Note de la fic :
Publié le 29/11/2012 à 22:21:52 par picsou_riche
J'arrive chez ma soeur, enfin. Pour venir jusque là je ne vous dis pas l'embrouille. Prendre un train tout en me cachant le visage pour que personne ne vois mes blessures dégradant sa beauté, dixit mon copain. Et si jamais on me questionner pourquoi se cacher en plein été, je répondais que je suis allergique au soleil.
Nous étions devant la porte, mon copain sonne. Une jeune femme viens ouvrir, elle devait avoir 22 ans, brune et de peau blanche, plutôt jolie avec de beaux yeux noirs profond, elle me ressemblais beaucoup.
" - Oui, vous voulez ? Dit-elle, d'une voix douce.
- Je cherche mes parents.
- Qui êtes-vous ?
- Ta soeur. "
Elle ferme la porte brusquement au nez, sans répondre. Je sonne encore.
" - Allez vous-en ! Je n'ai pl... pas de soeur !
- Je suis ta soeur !
- Non, je n'ai jamais eu de soeur ! Partez.
- Tu m'as abandonnée...
- Je n'ai jamais abandonné personne, je ne vous connais pas, je n'ai jamais eu de soeur ni de frère."
Triste, je partis. Mon copain me pris par la main. Je pleurais, les larmes glissaient sur mes joues. Je n'étais rien, je n'ai jamais rien était de toute façon, qu'est ce que cela peux changer au fond ? Une mort vivante, sans vie officielle, je n'étais rien : morte dans l'administration des vivants, ma tombe portait bien mon prénom et mon nom de ma date de naissance à la date de ma mort, et dans les documents civils j'étais aussi morte, morte morte morte ! MORTE ! Je me déteste, je déteste mes parents... J'aime mon copain, je suis morte et c'est tous, je dois vivre avec, sans jamais connaître mes parents, je suis peut-être d'aspect vivant mais que signifie la vie quand elle n'est composée de rien ? C'est juste la pire des souffrances, la pire des tortures, croyez moi. Voilà qui suis-je.
FIN
Et les années passèrent, chaque jours et ma copine se se sentait de plus en plus faible, elle se sentait mourir, périr. Et aujourd'hui, moi, je lui offre un dernier bisous sur son fond avant de ne voir son corps inerte disparaître à jamais sous la terre.
Mon coeur
meurt de froid mon amour brise sa glace
Le bonheur se désenchante de moi
Et la mort rit et me chuchote tous bas le malheur qui revient
Ma vie entouré de nuage gris pleut en sanglot dans l?océan de mes mépris
Tes yeux me caresse comme des lames qui me blesse
L?amour
me joue des tours et enterre mon coeur dans ses détours
De fracture en fracture de manque de chance en désespérance
Le jour c'est ma nuit car sourire m'est interdit a vie
Cher solitude je sais que tu admire ma compagnie
Cher solitude tu écoutes mes pleurs tu es témointe de mes douleurs
C?est vrai que tu es la plus cher de mes amis
Mais tu me condamne a mourir en petite flamme
Mon coeur flétrit va être détruit et je ne te parle pas de mon âme
Car sans elle cher amie je ne suis qu'un corps sans vie
Ah la lune je t'ai pas oublié t?inquiète point toi au moins tu m'inspire la poésie
Je me rappelle le premier jour que tu ma souris j?étais au paradis
Tu connais tous mon univers tu connais mon âme a livre ouvert
Sans le souffle de ton amour je suis aveugle et je suis sourd
Ah lune de mes ennuies tu me donne une souffrance entouré de brouillard
Et me voila amputé du coeur perdant l?espoir
Mon coeur oh pauvre coeur de puis sa mort jusqu?à l'instant
Je t'ai emprisonné dans la désillusion tu pleur des larmes de sang
Je t'empoisonne de peur a la recherche de cette âmes s½urs
Tu cris tu pris excuse moi cher amis l'amour de mon ange est une folie
Tient moi la main suivant notre destin
Je ne te promets rien de bien mais c'est sur beaucoup de chagrin
Attention ne me fait surtout pas confiance
Mais comprend bien que son sourire c'est ma seul espérance
Elle est le ciel elle est la lune entouré de miel
Elle est la mer elle est le soleil dans le monde elle est la premier merveille
Elle est le monde ou je vie le monde ou je grandi
Je te le redis cher c½ur détruit c'est elle que j'aimerai pour la vie
Nous étions devant la porte, mon copain sonne. Une jeune femme viens ouvrir, elle devait avoir 22 ans, brune et de peau blanche, plutôt jolie avec de beaux yeux noirs profond, elle me ressemblais beaucoup.
" - Oui, vous voulez ? Dit-elle, d'une voix douce.
- Je cherche mes parents.
- Qui êtes-vous ?
- Ta soeur. "
Elle ferme la porte brusquement au nez, sans répondre. Je sonne encore.
" - Allez vous-en ! Je n'ai pl... pas de soeur !
- Je suis ta soeur !
- Non, je n'ai jamais eu de soeur ! Partez.
- Tu m'as abandonnée...
- Je n'ai jamais abandonné personne, je ne vous connais pas, je n'ai jamais eu de soeur ni de frère."
Triste, je partis. Mon copain me pris par la main. Je pleurais, les larmes glissaient sur mes joues. Je n'étais rien, je n'ai jamais rien était de toute façon, qu'est ce que cela peux changer au fond ? Une mort vivante, sans vie officielle, je n'étais rien : morte dans l'administration des vivants, ma tombe portait bien mon prénom et mon nom de ma date de naissance à la date de ma mort, et dans les documents civils j'étais aussi morte, morte morte morte ! MORTE ! Je me déteste, je déteste mes parents... J'aime mon copain, je suis morte et c'est tous, je dois vivre avec, sans jamais connaître mes parents, je suis peut-être d'aspect vivant mais que signifie la vie quand elle n'est composée de rien ? C'est juste la pire des souffrances, la pire des tortures, croyez moi. Voilà qui suis-je.
FIN
Et les années passèrent, chaque jours et ma copine se se sentait de plus en plus faible, elle se sentait mourir, périr. Et aujourd'hui, moi, je lui offre un dernier bisous sur son fond avant de ne voir son corps inerte disparaître à jamais sous la terre.
Mon coeur
meurt de froid mon amour brise sa glace
Le bonheur se désenchante de moi
Et la mort rit et me chuchote tous bas le malheur qui revient
Ma vie entouré de nuage gris pleut en sanglot dans l?océan de mes mépris
Tes yeux me caresse comme des lames qui me blesse
L?amour
me joue des tours et enterre mon coeur dans ses détours
De fracture en fracture de manque de chance en désespérance
Le jour c'est ma nuit car sourire m'est interdit a vie
Cher solitude je sais que tu admire ma compagnie
Cher solitude tu écoutes mes pleurs tu es témointe de mes douleurs
C?est vrai que tu es la plus cher de mes amis
Mais tu me condamne a mourir en petite flamme
Mon coeur flétrit va être détruit et je ne te parle pas de mon âme
Car sans elle cher amie je ne suis qu'un corps sans vie
Ah la lune je t'ai pas oublié t?inquiète point toi au moins tu m'inspire la poésie
Je me rappelle le premier jour que tu ma souris j?étais au paradis
Tu connais tous mon univers tu connais mon âme a livre ouvert
Sans le souffle de ton amour je suis aveugle et je suis sourd
Ah lune de mes ennuies tu me donne une souffrance entouré de brouillard
Et me voila amputé du coeur perdant l?espoir
Mon coeur oh pauvre coeur de puis sa mort jusqu?à l'instant
Je t'ai emprisonné dans la désillusion tu pleur des larmes de sang
Je t'empoisonne de peur a la recherche de cette âmes s½urs
Tu cris tu pris excuse moi cher amis l'amour de mon ange est une folie
Tient moi la main suivant notre destin
Je ne te promets rien de bien mais c'est sur beaucoup de chagrin
Attention ne me fait surtout pas confiance
Mais comprend bien que son sourire c'est ma seul espérance
Elle est le ciel elle est la lune entouré de miel
Elle est la mer elle est le soleil dans le monde elle est la premier merveille
Elle est le monde ou je vie le monde ou je grandi
Je te le redis cher c½ur détruit c'est elle que j'aimerai pour la vie