Note de la fic :
Publié le 22/04/2013 à 21:51:23 par TKPicsou
Lorsque Jean Quichonche se réveilla, il constata que l'accès à son ordinateur lui était impossible. Un mot de passe l'en empêchait.
Il alla donc trouver sa mère qui prenait sa douche et jouait un peu avec le pommeau, et lui demanda sur un ton révolté :
"Maman, sais-tu qui a bloqué l'accès à mon ordinateur ? Je ne peux plus voir les fics qui m'ont tant envoûté".
La mère chercha une excuse, ne voulant point affronter la réalité et avouer à son fils que c'était elle, telle une catin, qui était responsable de ce carnage. Elle se contenta de répondre :
"Je ne sais pas. J'ai vu plusieurs hommes en cagoule arriver chez nous, et je les ai pris pour des gitans. Vu qu'avec ces gens-là on sait jamais, j'ai laissé faire, tu comprends ?"
Jean Exodia parut éclairé à cette mince explication. Il affirma d'un air triomphant :
"Ne t'en fais pas, maman, c'est encore un coup de mes ennemis les happistes. C'était prévisible, j'ai lu dans une fic dont la rigueur historique ne laisse aucun doute que les bâtards jaunes s'infiltraient dans les maisons des noellistes pour semer la pagaille. Après quoi ils crieraient "KOM G SEMAY LA PAGAY". Ne t'en fais pas, je nous vengerai !".
Puis il laissa sa mère s'amuser dans sa douche à on ne sait quels jeux.
L'appel de l'aventure retentit encore dans son esprit, mais la leçon de la première fois ne put l'y résoudre. Il devait avant tout trouver un fidèle écuyer qui l'accompagnerait dans sa kayte.
Par chance, il existait dans son village un jeune légèrement attardé, nommé Henri.
Jean Quichonche parvint à le persuader en jurant qu'au jeune homme que lorsqu'il aurait dérobé quelque royaume aux happistes, il ferait de lui l'un de ses plus grands seigneurs, et qu'il deviendrait même un modo de ses terres. Henri ne parut pas tout comprendre mais, terrassé par l'éloquence du jeune fou, il fut vite convaincu.
Les deux compères s'enfuirent dans la nuit, toujours en direction du 93. Le but de la manoeuvre étant de n'être aperçu par personne.
En marchant par cette belle nuit étoilée, Henri eut toutefois la curiosité d'essayer de comprendre le combat de son ami, et l'interrogea :
"Maître Jean Quichonche, qui sont ces happistes dont vous me parlez ?"
Le noelliste errant parut surpris, tant il était hors des réalités, et tant tout lui parut évident, et il rétorqua, après réflexion, de manière assez pédante :
"Mais tu dois être un jeune inculte, une jeune poire, un newfag, je ne t'en veux pas. Tout le monde ne peut avoir la culture des noellistes errants.
Vois-tu, Henri, les happistes sont les pires créatures qui soient. Ce sont des personnes chauves, jaunes, qui idolâtrent un Dieu satanique et embêtent les petits enfants. Les pires créatures de l'Enfer les côtoient. C'est pour ça que nous devrons, je pense, aller jusqu'à affronter des géants si nous voulons lutter contre les happistes. A vrai dire, la seule créature pire qu'un happiste doit être Lorient".
Henri, semblant interloqué, continua l'interrogatoire, en demandant qui était ce Lorient. Jean Quichonche poursuivit son exposay.
"Vois-tu, Lorient est un vieillard qui a pris possession d'une portion de territoire de notre monde afin d'en faire une ignoble dictature. Il aime le rouge. Il inspire la crainte. Il sent l'urine. Il a 56 ans depuis 17 ans. En effet, à son arrivée au pouvoir, il fut nommé "Lorient le 56" en hommage à son âge. Mais sûrement en sacrifiant des jeunes grâce à ses redoutables kicks à vue, il a réussi à ne jamais vieillir.
Nous devrons également combattre ses troupes".
Henri ne parut pas tout comprendre, mais fut tellement intéressé par le récit de son camarade qu'il voulut y croire. Jean Quichonche divagua encore pendant de longues heures, et une fois que les deux compères furent assez loin du village pour ne pas être rattrapés, ils se reposèrent.
Il alla donc trouver sa mère qui prenait sa douche et jouait un peu avec le pommeau, et lui demanda sur un ton révolté :
"Maman, sais-tu qui a bloqué l'accès à mon ordinateur ? Je ne peux plus voir les fics qui m'ont tant envoûté".
La mère chercha une excuse, ne voulant point affronter la réalité et avouer à son fils que c'était elle, telle une catin, qui était responsable de ce carnage. Elle se contenta de répondre :
"Je ne sais pas. J'ai vu plusieurs hommes en cagoule arriver chez nous, et je les ai pris pour des gitans. Vu qu'avec ces gens-là on sait jamais, j'ai laissé faire, tu comprends ?"
Jean Exodia parut éclairé à cette mince explication. Il affirma d'un air triomphant :
"Ne t'en fais pas, maman, c'est encore un coup de mes ennemis les happistes. C'était prévisible, j'ai lu dans une fic dont la rigueur historique ne laisse aucun doute que les bâtards jaunes s'infiltraient dans les maisons des noellistes pour semer la pagaille. Après quoi ils crieraient "KOM G SEMAY LA PAGAY". Ne t'en fais pas, je nous vengerai !".
Puis il laissa sa mère s'amuser dans sa douche à on ne sait quels jeux.
L'appel de l'aventure retentit encore dans son esprit, mais la leçon de la première fois ne put l'y résoudre. Il devait avant tout trouver un fidèle écuyer qui l'accompagnerait dans sa kayte.
Par chance, il existait dans son village un jeune légèrement attardé, nommé Henri.
Jean Quichonche parvint à le persuader en jurant qu'au jeune homme que lorsqu'il aurait dérobé quelque royaume aux happistes, il ferait de lui l'un de ses plus grands seigneurs, et qu'il deviendrait même un modo de ses terres. Henri ne parut pas tout comprendre mais, terrassé par l'éloquence du jeune fou, il fut vite convaincu.
Les deux compères s'enfuirent dans la nuit, toujours en direction du 93. Le but de la manoeuvre étant de n'être aperçu par personne.
En marchant par cette belle nuit étoilée, Henri eut toutefois la curiosité d'essayer de comprendre le combat de son ami, et l'interrogea :
"Maître Jean Quichonche, qui sont ces happistes dont vous me parlez ?"
Le noelliste errant parut surpris, tant il était hors des réalités, et tant tout lui parut évident, et il rétorqua, après réflexion, de manière assez pédante :
"Mais tu dois être un jeune inculte, une jeune poire, un newfag, je ne t'en veux pas. Tout le monde ne peut avoir la culture des noellistes errants.
Vois-tu, Henri, les happistes sont les pires créatures qui soient. Ce sont des personnes chauves, jaunes, qui idolâtrent un Dieu satanique et embêtent les petits enfants. Les pires créatures de l'Enfer les côtoient. C'est pour ça que nous devrons, je pense, aller jusqu'à affronter des géants si nous voulons lutter contre les happistes. A vrai dire, la seule créature pire qu'un happiste doit être Lorient".
Henri, semblant interloqué, continua l'interrogatoire, en demandant qui était ce Lorient. Jean Quichonche poursuivit son exposay.
"Vois-tu, Lorient est un vieillard qui a pris possession d'une portion de territoire de notre monde afin d'en faire une ignoble dictature. Il aime le rouge. Il inspire la crainte. Il sent l'urine. Il a 56 ans depuis 17 ans. En effet, à son arrivée au pouvoir, il fut nommé "Lorient le 56" en hommage à son âge. Mais sûrement en sacrifiant des jeunes grâce à ses redoutables kicks à vue, il a réussi à ne jamais vieillir.
Nous devrons également combattre ses troupes".
Henri ne parut pas tout comprendre, mais fut tellement intéressé par le récit de son camarade qu'il voulut y croire. Jean Quichonche divagua encore pendant de longues heures, et une fois que les deux compères furent assez loin du village pour ne pas être rattrapés, ils se reposèrent.