Note de la fic :
Publié le 22/04/2013 à 21:47:27 par TKPicsou
La folie de notre héros avait pris une grande ampleur. Si encore il était resté dans un délire muet, pourquoi pas ? Mais non, il fallait absolument que Jean réalise en vrai les aventures qu'il avait lues.
Il commença en réalisant la fic "Ma mère m'utilise comme objet sexuel". Sans doute un très mauvais choix de début. Enfin, quand on vient de devenir fou, on s'adapte comme on peut. En plus, niveau accessibilité, c'est sans doute le plus commode : le matériel est sur place.
S'identifiant au héros, il n'arrêta pas de se branler plus sauvagement qu'un crocodile chelou mangeant ses proies en commençant par l'Africain dans l'espoir que sa mère le surprenne. Hélas, rien n'arriva. De grâce, le seigneur l'avait épargné de la honte suprême.
Toutefois, obstiné qu'il était, il n'y alla pas par quatre chemins et entra directement dans la chambre de sa maman, la réveilla à l'aide de coups de Z sur le front (l'érudition 15-18enne a cet avantage d'apprendre des choses qui marchent vraiment), et une fois réveillée, il se M+Za d'une force telle qu'à la fin sa mère, se prenant le jet, ressembla d'un coup à un bâtonnet de Kidibou avant qu'on ait mangé la tête.
Malheureusement, l'effet escompté ne fût pas obtenu, et après une observation par le docteur Psy écartant la thèse de l'alliénation mentale, le petit revint au véritable monde réel de la réalité véritable, calmant temporairement ses délires. Mais peut-on véritablement demander à un individu de ce type d'arrêter ses délires d'un coup ? Rien n'est moins sûr.
N'ayant pas de soeur, il fut bien heureusement épargné par le syndrome "J'ai Z+V ma soeur". Mais il voulait malgré tout commencer sa carrière de héros de fic en reproduisant une fic de sayks qu'il avait lue. Il retenta sa mère en faisant la "Fix de sayxe", une autre approche qui consistait non pas en devenir son objet sexuel mais en la baisant carrément. Inutile de dire que l'occasion qu'il attendait avec sa mère à poil dans son lit qui se caressait en désirant son Z ne se présenta jamais.
Alors comment réalisa-t-il ce premier processus d'identification ? En recevant un jour la visite de sa cousine. Malheureusement, le jeune garçon n'avait pas une cousine bonnasse comme le commun des 15-18ens, mais il s'en moquait, peu lui importait qu'elle soit un thon, tout ce qui importait était de la Z+V. La lecture de "Ma cousine, une bombe" avait réduit le jeune homme à ce point de non retour.
Il commença en réalisant la fic "Ma mère m'utilise comme objet sexuel". Sans doute un très mauvais choix de début. Enfin, quand on vient de devenir fou, on s'adapte comme on peut. En plus, niveau accessibilité, c'est sans doute le plus commode : le matériel est sur place.
S'identifiant au héros, il n'arrêta pas de se branler plus sauvagement qu'un crocodile chelou mangeant ses proies en commençant par l'Africain dans l'espoir que sa mère le surprenne. Hélas, rien n'arriva. De grâce, le seigneur l'avait épargné de la honte suprême.
Toutefois, obstiné qu'il était, il n'y alla pas par quatre chemins et entra directement dans la chambre de sa maman, la réveilla à l'aide de coups de Z sur le front (l'érudition 15-18enne a cet avantage d'apprendre des choses qui marchent vraiment), et une fois réveillée, il se M+Za d'une force telle qu'à la fin sa mère, se prenant le jet, ressembla d'un coup à un bâtonnet de Kidibou avant qu'on ait mangé la tête.
Malheureusement, l'effet escompté ne fût pas obtenu, et après une observation par le docteur Psy écartant la thèse de l'alliénation mentale, le petit revint au véritable monde réel de la réalité véritable, calmant temporairement ses délires. Mais peut-on véritablement demander à un individu de ce type d'arrêter ses délires d'un coup ? Rien n'est moins sûr.
N'ayant pas de soeur, il fut bien heureusement épargné par le syndrome "J'ai Z+V ma soeur". Mais il voulait malgré tout commencer sa carrière de héros de fic en reproduisant une fic de sayks qu'il avait lue. Il retenta sa mère en faisant la "Fix de sayxe", une autre approche qui consistait non pas en devenir son objet sexuel mais en la baisant carrément. Inutile de dire que l'occasion qu'il attendait avec sa mère à poil dans son lit qui se caressait en désirant son Z ne se présenta jamais.
Alors comment réalisa-t-il ce premier processus d'identification ? En recevant un jour la visite de sa cousine. Malheureusement, le jeune garçon n'avait pas une cousine bonnasse comme le commun des 15-18ens, mais il s'en moquait, peu lui importait qu'elle soit un thon, tout ce qui importait était de la Z+V. La lecture de "Ma cousine, une bombe" avait réduit le jeune homme à ce point de non retour.