Note de la fic :
Publié le 04/01/2013 à 21:03:34 par lls
Ah, Yun. Septembre arrive, le thermomètre redescend lentement. Yun et moi, on est inséparables. Elle est dingue de moi, je crois. Elle est tout le temps sur mes talons, elle me suit partout, et je ne me lasse pas de sa présence fraîche et joyeuse. Elle est tellement belle, tellement nature !
Elle s’est fait des amis dans sa classe de français, mais elle me demande toujours de venir avec eux quand ils sortent. Si j’ai un empêchement, elle n’y va pas, et vient partager mon empêchement, toujours avec bonne humeur. Et on rit. Ses potes sont coréens, et je suis toujours le centre de l’attention quand on va au cinéma, au bar…
Ils me posent plein de questions en français sur des difficultés qu’ils ont, et je suis fier de constater que c’est Yun qui parle le mieux. Ils sont bien sympas. Je pense que j’ai aucune raison de m’inquiéter, au sujet des garçons. La plupart a déjà trouvé l’âme sœur, et les autres ne sont pas sur la même longueur d’onde que ma Yun. Et puis en y réfléchissant, je ne sais pas ce que ça me ferait, si elle couchait avec quelqu’un d’autre. C’est drôle, mais je pense que ça irait. Car quoi qu’elle fasse, nos moments tendres sont là et ineffaçables, ça n’était qu’elle et moi, et personne d’autre.
Notre vie sexuelle évolue, avec cette nouvelle pratique que Yun a voulu essayer. J’ai tenté de lui proposer l’équivalent, mais elle a arrêté ma tête entre ses cuisses presque immédiatement, toute tremblante. C’est avec une envie proche du désespoir qu’elle m’a regardé, en me chuchotant : « Prends moi ». Très bien, no problem. Donc on en reste à faire l’amour, et à la gâterie. Mais c’est l’un ou l’autre, jamais les deux. Encore une lubie de Yun.
Maintenant, elle vient parfois vers moi et regarde timidement ma braguette, quelques fois avec un doigt dans la bouche, feignant la petite fille (presque) innocente qui voulait que j’attrape le pot de Nutella pour elle.
Alors je m’assieds, elle joue avec moi, et je sors les mouchoirs. Pour ça, je ne vais jamais lui demander. Je ne sais pas, ça me gêne. Il y a des fois où j’ai terriblement envie qu’elle mette Courage dans sa bouche, mais je ne dis rien. Ça me semblerait tellement rabaissant, tellement sexiste, macho… Je la laisse donc guider ses envies, elle qui pense à son propre plaisir avant tout. Je suis une victime.
Elle vient me trouver presque tous les jours pour ça, toujours au milieu de rien, n’importe quand. C’est tout Yun. Par exemple, je l’aide à faire ses devoirs de français, et, toute sérieuse, elle se rend finalement compte qu’elle mordille un stylo depuis cinq bonnes minutes. Alors elle le pose et me fait un sourire à tomber. Et elle disparait sous la table, et je suis tout tremblant. Assez fréquemment, elle me rejoint silencieusement le matin dans mon lit, et me réveille en douceur, agitant sa chevelure brune sur moi.
Ce n’est pas la même forme de plaisir qu’elle tire de ça. Quand on fait l’amour, son regard est inexpressif, elle profite vraiment physiquement du moment. Quand elle prend Courage dans sa bouche, elle fait tout pour me rendre fou. Ses regards sont incroyablement excités, ses sourires sont coquins, et ses postures sexy.
Attention, Yun n’est en rien comparable à une actrice porno. Il n’y a aucun doute sur ses envies, elle ne se force jamais. J’ai même l’impression parfois qu’elle n’est pas normale. Presque plus obsédée que moi.
Une fois, elle est rentrée de cours, visiblement ennuyée, exaspérée. C’est la première fois que je l’ai vue comme ça. Elle est immédiatement venue me trouver sur le canapé et a baissé rapidement mon pantalon, avant de mettre Courage dans sa bouche. Et c’était presque du soulagement qui se lisait dans ses yeux quand elle a soupiré, comme si elle avait un petit caillou dans sa chaussure depuis des heures et qu’elle ne pouvait le retirer que maintenant.
Et j’ai finalement pris l’habitude de ses gâteries, chassant cette pensée dérangeante que peut-être c’est dégradant pour elle, peut-être humiliant. Tu parles, elle est morte de rire quand elle le fait.
Elle met Courage dans sa bouche, le ressort, rit, et se met à me parler de tout et de rien en l’agitant. Invariablement, je finis par caresser sa joue pour qu’elle continue. Ce n’est pas macho, c’est un jeu entre nous. Elle me fait son faux air de fille vexée que je l’interrompe, et la seconde d’après, elle le suce vigoureusement avec un regard qui en dit long.
Une fois, elle m’a dit de ne pas prendre de mouchoirs. De le faire sur elle. C’était encore un jeu. J’ai proposé ses mains, elle a remué la tête d’un air déçu. J’ai fait mine de réfléchir, et j’ai proposé son ventre et sa poitrine. Elle a éclaté de rire, mais m’a dit non. Alors j’ai fait mine de ne pas comprendre, et elle m’a tiré une langue rose et humide, en me disant qu’elle voulait que je mette tout sur son visage.
Ça n’a pas été facile, car j’avais ces deux sentiments mêlés, l’excitation et la honte. J’ai quand même agité Courage dans sa direction, et j’ai explosé de bonheur. Elle a fermé la bouche et a sursauté lorsqu’un premier jet l’a atteinte au coin de l’œil. Elle a cillé un moment comme pour se protéger, mais n’a pas reculé. Un autre jet s’est posé sur son nez, un autre a atterrit sur sa joue, et elle a collé Courage contre sa bouche pour que les dernières gouttes dégoulinent sur ses lèvres toujours closes. Son regard durant l’action a chassé mon sentiment de malaise : il était sans cesse renouvelé d’une étincelle de surprise et d’envie, à chaque nouvel impact. Je crois que je peux m’y faire. On a éclaté de rire, et elle s’est léché les lèvres. Elle m’a dit que ça avait un goût bizarre. Je veux bien la croire.
La vie continue, je retrouve des amis du Kung Fu, je retrouve Sarö, un petit vieux qui nous entraîne. Je crois qu’avec quelques membre du groupe Senior, c’est la personne que je crains le plus au monde. J’ai toujours peur qu’il m’arrache un bras et m’assomme avec.
Yun fait sa vraie rentrée avant moi, et revient le soir toute paniquée, parce que c’était trop rapide pour elle, qu’elle ne parle pas assez bien français. C’est de la chimie organique et ça ne m’est pas complètement inconnu, alors je l’aide jusqu’à tard, je la rassure jusqu’à ce qu’elle soit certaine d’avoir bien compris. Le lendemain, ça va un peu mieux, mais on travaille encore longtemps. Et puis elle s’habitue. Ses progrès en français sont colossaux. Elle comprend maintenant quasiment tout, en à peine un mois d’étude.
La journée de ma propre rentrée approche, et ça me rend triste. Pas à cause des cours ou de la fin des vacances, mais parce que je vais devoir aller chercher deux autres étudiantes étrangères. Et ça signifie que notre petit quotidien à Yun et moi va être complètement chamboulé, que notre intimité sera bafouée. Elle ne pourra plus se mettre à genoux dans le couloir pour sucer Courage, et je ne pourrai plus l’attraper dans la cuisine. Ça ne veut pas dire que la vie va s’arrêter, mais il y aura moins de piments. On devra être discrets. Ce qui, jusqu’à présent, n’était pas une question d’actualité.
J’en ai parlé à Yun, et lui ai proposé de partager ma chambre en lui disant que ça serait plus simple. Elle a accepté, et c’est la bonne nouvelle de l’histoire. On dort maintenant ensemble et on est presque un vrai couple, même si on a fait les choses dans le désordre. La première nuit était magique, mais peu reposante.
Je ne sais pas combien de fois elle m’a réveillé pour qu’on le fasse, combien de fois je l’ai secouée jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux et lève sa chemise de nuit pour moi. Elle a même allumé la lumière et pris Courage dans sa bouche alors que je dormais, et je ne me suis réveillé en sursaut qu’au moment de jouir, sans comprendre ce qu’il m’arrivait. Yun était toute surprise, s’efforçant de garder ses lèvres fermées sur moi. J’ai vu du désespoir passer dans ses yeux alors que ça bouche se remplissait un peu plus à chaque spasme de Courage. Mais elle s’est retenue d’avaler, et a finalement essayé de rire sans en mettre de partout. Puis elle est allée tout cracher dans l’évier de ma salle de bain. Depuis ce jour, elle s’assure que je suis bien réveillé pour me faire des gâteries.
Here we are. 13 septembre. Programme chargé. Je me lève à 7h, pour un amphi de présentation, où comme chaque année, on ne va rien faire à part prendre connaissance des chapitres et des emplois du temps. On sera libéré à midi. C’est la fac, hein.
Là je rentrerai vite, peut-être que Yun mangera avec moi. Puis j’irai en voiture jusqu’à la gare, et elle retournera en classe. Aujourd’hui, je dois aller chercher une Italienne de tout juste dix-huit ans qui s’appelle Cécilia. Et après-demain, je devrai retourner à l’aéroport pour récupérer une deuxième fille, Ana, une russe de dix-neuf ans. Je suis moins stressé que quand j’ai rencontré Yun, c’est sûrement parce que ça m’est égal que mes nouvelles colocataires soit belles, moches, grosses, célibataires… Je m’en fiche, j’ai ma coréenne de rêve.
Mais je suis quand même content à l’idée de diriger une maison tout seul avec trois filles. Haha.
[c]FIN DE LA PARTIE I : LES LUBIES DE YUN[/c]
Elle s’est fait des amis dans sa classe de français, mais elle me demande toujours de venir avec eux quand ils sortent. Si j’ai un empêchement, elle n’y va pas, et vient partager mon empêchement, toujours avec bonne humeur. Et on rit. Ses potes sont coréens, et je suis toujours le centre de l’attention quand on va au cinéma, au bar…
Ils me posent plein de questions en français sur des difficultés qu’ils ont, et je suis fier de constater que c’est Yun qui parle le mieux. Ils sont bien sympas. Je pense que j’ai aucune raison de m’inquiéter, au sujet des garçons. La plupart a déjà trouvé l’âme sœur, et les autres ne sont pas sur la même longueur d’onde que ma Yun. Et puis en y réfléchissant, je ne sais pas ce que ça me ferait, si elle couchait avec quelqu’un d’autre. C’est drôle, mais je pense que ça irait. Car quoi qu’elle fasse, nos moments tendres sont là et ineffaçables, ça n’était qu’elle et moi, et personne d’autre.
Notre vie sexuelle évolue, avec cette nouvelle pratique que Yun a voulu essayer. J’ai tenté de lui proposer l’équivalent, mais elle a arrêté ma tête entre ses cuisses presque immédiatement, toute tremblante. C’est avec une envie proche du désespoir qu’elle m’a regardé, en me chuchotant : « Prends moi ». Très bien, no problem. Donc on en reste à faire l’amour, et à la gâterie. Mais c’est l’un ou l’autre, jamais les deux. Encore une lubie de Yun.
Maintenant, elle vient parfois vers moi et regarde timidement ma braguette, quelques fois avec un doigt dans la bouche, feignant la petite fille (presque) innocente qui voulait que j’attrape le pot de Nutella pour elle.
Alors je m’assieds, elle joue avec moi, et je sors les mouchoirs. Pour ça, je ne vais jamais lui demander. Je ne sais pas, ça me gêne. Il y a des fois où j’ai terriblement envie qu’elle mette Courage dans sa bouche, mais je ne dis rien. Ça me semblerait tellement rabaissant, tellement sexiste, macho… Je la laisse donc guider ses envies, elle qui pense à son propre plaisir avant tout. Je suis une victime.
Elle vient me trouver presque tous les jours pour ça, toujours au milieu de rien, n’importe quand. C’est tout Yun. Par exemple, je l’aide à faire ses devoirs de français, et, toute sérieuse, elle se rend finalement compte qu’elle mordille un stylo depuis cinq bonnes minutes. Alors elle le pose et me fait un sourire à tomber. Et elle disparait sous la table, et je suis tout tremblant. Assez fréquemment, elle me rejoint silencieusement le matin dans mon lit, et me réveille en douceur, agitant sa chevelure brune sur moi.
Ce n’est pas la même forme de plaisir qu’elle tire de ça. Quand on fait l’amour, son regard est inexpressif, elle profite vraiment physiquement du moment. Quand elle prend Courage dans sa bouche, elle fait tout pour me rendre fou. Ses regards sont incroyablement excités, ses sourires sont coquins, et ses postures sexy.
Attention, Yun n’est en rien comparable à une actrice porno. Il n’y a aucun doute sur ses envies, elle ne se force jamais. J’ai même l’impression parfois qu’elle n’est pas normale. Presque plus obsédée que moi.
Une fois, elle est rentrée de cours, visiblement ennuyée, exaspérée. C’est la première fois que je l’ai vue comme ça. Elle est immédiatement venue me trouver sur le canapé et a baissé rapidement mon pantalon, avant de mettre Courage dans sa bouche. Et c’était presque du soulagement qui se lisait dans ses yeux quand elle a soupiré, comme si elle avait un petit caillou dans sa chaussure depuis des heures et qu’elle ne pouvait le retirer que maintenant.
Et j’ai finalement pris l’habitude de ses gâteries, chassant cette pensée dérangeante que peut-être c’est dégradant pour elle, peut-être humiliant. Tu parles, elle est morte de rire quand elle le fait.
Elle met Courage dans sa bouche, le ressort, rit, et se met à me parler de tout et de rien en l’agitant. Invariablement, je finis par caresser sa joue pour qu’elle continue. Ce n’est pas macho, c’est un jeu entre nous. Elle me fait son faux air de fille vexée que je l’interrompe, et la seconde d’après, elle le suce vigoureusement avec un regard qui en dit long.
Une fois, elle m’a dit de ne pas prendre de mouchoirs. De le faire sur elle. C’était encore un jeu. J’ai proposé ses mains, elle a remué la tête d’un air déçu. J’ai fait mine de réfléchir, et j’ai proposé son ventre et sa poitrine. Elle a éclaté de rire, mais m’a dit non. Alors j’ai fait mine de ne pas comprendre, et elle m’a tiré une langue rose et humide, en me disant qu’elle voulait que je mette tout sur son visage.
Ça n’a pas été facile, car j’avais ces deux sentiments mêlés, l’excitation et la honte. J’ai quand même agité Courage dans sa direction, et j’ai explosé de bonheur. Elle a fermé la bouche et a sursauté lorsqu’un premier jet l’a atteinte au coin de l’œil. Elle a cillé un moment comme pour se protéger, mais n’a pas reculé. Un autre jet s’est posé sur son nez, un autre a atterrit sur sa joue, et elle a collé Courage contre sa bouche pour que les dernières gouttes dégoulinent sur ses lèvres toujours closes. Son regard durant l’action a chassé mon sentiment de malaise : il était sans cesse renouvelé d’une étincelle de surprise et d’envie, à chaque nouvel impact. Je crois que je peux m’y faire. On a éclaté de rire, et elle s’est léché les lèvres. Elle m’a dit que ça avait un goût bizarre. Je veux bien la croire.
La vie continue, je retrouve des amis du Kung Fu, je retrouve Sarö, un petit vieux qui nous entraîne. Je crois qu’avec quelques membre du groupe Senior, c’est la personne que je crains le plus au monde. J’ai toujours peur qu’il m’arrache un bras et m’assomme avec.
Yun fait sa vraie rentrée avant moi, et revient le soir toute paniquée, parce que c’était trop rapide pour elle, qu’elle ne parle pas assez bien français. C’est de la chimie organique et ça ne m’est pas complètement inconnu, alors je l’aide jusqu’à tard, je la rassure jusqu’à ce qu’elle soit certaine d’avoir bien compris. Le lendemain, ça va un peu mieux, mais on travaille encore longtemps. Et puis elle s’habitue. Ses progrès en français sont colossaux. Elle comprend maintenant quasiment tout, en à peine un mois d’étude.
La journée de ma propre rentrée approche, et ça me rend triste. Pas à cause des cours ou de la fin des vacances, mais parce que je vais devoir aller chercher deux autres étudiantes étrangères. Et ça signifie que notre petit quotidien à Yun et moi va être complètement chamboulé, que notre intimité sera bafouée. Elle ne pourra plus se mettre à genoux dans le couloir pour sucer Courage, et je ne pourrai plus l’attraper dans la cuisine. Ça ne veut pas dire que la vie va s’arrêter, mais il y aura moins de piments. On devra être discrets. Ce qui, jusqu’à présent, n’était pas une question d’actualité.
J’en ai parlé à Yun, et lui ai proposé de partager ma chambre en lui disant que ça serait plus simple. Elle a accepté, et c’est la bonne nouvelle de l’histoire. On dort maintenant ensemble et on est presque un vrai couple, même si on a fait les choses dans le désordre. La première nuit était magique, mais peu reposante.
Je ne sais pas combien de fois elle m’a réveillé pour qu’on le fasse, combien de fois je l’ai secouée jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux et lève sa chemise de nuit pour moi. Elle a même allumé la lumière et pris Courage dans sa bouche alors que je dormais, et je ne me suis réveillé en sursaut qu’au moment de jouir, sans comprendre ce qu’il m’arrivait. Yun était toute surprise, s’efforçant de garder ses lèvres fermées sur moi. J’ai vu du désespoir passer dans ses yeux alors que ça bouche se remplissait un peu plus à chaque spasme de Courage. Mais elle s’est retenue d’avaler, et a finalement essayé de rire sans en mettre de partout. Puis elle est allée tout cracher dans l’évier de ma salle de bain. Depuis ce jour, elle s’assure que je suis bien réveillé pour me faire des gâteries.
Here we are. 13 septembre. Programme chargé. Je me lève à 7h, pour un amphi de présentation, où comme chaque année, on ne va rien faire à part prendre connaissance des chapitres et des emplois du temps. On sera libéré à midi. C’est la fac, hein.
Là je rentrerai vite, peut-être que Yun mangera avec moi. Puis j’irai en voiture jusqu’à la gare, et elle retournera en classe. Aujourd’hui, je dois aller chercher une Italienne de tout juste dix-huit ans qui s’appelle Cécilia. Et après-demain, je devrai retourner à l’aéroport pour récupérer une deuxième fille, Ana, une russe de dix-neuf ans. Je suis moins stressé que quand j’ai rencontré Yun, c’est sûrement parce que ça m’est égal que mes nouvelles colocataires soit belles, moches, grosses, célibataires… Je m’en fiche, j’ai ma coréenne de rêve.
Mais je suis quand même content à l’idée de diriger une maison tout seul avec trois filles. Haha.
[c]FIN DE LA PARTIE I : LES LUBIES DE YUN[/c]