Note de la fic :
Projet Danavis
Par : GreenStatik
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué
Chapitre 14 : Le temps de souffler.
Publié le 02/10/2011 à 21:43:40 par GreenStatik
— Comment tu t’appelles ?
— Jérémy. Jérémy Logan.
Jean était assis sur une chaise face à l’interrogé, un sac posé à ses pieds. Il le dévisagea pendant une petite minute, avant de se lever et de lui mettre une main sur l’épaule.
— Disons que je te trouve honnête, et que je pense pouvoir te faire confiance, dit Jean. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Vous devriez le fouiller avant, lui conseilla Seth. Accueillir quelqu’un de l’extérieur, ce n’est pas vraiment censé et pas de votre style.
— Vous me permettez d’utiliser un de vos ordinateurs ? demanda Jérémy. J’aimerais vous montrer quelque chose.
Jean opina, avant de lui pointer une des machines du doigt et de le laisser s’installer. Ce dernier ouvrit une page web et se connecta à une messagerie. Sur la page web s’exposa une base de données au nom de la Marters Industries. Les informations étaient triées en plusieurs catégories, classées par ordre d’importance. Il cliqua sur « Confidentiel », avant d’entrer le mot de passe demandé. Une liste d’entrées type journal se généra à la suite, datée en ordre croissant. Sur une autre partie de l’écran, la boîte mail était enfin apparue, elle aussi listant les différents mails reçus durant le mois.
— La messagerie de Taylor ainsi que la base de données de la boîte, déclara-t-il.
— Bordel de merde... jura Seth.
— Je vous laisserais jeter un œil après, si vous voulez bien. Je vais d’abord vous expliquer ce qu’il se passe en ce moment.
— Prends ton temps, lui dis-je.
— En 2047, Taylor a créé cette entreprise dans le but d’aider la population. C’était son objectif primaire, aider les handicapés et encore plein d’autres personnes. Il appela ces membres cybernétiques des implants, alors que c’était toujours que des simples greffes. Encore aujourd’hui, le stade de réel implant n’est pas atteint. Un prototype est en cours de réalisation, mais il n’est pas prêt d’être mis en vente. Certainement moins encombrant que votre œil, Jean. Enfin, sans vouloir vous vexer.
Jean lui fit un signe de main, qui lui traduit son indifférence. Ce dernier reprit donc.
— Enfin bref, je m’écarte. Le problème d’aujourd’hui est d’un autre ordre. Je vous ai vu la dernière fois, Bastien. Dans la salle d’interrogatoire. Je tiens à dire que de nombreuses personnes subissent le même sort que vous. Voir pire. Le poison que vous avez découvert, sachez que vous avez empêché quelques morts. Il ne tue pas directement, mais les cobayes sont souvent sujets à quelques effets secondaires... qui sont la plupart du temps mortels.
— J’ai trouvé un jour un implant cardiaque qui contenait ce fluide, avouai-je.
— Il se peut que ce soit ce fluide, ou une version inférieure. Mais le but est le même. Le patron compte l’utiliser pour créer une espèce de poison contrôlant. Je ne sais plus vraiment, c’est assez compliqué. Mais en combinant ces « implants » et ce poison, il a réussi à avoir quelques résultats concluants. La scène du building, vous vous en souvenez ?
Je pris le temps de réfléchir, avant de me souvenir de mon agression par les deux hommes venus de nulle part. Asa secoua légèrement la tête en guise de réponse positive.
— Mais comment êtes-vous au courant de ça ? demandai-je, une pointe de soupçon dans la voix.
— Je suis obligé de vous avouer que je vous espionnais du toit... C’était un ordre direct, je n’avais pas le droit de refuser. J’espère que vous me comprendrez. Bref, ces hommes étaient programmés pour vous tuer, Bastien. Vous êtes réellement dangereux à ses yeux. Et pas que vous, apparemment. Mais le plus susceptible de causer des gros problèmes.
Jérémy cliqua sur plusieurs liens, ouvrant à la fois des mails contenant la formule chimique du poison, les noms et prénoms de quelques cobayes, ou encore une partie du cahier des charges de l’entreprise. Je tapais nerveusement du pied. Les autres membres du groupe restaient à l’écart, à l’opposé de la pièce.
— Taylor est en train de dérailler. Il pète les plombs. Ce poison, là... c’est un homme qui lui avait rapporté. En regardant les enregistrements des caméras de surveillance de son bureau, je l’ai vu lui coller une balle entre les deux yeux.
— Quel enfoiré... murmura Ellena.
— Pourquoi ce changement de camp soudain ? demanda Jean. Vous avez quelque chose à vous reprocher ?
— Je n’ai tué personne. Je ne suis qu’un simple espion, si on peut appeler ça comme ça. Non, j’ai juste peur de subir le même sort.
Il referma toutes les applications en cours de fonctionnement sur l’ordinateur, avant d’éteindre l’écran. Il se leva ensuite de sa chaise.
— Voilà, je crois que j’ai à peu près tout dit.
— J’ai quand même du mal à te croire, grommela Seth.
— C’est votre choix. Je ne vais pas vous forcer, je ne suis pas venu pour ça.
— Suis-moi, me glissa Jean à l’oreille, avant de sortir de la planque.
[c][/c]
Lina patientait dans une ruelle étroite, coiffée d’un chapeau et vêtue d’un imperméable. L’endroit était complètement désert, comme à sa dernière rencontre avec Whisley. Le dernier contact qu’elle eu avec lui datait d’environ quelques heures, il lui avait donné rendez-vous dans cette petite rue pour une nouvelle affaire.
Après quelques minutes d’attente, un homme dont le visage était entièrement caché par une capuche vint à la rencontre de Lina. Son allure était extrêmement lente et il regardait souvent en l’air, de gauche à droite.
— Tu es malade ? demanda Lina, une fois que celui-ci fut à sa hauteur.
— Oui, légèrement enrhumé, dit-il d’une voix rauque. Un petit mal de gorge, rien de bien violent.
— J’espère que ça va passer alors. Dis-moi, pourquoi tu m’as amené ici ?
— Je voudrais te parler de plusieurs choses. Premièrement, la livraison est bien arrivée chez Taylor. Deuxièmement, j’aurais encore besoin de tes services...
— J’essaye de me faire discrète en ce moment, j’ai failli me faire chopper il y a à peine trois jours. Donc à moins que ce ne soit pas du vol, c’est un non.
L’homme pencha légèrement la tête sur le côté, pour traduire sa totale incompréhension. Le plan ne se déroulait pas vraiment comme il le fallait, il se devait d’improviser sur le champ. Il posa sa main sur l’épaule droite de Lina, avant de reprendre.
— Ce n’était pas une question, Lina.
— Tu m’emmerdes Whisley, siffla-t-elle en repoussant sa main. Je me casse, ne me rappelle surtout pas.
Soudainement, un violent choc électrique prit place au niveau de l’estomac de la femme, qui s’écroula sur le coup. S’en suivirent une vision totalement troublée, et un homme retirant sa capuche. La dernière chose qu’elle vit n’était pas la tête de Whisley.
[c][/c]
Le ciel était gris, il tombait de légères gouttes de pluie. La petite rue longeant l’entrée de la cachette était recouverte de neige fondue mélangée à de la terre et d’autres saletés. Jean me tendit une cigarette que je pris soin de prendre avant de l’allumer et de la porter à ma bouche. J’inspirais puis expirer, laissant s’échapper la fumée de celle-ci.
— Écoutes Bastien, je crois que ce petit gars est vraiment le bienvenu. On ne pouvait pas faire mieux à ce moment-là.
— Si ça peut nous faire avancer plus loin, je n’ai rien à dire. Rien du tout. Mais un point me dérange tout de même.
— Lequel ? demanda Jean, en s’adossant contre le mur.
— La Marters Industries n’est pas la seule boîte à créer le merdier dans lequel nous sommes actuellement, répondis-je en tapotant sur ma cigarette pour en faire tomber quelques cendres.
— Pas faux.
— Vous avez un plan ?
— On a bien étudié quelques chiffres avant de t’appeler Bastien, et comme tu as sûrement pu le voir, la compagnie de Taylor est celle-là plus prisée par la plèbe endoctrinée qui compose le pays. Il faut savoir que cette boîte possède plusieurs sièges en France, ici à Paris tout aussi bien qu’ailleurs. Au total, une bonne vingtaine.
— Et donc ? Vous voulez les démonter zone par zone ?
— J’ai un bon ami qui siège dans le Sud, avec deux ou trois autres sites de la Marters Industries englobant une assez grande zone. L’ambiance là-bas est à peu près la même qu’ici. Avec quelques engagés de plus sûrement.
J’écrasai ma cigarette contre le mur le plus proche, avant de la balancer par terre. Elle prit l’eau au bout de quelques secondes.
— Ouais, faisons comme ça, répondis-je après quelques secondes de silence. Faudrait que je demande au petit nouveau s’il possède un plan assez conséquent du bâtiment.
Jean se dirigea vers la porte, avant de l’ouvrir et de me laisser passer. Soudain, une idée me vint à la tête.
— Ah et ouais, me faudrait aussi une nouvelle paire d’yeux. Tu penses qu’il pourrait me trouver ça ?
________________
Voilà ! Désolé, c'est un peu court, et en plus, j'ai mis pas mal de temps. Manque d'inspiration et retour au lycée, c'est pas un super bon mélange. Enfin, voilà, voilà. Je suis déjà en train d'écrire le chapitre 14 à l'heure qu'il est, et vu que les vacances sont dans pas longtemps (un peu quand même, mais c'est pas énorme non plus. ), je pourrais écrire plus que pendant les périodes de cours.
Donc, rendez-vous au prochain chapitre !
— Jérémy. Jérémy Logan.
Jean était assis sur une chaise face à l’interrogé, un sac posé à ses pieds. Il le dévisagea pendant une petite minute, avant de se lever et de lui mettre une main sur l’épaule.
— Disons que je te trouve honnête, et que je pense pouvoir te faire confiance, dit Jean. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Vous devriez le fouiller avant, lui conseilla Seth. Accueillir quelqu’un de l’extérieur, ce n’est pas vraiment censé et pas de votre style.
— Vous me permettez d’utiliser un de vos ordinateurs ? demanda Jérémy. J’aimerais vous montrer quelque chose.
Jean opina, avant de lui pointer une des machines du doigt et de le laisser s’installer. Ce dernier ouvrit une page web et se connecta à une messagerie. Sur la page web s’exposa une base de données au nom de la Marters Industries. Les informations étaient triées en plusieurs catégories, classées par ordre d’importance. Il cliqua sur « Confidentiel », avant d’entrer le mot de passe demandé. Une liste d’entrées type journal se généra à la suite, datée en ordre croissant. Sur une autre partie de l’écran, la boîte mail était enfin apparue, elle aussi listant les différents mails reçus durant le mois.
— La messagerie de Taylor ainsi que la base de données de la boîte, déclara-t-il.
— Bordel de merde... jura Seth.
— Je vous laisserais jeter un œil après, si vous voulez bien. Je vais d’abord vous expliquer ce qu’il se passe en ce moment.
— Prends ton temps, lui dis-je.
— En 2047, Taylor a créé cette entreprise dans le but d’aider la population. C’était son objectif primaire, aider les handicapés et encore plein d’autres personnes. Il appela ces membres cybernétiques des implants, alors que c’était toujours que des simples greffes. Encore aujourd’hui, le stade de réel implant n’est pas atteint. Un prototype est en cours de réalisation, mais il n’est pas prêt d’être mis en vente. Certainement moins encombrant que votre œil, Jean. Enfin, sans vouloir vous vexer.
Jean lui fit un signe de main, qui lui traduit son indifférence. Ce dernier reprit donc.
— Enfin bref, je m’écarte. Le problème d’aujourd’hui est d’un autre ordre. Je vous ai vu la dernière fois, Bastien. Dans la salle d’interrogatoire. Je tiens à dire que de nombreuses personnes subissent le même sort que vous. Voir pire. Le poison que vous avez découvert, sachez que vous avez empêché quelques morts. Il ne tue pas directement, mais les cobayes sont souvent sujets à quelques effets secondaires... qui sont la plupart du temps mortels.
— J’ai trouvé un jour un implant cardiaque qui contenait ce fluide, avouai-je.
— Il se peut que ce soit ce fluide, ou une version inférieure. Mais le but est le même. Le patron compte l’utiliser pour créer une espèce de poison contrôlant. Je ne sais plus vraiment, c’est assez compliqué. Mais en combinant ces « implants » et ce poison, il a réussi à avoir quelques résultats concluants. La scène du building, vous vous en souvenez ?
Je pris le temps de réfléchir, avant de me souvenir de mon agression par les deux hommes venus de nulle part. Asa secoua légèrement la tête en guise de réponse positive.
— Mais comment êtes-vous au courant de ça ? demandai-je, une pointe de soupçon dans la voix.
— Je suis obligé de vous avouer que je vous espionnais du toit... C’était un ordre direct, je n’avais pas le droit de refuser. J’espère que vous me comprendrez. Bref, ces hommes étaient programmés pour vous tuer, Bastien. Vous êtes réellement dangereux à ses yeux. Et pas que vous, apparemment. Mais le plus susceptible de causer des gros problèmes.
Jérémy cliqua sur plusieurs liens, ouvrant à la fois des mails contenant la formule chimique du poison, les noms et prénoms de quelques cobayes, ou encore une partie du cahier des charges de l’entreprise. Je tapais nerveusement du pied. Les autres membres du groupe restaient à l’écart, à l’opposé de la pièce.
— Taylor est en train de dérailler. Il pète les plombs. Ce poison, là... c’est un homme qui lui avait rapporté. En regardant les enregistrements des caméras de surveillance de son bureau, je l’ai vu lui coller une balle entre les deux yeux.
— Quel enfoiré... murmura Ellena.
— Pourquoi ce changement de camp soudain ? demanda Jean. Vous avez quelque chose à vous reprocher ?
— Je n’ai tué personne. Je ne suis qu’un simple espion, si on peut appeler ça comme ça. Non, j’ai juste peur de subir le même sort.
Il referma toutes les applications en cours de fonctionnement sur l’ordinateur, avant d’éteindre l’écran. Il se leva ensuite de sa chaise.
— Voilà, je crois que j’ai à peu près tout dit.
— J’ai quand même du mal à te croire, grommela Seth.
— C’est votre choix. Je ne vais pas vous forcer, je ne suis pas venu pour ça.
— Suis-moi, me glissa Jean à l’oreille, avant de sortir de la planque.
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Lina patientait dans une ruelle étroite, coiffée d’un chapeau et vêtue d’un imperméable. L’endroit était complètement désert, comme à sa dernière rencontre avec Whisley. Le dernier contact qu’elle eu avec lui datait d’environ quelques heures, il lui avait donné rendez-vous dans cette petite rue pour une nouvelle affaire.
Après quelques minutes d’attente, un homme dont le visage était entièrement caché par une capuche vint à la rencontre de Lina. Son allure était extrêmement lente et il regardait souvent en l’air, de gauche à droite.
— Tu es malade ? demanda Lina, une fois que celui-ci fut à sa hauteur.
— Oui, légèrement enrhumé, dit-il d’une voix rauque. Un petit mal de gorge, rien de bien violent.
— J’espère que ça va passer alors. Dis-moi, pourquoi tu m’as amené ici ?
— Je voudrais te parler de plusieurs choses. Premièrement, la livraison est bien arrivée chez Taylor. Deuxièmement, j’aurais encore besoin de tes services...
— J’essaye de me faire discrète en ce moment, j’ai failli me faire chopper il y a à peine trois jours. Donc à moins que ce ne soit pas du vol, c’est un non.
L’homme pencha légèrement la tête sur le côté, pour traduire sa totale incompréhension. Le plan ne se déroulait pas vraiment comme il le fallait, il se devait d’improviser sur le champ. Il posa sa main sur l’épaule droite de Lina, avant de reprendre.
— Ce n’était pas une question, Lina.
— Tu m’emmerdes Whisley, siffla-t-elle en repoussant sa main. Je me casse, ne me rappelle surtout pas.
Soudainement, un violent choc électrique prit place au niveau de l’estomac de la femme, qui s’écroula sur le coup. S’en suivirent une vision totalement troublée, et un homme retirant sa capuche. La dernière chose qu’elle vit n’était pas la tête de Whisley.
[c][/c]
Le ciel était gris, il tombait de légères gouttes de pluie. La petite rue longeant l’entrée de la cachette était recouverte de neige fondue mélangée à de la terre et d’autres saletés. Jean me tendit une cigarette que je pris soin de prendre avant de l’allumer et de la porter à ma bouche. J’inspirais puis expirer, laissant s’échapper la fumée de celle-ci.
— Écoutes Bastien, je crois que ce petit gars est vraiment le bienvenu. On ne pouvait pas faire mieux à ce moment-là.
— Si ça peut nous faire avancer plus loin, je n’ai rien à dire. Rien du tout. Mais un point me dérange tout de même.
— Lequel ? demanda Jean, en s’adossant contre le mur.
— La Marters Industries n’est pas la seule boîte à créer le merdier dans lequel nous sommes actuellement, répondis-je en tapotant sur ma cigarette pour en faire tomber quelques cendres.
— Pas faux.
— Vous avez un plan ?
— On a bien étudié quelques chiffres avant de t’appeler Bastien, et comme tu as sûrement pu le voir, la compagnie de Taylor est celle-là plus prisée par la plèbe endoctrinée qui compose le pays. Il faut savoir que cette boîte possède plusieurs sièges en France, ici à Paris tout aussi bien qu’ailleurs. Au total, une bonne vingtaine.
— Et donc ? Vous voulez les démonter zone par zone ?
— J’ai un bon ami qui siège dans le Sud, avec deux ou trois autres sites de la Marters Industries englobant une assez grande zone. L’ambiance là-bas est à peu près la même qu’ici. Avec quelques engagés de plus sûrement.
J’écrasai ma cigarette contre le mur le plus proche, avant de la balancer par terre. Elle prit l’eau au bout de quelques secondes.
— Ouais, faisons comme ça, répondis-je après quelques secondes de silence. Faudrait que je demande au petit nouveau s’il possède un plan assez conséquent du bâtiment.
Jean se dirigea vers la porte, avant de l’ouvrir et de me laisser passer. Soudain, une idée me vint à la tête.
— Ah et ouais, me faudrait aussi une nouvelle paire d’yeux. Tu penses qu’il pourrait me trouver ça ?
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Voilà ! Désolé, c'est un peu court, et en plus, j'ai mis pas mal de temps. Manque d'inspiration et retour au lycée, c'est pas un super bon mélange. Enfin, voilà, voilà. Je suis déjà en train d'écrire le chapitre 14 à l'heure qu'il est, et vu que les vacances sont dans pas longtemps (un peu quand même, mais c'est pas énorme non plus. ), je pourrais écrire plus que pendant les périodes de cours.
Donc, rendez-vous au prochain chapitre !