Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Qui suis-je ?


Par : picsou_riche
Genre : Science-Fiction, Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 7


Publié le 16/10/2012 à 12:32:28 par picsou_riche

Elle me relâcha brusquement, inquiète.

"- Qu'y a-t-il ?
- Chut."

Amandine regarda autour d'elle. Et là je vis son inquiétude : l'homme et la femme patrouillant les couloirs du sombre hôpital étaient derrières nous, et ils nous avaient vus.

"- Cours !"

Suite à cette phrase tournée à l'impératif m'obligeant à fuir à une vitesse supérieur à la marche, mon amour me prit la main et nous courûmes de part en part de l'aile gauche de l'hôpital. Ils nous poursuivaient en allant bien plus vite que nous, mais en me retournant à un instant de la course poursuite je fus troublée : ils avaient disparus. Et ce n'est qu'après que je puis constater mon étrange solitude dans ce couloir, sans Amandine de nouveau, et que le cauchemars reprit en revivant les évènements horribles des bruits venant de tous lieux de l'hôpital, les vois, les pas, les murmures, les chuchotements, les sifflements, les ombres, le sentiments d'être observés et la crainte de voir Amandine en version cadavre vieux de quelques années. Je ferme les yeux. Le temps passe.

"- Mon Ange ?"

J'ouvre les yeux, je vis Amandine, mais elle était normale.

"- Que... Où suis-je ? T'étais où ?
- J'ai toujours était là, mais tu as perdus connaissance dans les couloirs et..."

Je l'interromps. Je me rappelai d'une vieille phobie que je possède : la panique. Si je panique trop je fais une crise de panique, je perds connaissance en laissant place à un cauchemars aux effets très réels. N'en ayant pas fais depuis quelques années je puis me rappeler à qu'elle points c'était horrible !

Malheureusement, à cause de cette panique et par ma faute par conséquence, nous avions été rattrapés par nos deux poursuivants, qui nous avaient enfermés dans une des cellules du Bloc C de l'hôpital, c'est-à-dire l'asile. Car cet hôpital en possède un afin de renfermer l'esprit malsain un peu plus encore, entre la morgue, la salle d'opération et l'asile ainsi que les laboratoires dans lesquels je ne veux même pas savoir quels opérations douteuses ont pus être pratiquées. La salle était blanche et capitonnée. La porte de fer, assez rouillée, possédait une petite ouverture rectangulaire coupée de trois barreaux pour que, de l'extérieur, nous puissions observer les prisonniers.
Voilà maintenant deux jours que j'étais dans cet horrible hôpital, mes amis devaient s'inquiéter fortement.
Une femme vint ouvrir et elle pris Amandine par le bras, en la traînant brusquement alors qu'elle se débattait en vain. Je me retrouvait seul durant trois bonnes minutes, des minutes longues dans un endroit aussi mauvais. En revenant Amandine pleurait, son bras semblait lui faire mal et elle vomit deux fois. Elle avait l'air vraiment malade, mal en point ! Elle ne parlait pas. Elle se mis dans mes bras.

"- Je t'aime mon coeur.
- Je t'aime mon ange."

Je lui caressait le visage son doux visage froid puis elle s'endormit dans mes bras. Si mignonne qu'elle est, ma douce Amandine, ma copine.

Il pleut dehors, on sent la mort. Il n'y a pas d'Or, ils avaient tords. Dedans on entends gens et enfants, pleurant, criant. Des ans d'histoires va l'enfermer dans un profond noir. L'homme y est déchus par l'horreur vécue.

Vous savez, je l'aime. N'avez vous jamais aimés vous ?

Mais revenons, afin de finir ce chapitre.

Amandine était réveillée.

"- Qu'ont-ils fais ?
- Je ne veux pas en parler.
- J'ai peur, s'il te plaît...
- Désolée. Je t'aime... Je veux juste oublier... Je t'aime."

Et je lui montrais un portable que je sortie de ma poche droite de mon jean.

"- Où as tu eu ça ?
- Je lui ai pris, il est tombé de sa poche.
- Allume le, vite !"

Je l'allume, pas besoin de m'être de code "secret". Je fouillais les messages, et je tombais sur un qui nous laissâmes sous le choc.


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