Et si de ma main je reprends ce récit c'est pour que vous, lecteurs, ayez aussi un point de vu d'une seconde personne sur cette histoire vécue il y a trois mois. Vous pourriez donc remarquer qu'aujourd'hui encore, trois mois après, je suis encore et toujours là pour le plus grand bonheur d'un certain jeune garçons. Toujours l là en bonne santé, y a de la joie aussi ! Allez, vous vous posiez surement la question sur "Qui suis-je ?" non ? J'y viens oui. Je suis une fille, je suis la principale personne à être concernée par notre histoire, allez vous ne trouvez pas ? Ah si ! Je vois bien vos lueur d'intelligence vous traverser l'esprit, vous venez de comprendre à l'instant tout de même, il aurait fallu être vraiment idiot pour ne pas comprendre après tout ! Et oui, vous aviez pu le constater par vous même, celle que vous lisez actuellement n'est autre que moi, Amandine (ou Julia, à vous de voir, mes amis). Alors je sais que dans le récit fais par mon copain vous m'aviez surement vu comme une fille froide, assez distance, un peu mystérieuse, enfin un personnage loin d'être attachant non ? Mais croyez moi, dignes lecteurs, vous pourriez changer d'avis d'ici la fin de ce récit, qui à partir de cette petite "entracte" marquant une pose et vous amenant à la préparation de la suite que seule moi écrirais maintenant. Je vous en prie, lisez moi autant en riant, en pleurant, en vous moquant ! Mais alors n'en rester surtout pas à ce premier degrés qui n'est autre qu'un récit ordinaire mais en vous laissant emporter par l'esprit critique, une critique fondée sur la société. Une société m'ayant donné un mode de vie, une société m'ayant donné la mort. Et je cacherais donc dans mon récit bien d'autres subtilités que seul les plus doués pourront remarquer. Je ferais bien de vous prévenir que ma plume est aussi difficile et qu'elle décris beaucoup dans les moindres détails, et que si vous êtes confrontés à des lignes et des lignes de détails n'en soyez pas non plus terrorisé et pris au dépourvus car je pense bien aussi que je peut-être chiante dans ma façon d'écrire, mais que voulez vous, drôles compagnons, je suis ou plutôt j'étais une fille en 1ère Littéraire. Je sais bien que mon copain à dit que ma mort m'auras fais perdre la mémoire, ce qui est vrai et voilà pourquoi je ne me souvenez de rien sauf en ce qui concerne de parler, de marcher, tourner la tête et autres membres, enfin tous ce qui tiens de ceux qu'un humain c'est faire de base ou assez vite, d'ailleurs la seule chose que je sache plus faire c'est de respirer puisque je suis morte. Mais pour allez où je veux en venir c'est que autant je ne me souviens pas de tous et que vous puissiez dire "Mais comment tu fais pour te souvenir de la bonne manière d'écrire ?", alors je n'aurais qu'une chose à répondre : l'écriture c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas.

Alors je dois surement vous ennuyer très fortement à parler et parler pendant des suites de lignes sans fin, alors je vais en finir assez vite parce que j'aurais très bien pu continuer pendant des heures à vous faire tous un discours aussi long que Discours de la Servitude Volontaire d'Étienne de La Boétie. Dont je vais d'ailleurs vous en tirer une citation :

« Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. »

Alors pour abréger votre souffrance je vais finir au plus vite et laissez place au prochain chapitre reprenant à partir d'où s'était arrêté le Chapitre 8. Une suite comme déjà dis écris de la main d'une mort-vivante dont vous vous en questionnez peut-être le caractère, et bien, à vous d'en jugez !

C'est sur ces derniers mots que je vous dis, à vous qui me suivrait jusque la fin de ce récit : Bonne lecture, bonne appétit !