Chapitre 1 :

Nous n'étions point là quand c'est arrivé. La victime sortie de la voiture et je puis distinguer ses cheveux, de long cheveux flottant dans l'air à cause du vent pénétrant dans l'étroit et sombre tunnel, à peine éclairé de quelques lumières qui néanmoins ne me laissèrent pas voir la couleur de sa chevelure. Elle regarda autour d'elle et se mis à courir puis disparue dans l'obscurité sans n'en dire plus. Mais n'ayant pas étaient présent lors de l'accident nous n'en demandèrent guère plus et reprîmes la route vers notre maison de la forêt que nous surnommions "la forêts sombre" par le fait que le nombre d'arbre rendait cette forêt complètement sombre voir un obscur total même pas le plus grand des soleils. Notre maison, où du moins notre cabane est le lieu où je vais une fois par an durant l'été avec mes amis. Après un bon soupé (car il était tout de même 10h) nous jouâmes une bonne heure à différents jeux de société, console, ordinateur ou télé et allâmes dormir. Nous étions six : Moi; Charles; Alexis; Nina (la copine d'Alexis); Alexia; Adeline.

Le lendemain je me décidais à retourner sur le lieu de l'accident. Après une demi-heure de marche à pied seul j'y étais. La voiture, brûlée, était là. Mais personne en vue. Je marchai dans la direction où la victime avait courue avant de disparaître. Dans le tunnel je vis une trappe pour un conduit d'aération ouverte, surement que notre mystérieux personnage avait dut se glisser par là, après l'avoir examiner quelques secondes j'y mis les pieds moi aussi avant de déboucher, après 10 minutes de marche à quatre pattes oppressante, sur un petit couloir à peine éclairé d'une lumière rouge, tel que dans les sous-marin si cela vous évoque quelque chose ?

J'entendis un bruit, des pas se rapprochant de moi par devant mais je ne voyais rien pour autant. Les pas continuèrent leur route et passèrent à coté de moi puis
derrière sans que je ne vis rien comme si un fantôme était passé par là. Je ne bougeais pas alors que la lumière rouge clignota et s'éteignit doucement avant de me retrouver dans le noir. Je ressentis un souffle dans mon cou ce qui me glaça tous le long de la colonne vertébrale, et je me retournai en sursautant avant de pousser un cri. Elle était là, juste en face de moi, à quelques centimètres seulement : des cheveux teints en violet avec parfois des mèches formant un pâté puisque elles étaient collés ensemble à cause du sang dans ses cheveux ayant séché, des yeux magnifiques traversés d'une vive lueur rouge et du sang coulant de la paupière du bas tout le long de ses belles joues parfaites tels des larmes mais le sang était là aussi sec. Elle portait des vêtements normaux de notre époque actuelle un peu déchirés par endroit ou tachetés de notre tissu conjonctif fluide vital rougit par l'hémoglobine au contact du dioxygène. Son corps (d'1 mètre 65 j'aurais dit) était lui aussi couvert de plusieurs blessures, plaies, de déchirures brisant sa violente beauté et son infime charme involontaire lui ayant été attribué, une fille plutôt jeune, entre 16-17 ans tout comme le mien de 16 ans, que je qualifiai de "mort-vivante" malgré tous. Mais son expression était figée.
Puis elle recula et disparue à nouveau. Je pris les voiles au plus vite et rentra chez moi, je ne voulais pas trop leur raconter mon histoire. Je pourrais vous le répéter
maintes et maintes fois : cette fille était d'une beauté à en couper le souffle.

Je reçus un SMS d'Alex. Alex c'est mon sublime cousin, une perle merveilleuse, un Diamant immense par sa médiocrité et sa bêtise ainsi que son incapacité à vivre
normalement dans une société (malade si je puis dire) mais aussi son habitude exécrable à toujours relancer une discussion normale en un débat philosophique ennuyeux au
plus haut point ! Et par autres il est si chanceux que je le compare souvent à Gontran Bonheur, vous savez, le cousin insupportable de Donald Duck. Je vous cite son
SMS : "Allume la télosh cousin, on parle de ta forêts où tu campes avec tes potes et y a eu un accident incroyable !!!".

J'allumai la télé sans prendre la peine de lui répondre. Je mis la UNE et écouta attentivement. Je vous ferais abstraction du "reportage" de notre chère chaîne gouvernementale et de sa grandiose puissance pour lobotomiser le cerveau du citoyen lambda du peuple de notre beau pays, une puissance bien évidemment prospéré par les médias et leurs horripilantes et multiples mensonges ou déformation de la réalité, et je parle certes de la UNE tous comme toutes autres chaîne d'information ou les journaux, quand un pigeon à faim un bout de pain lui suffit, qu'il soit bon ou pas, il a nourrit son estomac et s'apaiser dans son nid aussi bien que le média à faim d'information et qu'il prendra la première venue bonne ou pas pour nourrir le peuple et s'apaiser de sa richesse.