent un dernier regard sur Jean accompagné d'un rire narquois, et disparurent.
Hélas, Jean Quichonche interpréta le regard que la fille lui avait lancé d'une bien étrange façon. Il se mit à considérer que celle-ci était sans aucun doute éprise de lui, mais que leur amour était impossible, car il était promis à Marie Onéguine. Il comptait donc s'introduire dans sa chambre durant la nuit pour lui déclarer en la ménageant un maximum afin de ne pas lui briser le coeur, en sa qualité de noelliste distingué. Il pensait que pendant la nuit, la fille n'attendrait que son arrivée, et que le dernier regard lancé était le signe de cette connivence inavouée.
En réalité, la fille n'attendait que de se faire beurrer le mille-feuilles sauvagement par Kevin. C'est d'ailleurs à ceci que les deux ahuris s'occupèrent après le coucher de Jean Quichonche.
Celui-ci, malgré le sommeil qui l'envahissait, décida de partir au bout d'une heure pour mettre fin à son amour imaginaire entre la fille et lui.
Il se déplaça vers la chambre dans laquelle les deux jeunes avaient disparu tout à l'heure, et trouva la porte fermée. N'y voyant aucun signe, malheureusement, à cause de sa folie, il interpréta mal le fait :
"Une porte dans un bunker 2000 places ne doit jamais fermer en cas d'urgence. C'est sûrement un malheur, un piège ! It's a trap !"
Et, n'obéissant qu'à son courage, il sortit sa lame pour défoncer la porte avec. Elle était de mauvaise qualité, à moitié explosée, en plastique, mais pas en aussi mauvais état que ce motel miteux de Seine Saint-Denis.
La porte céda donc, et il surprit Kevin en train de Z+V sauvagement la jeune fille.
Jean Quichonche hurla de fureur :
"Kevin, sale traître ! Tu profites du fait que cette jeune fille m'attende pour m'exprimer son amour afin de lui tendre le plus odieux des pièges !
Je t'avais pourtant dit de te tenir à carreau sous peine de devoir go -15, mais là, je vais être obligé de réclamer un bannissement définitif après t'avoir châtié de mon épée !
Tiens bon, jolie noelliste, Jean Quichonche te sauvera des griffes de cet odieux personnage !".
Alors l'ingénieux héros fonça vers Kevin. Hélas, ce dernier n'était pas d'humeur et riposta. Bien entendu, le pauvre fou n'eut aucune chance, avec son épée en papier machay et son ectomorphie, face à ce Kevin normalement constitué.
Nous ne décrirons pas les détails de la bataille. Nous dirons juste qu'après sa défaite, il fut renvoyé chez lui.
Le noelliste errant partit donc à la recherche d'un lieu où passer la nuit. A l'instar d'Antoine de Maximy, il débuta en spammant tout le monde IRL de "Je peux dormir chez vous ce soir ?", puis se résigna à aller dans un hôtel. Par chance, le peu de raison qu'il restait au jeune homme lors de son départ lui avait suggéré de prendre un peu d'argent.
Entrant dans un établissement au hasard du 93, du type de ceux avec le néon qui s'allume et s'éteint en faisant un bruit électrique, il fut frappé par sa folie.
Il crut en effet qu'il était dans un de ces établissements dans lesquels les 15-18ens disaient se réfugier dans certains longs topics. Autrement dit, il croyait être dans un "Bunker 2000 places" réservé aux 2000 premiers noellistes qui arriveraient.
Il tint alors ce langage au type de la réception :
"Brave noelliste, je viens m'abriter dans votre bunker, même si j'ignore si celui-ci est un bunker anti-screamer, anti fin du monde, anti happiste, anti fishiste, anti pfiste. Tout ce que je sais, c'est que je ne compte rester qu'une nuit, moi, Jean Quichonche du Limousin, alors préparez pour l'hôte de qualitay que je suis la meilleure chambre que vous ayez et dormez paisiblement ce soir, vous ma 349 dague est là pour vous protéger des invasions happisto-maghrébistes pendant la nuit".
Le type ne comprit rien mais lui accorda toutefois une chambre, c'était 42€. L'ingénieux Don Quichonche monta.
En chemin, il rencontra un jeune homme qui, d'après la conversation qu'il surprit entre lui et une jeune femme, s'appelait Kevin.
Jean Quichonche lui déclara amèrement :
"Kevin, j'ignore comment tu es entré dans ce bunker, mais tu n'es pas le bienvenu. Sache tout de même que le grand Jean Quichonche ne châtie pas sans raisons, mais du fait que tu sois un Kevin, je t'ai à l'oeil plus qu'un autre, compris !
Quant à vous, jolie noelliste, évitez de trop fréquenter ce genre de membres sous crainte de devenir comme ces jeunes gens bizarres du -15".
Kevin n'y entendit rien, et se contenta d'ignorer le jeune Jean Quichonche. Il lâcha tout de même un léger "Bolosse", et la fille qui l'accompagnait déclara "Putain tu l'as détruiiiiit !" en ricanant.
Enfin, les deux partirent, jetèrent un dernier regard sur Jean accompagné d'un rire narquois, et disparurent.
Hélas, Jean Quichonche interpréta le regard que la fille lui avait lancé d'une bien étrange façon. Il se mit à considérer que celle-ci était sans aucun doute éprise de lui, mais que leur amour était impossible, car il était promis à Marie Onéguine. Il comptait donc s'introduire dans sa chambre durant la nuit pour lui déclarer en la ménageant un maximum afin de ne pas lui briser le coeur, en sa qualité de noelliste distingué. Il pensait que pendant la nuit, la fille n'attendrait que son arrivée, et que le dernier regard lancé était le signe de cette connivence inavouée.
En réalité, la fille n'attendait que de se faire beurrer le mille-feuilles sauvagement par Kevin. C'est d'ailleurs à ceci que les deux ahuris s'occupèrent après le coucher de Jean Quichonche.
Celui-ci, malgré le sommeil qui l'envahissait, décida de partir au bout d'une heure pour mettre fin à son amour imaginaire entre la fille et lui.
Il se déplaça vers la chambre dans laquelle les deux jeunes avaient disparu tout à l'heure, et trouva la porte fermée. N'y voyant aucun signe, malheureusement, à cause de sa folie, il interpréta mal le fait :
"Une porte dans un bunker 2000 places ne doit jamais fermer en cas d'urgence. C'est sûrement un malheur, un piège ! It's a trap !"
Et, n'obéissant qu'à son courage, il sortit sa lame pour défoncer la porte avec. Elle était de mauvaise qualité, à moitié explosée, en plastique, mais pas en aussi mauvais état que ce motel miteux de Seine Saint-Denis.
La porte céda donc, et il surprit Kevin en train de Z+V sauvagement la jeune fille.
Jean Quichonche hurla de fureur :
"Kevin, sale traître ! Tu profites du fait que cette jeune fille m'attende pour m'exprimer son amour afin de lui tendre le plus odieux des pièges !
Je t'avais pourtant dit de te tenir à carreau sous peine de devoir go -15, mais là, je vais être obligé de réclamer un bannissement définitif après t'avoir châtié de mon épée !
Tiens bon, jolie noelliste, Jean Quichonche te sauvera des griffes de cet odieux personnage !".
Alors l'ingénieux héros fonça vers Kevin. Hélas, ce dernier n'était pas d'humeur et riposta. Bien entendu, le pauvre fou n'eut aucune chance, avec son épée en papier machay et son ectomorphie, face à ce Kevin normalement constitué.
Nous ne décrirons pas les détails de la bataille. Nous dirons juste qu'après sa défaite, il fut renvoyé chez lui.