Note de la fic :
Publié le 22/04/2013 à 21:49:36 par TKPicsou
Dès le lendemain, le courageux Jean Quichonche partit de chez lui, tel un Latios utilisant sa téléportation, de manière si subatisse que sa mère ne le remarqua pas. De toute manière, elle était trop occupée à réparer un tiroir qui était tombé.
L'intrépide noelliste brava fièrement les plaines du Limousin sans encombres, marchant, marchant, marchant plus que le type qui a écrit "Un kilomètre à pied", jusqu'à atteindre la terre de tous les dangers : le lieu de résidence des dirigeants, des entreprises, des grands bureaux, le désert français, là où vit Sam de Paname, la capitale, autrement dit Paris.
Les aventures étaient là, ils le savaient. C'était là qu'il y aurait le plus d'opprimés. Du moins, dans la région. Malgré qu'il eut perdu son cerveau en l'exposant trop aux rayons des mauvaises fics 15-18ennes, il savait quand même ça. Il savait quand même que c'était dans le 9 cube qu'il s'illustrerait.
C'est d'ailleurs dans une rue parisienne qu'il se distingua pour la première fois. Le jeune homme aperçut une bande de jeunes maghrébistes qui massacraient un archétype de futur Jérôme 27 ans toujours puceau.
N'obéissant qu'à son courage, et allant au secours du FNiste, ou FNois, différents patois tolèrent les deux appellations, opprimé, il tint ce langage aux jeunes petits beurres :
"Jeunes pommes, faites-moi le plaisir d'arrêter la torture sur ce jeune homme, ou je vous essorille et vous désentripaille ! Alors je vous conseille de calmer le jeu ou on va régler ça sur le topic de la mod, et ça va pas être beau". Puis, il sortit son épée de 349 guy rafistolée, qui impressionna la horde qui se présentait à lui. Alors, ce qui semblait être le meneur de la bande avec son éloquence légendaire, rétorqua :
"Wesh wesh yo yo yo. Tu vois, en fait, lui, beh j'le connais, il est dans mon bahut, c'est pour ça, et donc, malgré que il est un bon ami pour nous tu vois, vu qu'on se connait en revanche malgré très bien, et beh lui il nous renie sa mère, tu vois ?
Mais nous on est réglo, tu vois, même si des fois on lui fait des p'tits gueublas néanmoins, mais là, on le croise, normal, tu vois, et on avait oublié nos montres chez nous, c'est ça le problème, certes. Alors quand on le voit, on se dit, beh vu que c'est un pote, on va lui demander l'heure, lui il saura. Alors on lui dit, tranquillement "WESH ! T'as pas l'heure". Mais lui il bouge pas, alors nous, vu qu'on croit qu'il nous a pas reconnu, on lui dit "Hey bâtard, c'est nous, magne-toi le cul ou sa mère tu vas morfler". Alors lui, il sort son portable, comme ça, pour nous donner l'heure. Et nous, on voit son portable, tranquillement, et, vu qu'on est amis, on lui fait "Waw, il est beau ton portable wesh", mais normal tu vois, entre potes, sans penser à le traiter ou...quoi que ce soit. Puis on rajoute "Wesh tu nous le prêtes pour voir ?". Et lui qu'est-ce qu'il fait pas ? Il nous le donne pas, alors qu'on est potes quoi.
Du coup nous, qu'est-ce qu'on fait ? Beh on se sent trahis, on est blessés, alors on lui explique bien tranquillement, c'est tout, y a pas de mal, on essaie juste de lui faire comprendre qu'il doit nous donner son portable, et vu que cette petite baltringue écoute pas, on doit lui buter sa gueule, tu comprends mon frère ?".
Jean Quichonche semblait à moitié convaincu par le discours de l'Arabe. Ils étaient amis, l'autre était méchant avec eux, voilà tout. Dans le doute, il demanda au soumis sa version des faits. Son récit, entrecoupé des coups de hoquet de la victime qui chiale que nous vous épargnerons, ressemblait à ceci :
"Beh tu vois, ils arrêtent pas de me martyriser, ils me tapent tout le temps, et là ils veulent me racketter mon portable ! Ils ont plein d'objets à moi chez eux : mon Ipod, un autre portable, mes chaussures ! J'en peux plus ! S'il te plaît aide-moi !".
Malgré une force rhétorique moins conséquente que celle du wesh illettré qui essaie de faire des phrases en mettant des connecteurs au hasard, Jean Quichonche fut touché par le discours du jeune homme. Il rendit alors son jugement à l'assemblée :
"Messieurs, vous allez laisser ce jeune homme, et lui rendre les objets que vous lui avez dérobés. Si vous tenez parole, je n'ai aucune raison de vous découper avec cette épée, mais sinon, le bistouri !
Quant à toi, jeune gomme, pars après que ces braves gens t'aient laissé, mais je ne te demande qu'une chose en retour. Cours la métropole, inscris-toi sur le 15-18 et fais des topics pour conter les exploits du grand Jean Quichonche du Limousin. Ensuite, tu présenteras tes hommages non pas à moi mais à Marie Onéguine, ou bien tu lui enverras un MP, même si je crois pas qu'elle soit sur JVC".
Après cette tirade, les weshs jurèrent de rendre au jeune homme les objets dérobés et de le laisser tranquille à l'avenir. Mais une fois le personnage étrange parti, le jeune homme fut torturé et violé avant de se faire prendre son portable et d'être laissé pour victime absolue.
L'intrépide noelliste brava fièrement les plaines du Limousin sans encombres, marchant, marchant, marchant plus que le type qui a écrit "Un kilomètre à pied", jusqu'à atteindre la terre de tous les dangers : le lieu de résidence des dirigeants, des entreprises, des grands bureaux, le désert français, là où vit Sam de Paname, la capitale, autrement dit Paris.
Les aventures étaient là, ils le savaient. C'était là qu'il y aurait le plus d'opprimés. Du moins, dans la région. Malgré qu'il eut perdu son cerveau en l'exposant trop aux rayons des mauvaises fics 15-18ennes, il savait quand même ça. Il savait quand même que c'était dans le 9 cube qu'il s'illustrerait.
C'est d'ailleurs dans une rue parisienne qu'il se distingua pour la première fois. Le jeune homme aperçut une bande de jeunes maghrébistes qui massacraient un archétype de futur Jérôme 27 ans toujours puceau.
N'obéissant qu'à son courage, et allant au secours du FNiste, ou FNois, différents patois tolèrent les deux appellations, opprimé, il tint ce langage aux jeunes petits beurres :
"Jeunes pommes, faites-moi le plaisir d'arrêter la torture sur ce jeune homme, ou je vous essorille et vous désentripaille ! Alors je vous conseille de calmer le jeu ou on va régler ça sur le topic de la mod, et ça va pas être beau". Puis, il sortit son épée de 349 guy rafistolée, qui impressionna la horde qui se présentait à lui. Alors, ce qui semblait être le meneur de la bande avec son éloquence légendaire, rétorqua :
"Wesh wesh yo yo yo. Tu vois, en fait, lui, beh j'le connais, il est dans mon bahut, c'est pour ça, et donc, malgré que il est un bon ami pour nous tu vois, vu qu'on se connait en revanche malgré très bien, et beh lui il nous renie sa mère, tu vois ?
Mais nous on est réglo, tu vois, même si des fois on lui fait des p'tits gueublas néanmoins, mais là, on le croise, normal, tu vois, et on avait oublié nos montres chez nous, c'est ça le problème, certes. Alors quand on le voit, on se dit, beh vu que c'est un pote, on va lui demander l'heure, lui il saura. Alors on lui dit, tranquillement "WESH ! T'as pas l'heure". Mais lui il bouge pas, alors nous, vu qu'on croit qu'il nous a pas reconnu, on lui dit "Hey bâtard, c'est nous, magne-toi le cul ou sa mère tu vas morfler". Alors lui, il sort son portable, comme ça, pour nous donner l'heure. Et nous, on voit son portable, tranquillement, et, vu qu'on est amis, on lui fait "Waw, il est beau ton portable wesh", mais normal tu vois, entre potes, sans penser à le traiter ou...quoi que ce soit. Puis on rajoute "Wesh tu nous le prêtes pour voir ?". Et lui qu'est-ce qu'il fait pas ? Il nous le donne pas, alors qu'on est potes quoi.
Du coup nous, qu'est-ce qu'on fait ? Beh on se sent trahis, on est blessés, alors on lui explique bien tranquillement, c'est tout, y a pas de mal, on essaie juste de lui faire comprendre qu'il doit nous donner son portable, et vu que cette petite baltringue écoute pas, on doit lui buter sa gueule, tu comprends mon frère ?".
Jean Quichonche semblait à moitié convaincu par le discours de l'Arabe. Ils étaient amis, l'autre était méchant avec eux, voilà tout. Dans le doute, il demanda au soumis sa version des faits. Son récit, entrecoupé des coups de hoquet de la victime qui chiale que nous vous épargnerons, ressemblait à ceci :
"Beh tu vois, ils arrêtent pas de me martyriser, ils me tapent tout le temps, et là ils veulent me racketter mon portable ! Ils ont plein d'objets à moi chez eux : mon Ipod, un autre portable, mes chaussures ! J'en peux plus ! S'il te plaît aide-moi !".
Malgré une force rhétorique moins conséquente que celle du wesh illettré qui essaie de faire des phrases en mettant des connecteurs au hasard, Jean Quichonche fut touché par le discours du jeune homme. Il rendit alors son jugement à l'assemblée :
"Messieurs, vous allez laisser ce jeune homme, et lui rendre les objets que vous lui avez dérobés. Si vous tenez parole, je n'ai aucune raison de vous découper avec cette épée, mais sinon, le bistouri !
Quant à toi, jeune gomme, pars après que ces braves gens t'aient laissé, mais je ne te demande qu'une chose en retour. Cours la métropole, inscris-toi sur le 15-18 et fais des topics pour conter les exploits du grand Jean Quichonche du Limousin. Ensuite, tu présenteras tes hommages non pas à moi mais à Marie Onéguine, ou bien tu lui enverras un MP, même si je crois pas qu'elle soit sur JVC".
Après cette tirade, les weshs jurèrent de rendre au jeune homme les objets dérobés et de le laisser tranquille à l'avenir. Mais une fois le personnage étrange parti, le jeune homme fut torturé et violé avant de se faire prendre son portable et d'être laissé pour victime absolue.